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  • Les médecins allemands sonnent l’alarme

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  • Les médecins allemands sonnent l’alarme
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Réveillez-vous ! 1976
g76 22/7 p. 13

Les médecins allemands sonnent l’alarme

GRÂCE aux progrès de la médecine, les traitements sont généralement plus efficaces. Cependant, plus les médecins ordonnent de transfusions sanguines et en observent les résultats, plus ils découvrent de problèmes et de dangers.

Cela a été mis en lumière par un long article paru dans le journal allemand Die Welt (9 décembre 1974). Il disait :

“‘Le sang devrait être considéré comme un médicament dangereux et on devrait l’employer avec autant de prudence que la morphine, par exemple’. C’est par ces mots énergiques que le professeur Busch, directeur du service des transfusions à la clinique universitaire de Hambourg, terminait son rapport sur les erreurs en matière de transfusions sanguines et les dangers de celles-ci, à la 114ème assemblée des chirurgiens d’Allemagne du Nord. (...)

“La transfusion de sang entraîne des risques immunologiques, métaboliques et infectieux. Chacun de ces trois dangers peut avoir des conséquences graves, et même fatales. (...) Le sang contient une spécificité immunologique exprimée en caractéristiques héréditaires et inchangées des globules et du sérum. En outre, le facteur Rhésus et d’autres facteurs déterminent le sang de chaque individu. Des anticorps irréguliers, substances produites par sensibilisation quand un corps étranger pénètre dans le système circulatoire, sont d’autres facteurs qui déterminent les différents sangs.

“Chaque fois que les caractéristiques du sang du donneur diffèrent des caractéristiques de celui du receveur, l’organisme de ce dernier a des réactions d’incompatibilité. Il faut donc faire des tests sérologiques détaillés du sang du donneur et de celui du receveur.

“En fin de compte, c’est le médecin qui l’a prescrite qui est responsable de l’innocuité d’une transfusion. Cependant, il n’est qu’un maillon de la chaîne. (...) On ne peut éliminer complètement les erreurs de manipulation et les oublis courants, même si l’on accorde la plus grande attention à toutes les règles de sécurité. Le médecin qui donne la transfusion peut s’être trompé dans les épreuves de compatibilité, même s’il a vérifié soigneusement toutes les conditions avant de donner la transfusion.

“Cependant, selon une enquête faite dans les hôpitaux du nord de l’Allemagne, il n’est pas possible, ni dans chaque hôpital ni dans chaque cas, d’appliquer les mesures de sécurité exigées pour les transfusions par le Conseil fédéral des médecins. Il faut incriminer en partie le manque de personnel et le surmenage des chirurgiens. Aussi le risque immunologique qui pourrait être évité subsiste-​t-​il.

“Le risque métabolique comprend un ensemble de dangers résultant du vieillissement du sang entreposé et de son altération. (...) Pour minimiser ce risque, on emploie de plus en plus souvent du sang fraîchement donné. Mais alors il y a le risque d’infection par la syphilis, qu’on n’a pas décelée chez le donneur et qui peut être transmise si le sang n’a pas reposé pendant 72 heures. (...) Il y a également le risque d’hépatite infectieuse. (...) D’autres maladies qui se transmettent par les transfusions sont le paludisme et une infection virale (la cytomégalie), particulièrement dangereuse pour les enfants.”

C’est à bon droit que les chirurgiens sonnent l’alarme. De nombreux chirurgiens qualifiés, dans diverses parties du monde, préfèrent recourir à des techniques qui réduisent les pertes de sang à un minimum, afin d’éviter de devoir recourir aux transfusions sanguines.

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