Pouvez-vous le faire?
1 ‘Faire quoi?’ demanderez-vous. Proverbes 3:27 répond: “Ne refuse pas le bien à ceux à qui il est dû, quand il est au pouvoir de ta main de le faire.” Est-il ‘au pouvoir de votre main’ d’étendre vos activités en entreprenant le service de pionnier auxiliaire ou permanent? Pouvez-vous le faire?
2 L’Annuaire 1993 montre qu’il y a eu en moyenne 9 553 pionniers permanents et auxiliaires en France, soit une proportion de 1 pionnier pour 12 proclamateurs. Nous désirons féliciter tous ceux qui ont examiné leur situation et se sont rendu compte qu’ils pouvaient faire davantage dans le ministère.
3 Le service de pionnier auxiliaire est un moyen de faire le bien à l’égard d’autrui. L’année dernière, il y a eu un maximum de 9 497 pionniers auxiliaires, soit 10 % de plus que l’année précédente. Ce résultat est excellent. De nombreux proclamateurs cherchent à entreprendre ce service plus souvent dans l’année.
4 Pour déterminer si vous pouvez “le faire” ou non, il vous faut d’abord examiner vos motivations (Mat. 22:37-39). Actes 20:35 dit: “Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir.” Sans conteste, ceux qui aident généreusement les autres sur le plan spirituel ont de bonnes motivations. Il est capital d’avoir de telles motivations pour être un proclamateur ou un pionnier efficace.
5 Ensuite, examinez votre situation actuelle. Pouvez-vous modifier votre emploi du temps quotidien de façon à servir à plein temps? Cela n’est pas à la portée de tous. Mais, après s’être examinés dans la prière, chaque année des dizaines de milliers de proclamateurs dans le monde trouvent un moyen de “le faire”. (Col. 4:5; w78 1/7 pp. 9, 10.) Par exemple, des familles prévoient que plusieurs de leurs membres, sinon tous, soient pionniers auxiliaires certains mois. D’autres familles s’arrangent pour qu’un des leurs soit pionnier permanent. Avez-vous réfléchi en famille à ces possibilités? — Voir Proverbes 11:25.
6 Que l’on soit proclamateur ou pionnier, c’est en aidant les autres à connaître la vérité que l’on trouve la satisfaction véritable. Nous savons que c’est en faisant le bien à l’égard d’autrui que nous connaissons vraiment la joie, surtout s’il est ‘au pouvoir de notre main de le faire’.