Présentation de la bonne nouvelle — Intéressons-nous sincèrement à nos parents non croyants
1 Parmi les personnes qui se sont fait baptiser au cours des dernières années beaucoup étaient des parents de témoins de Jéhovah. Sans aucun doute, les gens écoutent plus volontiers quelqu’un qu’ils connaissent plutôt qu’un étranger qui se présente à leur porte. Profitons-nous pleinement de cela pour aider nos parents?
2 À qui nous intéresserons-nous? Certainement à ceux qui font partie de notre maisonnée, à nos parents, à nos enfants qui ne sont plus sous notre toit, sans oublier nos grands-parents, petits-enfants, oncles, tantes, neveux, nièces, etc. Vous vous souvenez certainement que trois des apôtres de Jésus — les fils de Zébédée et le fils d’Alphée — étaient de toute évidence ses cousins. Il leur avait donc donné le témoignage.
3 Vous avez peut-être essayé de communiquer la bonne nouvelle à vos parents, mais sans succès. N’oubliez pas que les frères de Jésus “n’exerçaient pas la foi en lui” même trois ans après son baptême (Jean 7:5). Pourtant, Jésus n’a pas renoncé à les aider. De toute évidence, c’est à son frère Jacques qu’il est apparu après sa résurrection, ce qui a produit de bons résultats (I Cor. 15:7; Jacq. 1:1). Tous ne réagiront pas favorablement, mais se peut-il que des efforts supplémentaires pour aider certains de vos parents portent de bons fruits?
4 Les moyens de donner le témoignage sont nombreux. On peut écrire, rendre visite, proposer des écrits de la Société qui traitent de sujets qui intéressent nos parents. Il y a aussi les abonnements cadeaux à La Tour de Garde et à Réveillez-vous! Parfois, une discussion directe sur la Bible est ce qui convient le mieux. Par contre, à la femme qui veut gagner son mari non croyant, l’apôtre Pierre ne dit pas de prouver qu’il a tort en lui servant de nombreux arguments, mais il lui conseille plutôt d’avoir une bonne conduite et “un profond respect” pour son conjoint. — I Pierre 3:1, 2.
5 Pareillement, lorsque des proclamateurs rendent visite à un non-croyant, dans certains cas il est préférable de ne pas commencer à prêcher; il suffira d’être amical et de faire connaissance avec la personne. On pourra peut-être citer certains faits intéressants, en veillant toutefois à ce que notre interlocuteur n’ait pas l’impression qu’on lui prêche. Évidemment, nous répondrons aux questions qui nous sont posées. Usez de discernement et, au bon moment, que ce soit lors de la première visite ou plus tard, proposez d’étudier régulièrement avec le non-croyant.
6 Songez aux différentes possibilités et parlez-en avec d’autres proclamateurs. Demandez à Jéhovah de vous guider tandis que vous cherchez, parmi les parents de ceux qui fréquentent déjà l’organisation, ceux dont le cœur se laissera toucher par la bonne nouvelle.