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  • g71 22/4 p. 30-31
  • Coup d’œil sur le monde

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  • Coup d’œil sur le monde
  • Réveillez-vous ! 1971
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Réveillez-vous ! 1971
g71 22/4 p. 30-31

Coup d’œil sur le monde

L’infaillibilité pontificale mise en doute

Le premier concile du Vatican, tenu en 1870, proclama le dogme de l’infaillibilité pontificale selon lequel le pape, lorsqu’il définit une doctrine sur la foi et les mœurs, jouit de cette infaillibilité. Le concile n’était pas unanime dans sa décision et aujourd’hui encore certains catholiques n’acceptent pas ce dogme, comme en témoigne un livre publié récemment par Hans Küng sous le titre “Infaillible ? Une question”. Dans cet ouvrage, le célèbre théologien affirme que ni le pape ni un concile ne peut proclamer des dogmes infaillibles. “Même le pape peut se tromper, dit-​il. Aucune autorité ecclésiastique ne peut être considérée comme la voix de Dieu.”

L’aveu d’un médecin

Selon le Dr William Nolen, à l’époque où il travaillait dans un grand hôpital new-yorkais on confiait aux internes, entre autres tâches, le soin d’assurer la collecte de sang, cela par tous les moyens possibles. “Dans notre service, écrivit-​il, on appliquait un système de primes : une bonne bouteille et une journée de congé à celui qui, chaque mois, amenait le plus grand nombre de donneurs de sang à l’hôpital. (...) Pour obtenir le précieux liquide, tous les moyens étaient bons, la basse flatterie comme la menace sournoise. Un de mes collègues alla un jour jusqu’à tenir aux enfants d’un malade ces étranges propos : ‘Il faut faire immédiatement une transfusion à votre père. Si vous n’en donnez pas tous, nous allons être obligés d’utiliser du sang de chien, et ça ne marche pas toujours très bien.’ Inutile de dire que tout le monde s’exécuta. (...) Avec une bouteille [de vin], on pouvait convaincre un clochard de la Bowery de nous donner du sang.”

L’augmentation des maladies vénériennes

Un rapport publié dernièrement par l’Organisation mondiale de la santé traite de l’augmentation des maladies vénériennes dans le monde. Il dit qu’en 1970 la progression de la blennorragie a été de 15 pour cent par rapport à 1969 au Danemark et au Canada, et de 7 pour cent en Grande-Bretagne. Aux États-Unis on estime le nombre de cas à 900 pour 100 000 habitants. Selon American Medical News du 23 novembre 1970, en Amérique cette maladie “échappe à tout contrôle et doit être considérée comme une épidémie de vastes proportions”. Le rapport de l’OMS dit que “cette augmentation des maladies vénériennes se caractérise notamment par un accroissement progressif de leur propagation chez les jeunes”.

Les Suissesses obtiennent le droit de vote

À partir du 7 juin prochain les Suissesses pourront exercer, pour la première fois, leurs droits d’électrices, notamment en matière de finances fédérales et de protection de l’environnement. En effet, le 7 février un vote populaire — entièrement masculin — accorda à la femme suisse (par 631 403 “oui” contre 329 596 “non”, et par 15,5 cantons contre 6,5) le droit de vote et l’éligibilité sur le plan fédéral. Pour qu’elle reçoive ce privilège, il fallait que la majorité des électeurs et la majorité des cantons se prononcent dans le même sens. À cette occasion, le gouvernement publia la déclaration suivante : “Le Conseil fédéral se réjouit du résultat du vote de ce jour. Il y voit une preuve de vitalité de notre démocratie. Un grand pas vient d’être franchi dans le sens d’un perfectionnement de nos institutions. Il souhaite que l’active coopération de la femme enrichisse la vie publique et exerce des effets positifs.”

La vente des eaux d’égouts

Un comté de la Californie méridionale vend, à des fins d’irrigation, des eaux d’égouts épurées. Un système de canalisation amène l’eau à un terrain de golf et à une pépinière. On envisage même de vendre cette eau aux particuliers pour l’arrosage de leurs pelouses et de leurs jardins. En 1963, ce même comté utilisa ces eaux pour l’aménagement d’un lac artificiel. Depuis lors, quatre autres lacs ont été ouverts au public, pour le canotage et la pêche, moyennant un prix d’entrée.

Dans l’agglomération parisienne la moitié des eaux usées sont épurées avant d’être rejetées à la Seine. Environ 700 000 mètres cubes d’eau sont traités biologiquement et 900 000 mètres cubes par simple épandage. Cette agglomération déverse quotidiennement 1,4 million de mètres cubes d’eaux d’égouts non épurées dans la Seine, dont le débit est d’environ 4 millions de mètres cubes par jour. On espère installer d’autres usines de traitement qui permettront de ne rejeter dans le fleuve que des eaux épurées.

Une défection en signe de protestation

Quand, il y a quelques semaines, le “père” Paul Gauthier, “apôtre des pauvres” qui se trouvait au Laos, décida de quitter l’Église catholique, il adressa à des amis une lettre angoissée dans laquelle il disait ses tourments de conscience. Il y déclarait entre autres que l’Église ne semble pas être du côté des opprimés et de ceux qui luttent pour leur libération et pour la justice. Il soulignait que sa décision ne signifiait pas du tout qu’il perdait la foi, mais qu’elle était une preuve de son attachement aux valeurs authentiques prônées par l’Évangile.

Une enquête sur les Indiens du Brésil

Selon un rapport de la Croix-Rouge, les Indiens du Brésil sont condamnés à disparaître si une aide adéquate ne leur est pas fournie immédiatement. Trois médecins ont visité dernièrement, au cours d’une mission de quatre mois, plus de 30 villages indiens en Amazonie. Ces délégués de la Croix-Rouge affirment n’avoir constaté aucun mauvais traitement, aucun massacre, des populations primitives. Ils disent cependant que les Indiens sont dans un état physique alarmant. Ils souffrent de sous-alimentation et de nombreuses maladies dont les plus courantes sont la rougeole, la variole et la tuberculose. Le taux de la mortalité est donc très élevé.

Accroissement du nombre des suicides

Une commission nommée par le ministère de la Santé publique étudie depuis plus d’un an le problème des suicides en France, en vue de suggérer d’éventuelles mesures de prévention. Dans un rapport publié dernièrement, cette commission dit que “le suicide atteint à l’heure actuelle des proportions inquiétantes ; il y a en France 14 200 décès par suicides déclarés, ce qui représente le deuxième poste de décès par mort violente ; près de la moitié de ce chiffre incombe à des adolescents de 17 à 25 ans”. Or, les “suicides déclarés” ne constituent, paraît-​il, qu’une faible partie de ces actes de désespoir. Les causes de ceux-ci seraient, d’après la commission précitée, l’inquiétude relative à l’avenir professionnel, la prolongation de l’adolescence, et l’isolement aggravé par la disparition des structures traditionnelles comme la famille et l’Église.

‘Caritas” au banc des accusés

Le Parquet du canton de Lucerne a ouvert récemment une information sur la gestion des fonds recueillis par l’organisation de secours catholique “Caritas”. On avait découvert entre autres que 3 500 000 francs suisses recueillis pour le Biafra restaient inutilisés en Suisse, et que sur l’argent récolté en faveur des victimes du cyclone du Pakistan oriental, 300 000 francs auraient échoué au Vatican. Il a été reproché au président de cette organisation, un évêque, ses voyages trop fréquents autour du monde, ses notes de frais trop élevées et son traitement mensuel qu’il aurait lui-​même porté à 3 300 francs suisses.

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