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  • g78 22/1 p. 29-31
  • Coup d’œil sur le monde

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  • Coup d’œil sur le monde
  • Réveillez-vous ! 1978
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Plus…
Réveillez-vous ! 1978
g78 22/1 p. 29-31

Coup d’œil sur le monde

Le sang: une “carte d’identité”

Dans un numéro spécial sur la génétique et l’anthropologie, la revue Science et vie publie les remarques suivantes d’un généticien: “Entre 1940 et 1970, nous apprenons que la membrane de nos globules rouges porte ou, mieux, constitue un très grand nombre de ‘facteurs’, d’antigènes de groupes allongeant le nombre des systèmes de groupes sanguins. Les mêmes faits sont retrouvés au niveau des constituants du plasma (...), puis au niveau des enzymes érythrocytaires et plasmatiques.” L’article ajoute ceci: “Au début (...) il était facile de les classer [les humains en huit catégories en fonction de leurs groupes ABO et Rh standard. Cette classification devint plus complexe lorsque l’on sut qu’il n’y avait pas deux groupes Rh (Rh + et rh −) mais au moins huit; elle devint presque impossible lorsque furent connus les autres systèmes. Chaque système de groupe aboutissait, pour les habitants de notre globe, à une classification différente de celles obtenues avec les autres systèmes. Lorsqu’on utilisait tous les systèmes connus, pratiquement tout sujet possédait son propre ‘groupe sanguin’, sa propre carte d’identité biologique.” De tels propos mettent en lumière le bien-fondé de cette déclaration de la Bible: “L’âme de toute sorte de chair est son sang.” — Lév. 17:14.

Le problème de l’énergie et des matières premières

La dixième Conférence mondiale de l’Énergie vient de réunir à Istanbul quelque 3 500 experts, ingénieurs, économistes, spécialistes de l’énergie, du pétrole, du gaz et du charbon. Selon l’hebdomadaire Information-chimie, cette conférence “a braqué les projecteurs sur un danger encore à venir mais inéluctable”, non plus la crise de l’énergie, mais une authentique pénurie. À la suite de cette conférence “une conclusion s’impose: le monde s’achemine, galope même vers un épuisement des ressources à la fin du siècle et, bien avant, vers une crise sans précédent des approvisionnements. (...) [Même] en supposant levés les obstacles politique, écologique et financier, en combinant le développement maximum de toutes les ressources et les efforts d’économie, on ne parvient pas à éviter un déficit global représentant 5 à 8 pour cent de la demande à la fin du siècle (...) même avec une hypothèse de croissance économique mondiale plafonnée à 3 pour cent à partir de 1985. Pour la majorité des pays occidentaux l’urgente nécessité d’une réorientation de la croissance, d’une mobilisation des ressources classiques, une transition accélérée vers une nouvelle forme d’énergie, enfin la remise en cause des schémas industriels s’imposent”.

Le milieu agit sur le cerveau

À la suite de neuf études entreprises sur une période de huit ans, on s’est aperçu que des rats placés dans un milieu “mis en valeur” avaient le cerveau plus développé que les autres. On les avait enfermés dans des cages spacieuses, au nombre de six à douze par cage. Ces dernières étaient aménagées avec un décor stimulant pour le cerveau. Les autres rats témoins étaient enfermés dans de petites cages individuelles sans agencement particulier. Des examens poussés ont révélé par la suite que les rats qui avaient eu plus d’échanges sociaux et plus de stimulations mentales avaient un cerveau plus développé. Selon l’équipe de chercheurs qui faisaient ces travaux, certains neurones du cerveau ne se développent que s’ils reçoivent une quantité suffisante d’excitations. Ils pensent que l’on puisse extrapoler et appliquer ces résultats à l’homme.

Des cultures à l’eau de mer?

Nombreux sont les déserts qui deviendraient fertiles s’ils étaient irrigués. Malheureusement, les cultures réclament de l’eau douce et non de l’eau salée, alors qu’on trouve de l’eau de mer en quantité illimitée sur les côtes de bien des régions arides. Des chercheurs californiens ont réussi à faire pousser de l’orge en l’arrosant avec des solutions qui atteignaient 90 pour cent de la salinité de l’eau de mer. Plusieurs plants ont survécu et donné des graines, celles-ci ont été arrosées à l’eau de mer et ont donné, dans les meilleurs cas, jusqu’à 50 pour cent du rendement normal. En poursuivant l’expérience, on espère obtenir des variétés d’orge et d’autres céréales qui pourraient être cultivées à l’eau de mer tout en restant rentables.

Réanimation des noyés

On a cru pendant longtemps que tout noyé immergé plus de quatre à cinq minutes dans l’eau subissait des lésions irréversibles du cerveau. De plus, on pensait que s’il était bleu et ne respirait plus, il était mort. Or, ces idées sont remises en question depuis qu’on s’est aperçu que des noyés qui étaient restés plus longtemps dans l’eau, jusqu’à vingt minutes et plus, avaient pu être ranimés à la condition d’une part que l’eau soit froide, d’autre part que la respiration artificielle soit commencée dès la sortie de l’eau. Un adolescent reprit vie après être resté immergé pendant trente-huit minutes. On suppose que plongé dans l’eau froide, le corps réagit par un réflexe de plongée, c’est-à-dire une réaction involontaire qui gagne du temps sur l’asphyxie en mobilisant l’oxygène contenu dans les artères pour l’envoyer au cœur, au cerveau et aux poumons. La plupart des noyés ranimés après une longue immersion dans l’eau froide étaient des enfants. Il semble en effet que, chez eux, ce réflexe soit plus développé que chez l’adulte.

La pollution à domicile

Selon deux chercheurs de l’université de Berkeley (Californie), la pollution est parfois pire dans les maisons particulières qu’à l’extérieur. En effet, le taux de certaines substances polluantes atteint quelquefois deux à trois fois plus que la normale de l’extérieur. Dans certains cas, les mesures ont même montré des concentrations mille fois plus élevées que dans l’air normal. Selon un spécialiste, “la principale source d’inquiétude est le gaz domestique”, car si le chauffage est mal réglé ou mal aéré, il dégage du monoxyde de carbone, du protoxyde et du peroxyde d’azote, et de l’anhydride sulfureux. Les travaux montrent également que la fumée de cigarette qui se trouve dans les pièces fermées est elle aussi une cause importante de pollution.

Solution d’un mystère?

En 1908, une météorite géante tomba dans la vallée de la Toungouska, en Sibérie, à 800 kilomètres du lac Baïkal. En approchant de la Terre, elle explosa et sa désintégration engendra une onde de choc qui abattit les arbres sur plus de trente kilomètres; l’incendie qui s’ensuivit consuma une grande partie des forêts avoisinantes. Au début on avait attribué l’explosion à une météorite géante constituée de fer, comme celle qui a creusé le “Meteor Crater”, en Arizona, mais on ne trouva pas de cratère. Aujourd’hui, après plusieurs expéditions et divers prélèvements de sol, certains savants soviétiques pensent qu’il s’agissait d’une comète qui se serait désintégrée avant de toucher la Terre.

La colle des moules

Les savants sont étonnés par la “colle” que les moules sécrètent pour se fixer à des rochers ou à des pieux humides. Cette substance est si adhésive qu’elle ne fait plus qu’un avec son support, aussi des chercheurs se penchent-​ils sur cet animal pour découvrir son secret. Selon la revue Sea Frontiers, les dentistes sont particulièrement intéressés par la force et la résistance de cette colle qu’ils envisagent d’utiliser à la place des plombages.

Un médicament contre les virus

Pour la première fois des chercheurs seraient parvenus à utiliser avec succès un médicament contre une affection virale mortelle. Jusque-​là cette famille de maladies, au nombre desquelles figure le rhume, échappait à tout traitement. À présent, un produit, l’Ademie Arabinosique, ou “ara-A”, s’emploie avec succès dans l’encéphalite virale due à l’herpès, maladie qui s’attaque au cerveau. Transmise par des insectes, cette affection tuait jusqu’ici 70 pour cent de ses victimes. Maintenant le taux de mortalité est tombé à 28 pour cent. La partie active de ce médicament vient d’une variété d’éponges que l’on pêche en Floride et aux Bahamas. Selon la revue L’Express, le nouveau médicament a déjà permis de sauver la vie à dix enfants américains. En France, le ministère de la Santé a accordé son visa d’utilisation au “ara-A” depuis juillet 1977.

Chirurgie non sanglante

Les médecins du centre médical de l’Université d’Indiana ont mis au point un nouveau bistouri qui permet de réduire les pertes de sang au cours d’une intervention. Ce “bistouri à plasma” [gaz ionisé] envoie un petit jet d’argon brûlant qui cicatrise les tissus en même temps qu’il les coupe. Il paraît qu’on peut s’en servir dans les opérations les plus compliquées sans “verser une goutte de sang”.

Du pétrole pour les Anglais

Les Anglais utilisent de plus en plus de pétrole extrait de la mer du Nord. Après plus de dix ans de recherches et d’efforts, on extrait désormais du pétrole sous-marin en quantité suffisante pour couvrir le tiers des besoins de la Grande-Bretagne. Après avoir importé tout son pétrole pendant des années, ce pays sera autonome vers 1980.

Le plus gros diamant artificiel du monde

Les chercheurs japonais de l’université d’Osaka ont réussi à synthétiser un diamant de 20 carats, le plus gros du monde selon eux. Jusqu’ici le plus gros diamant artificiel ne pesait que cinq carats. Ces chercheurs sont parvenus à ce résultat en soumettant plusieurs petits diamants artificiels à des conditions de pression 60 000 fois supérieures à la normale et en les chauffant à 2 000 degrés pendant cinq minutes. Le résultat est un diamant noir, inutilisable en bijouterie, mais dont la dureté peut servir dans l’industrie, par exemple pour faire les dents des machines qui servent à forer les tunnels.

Les effets des radiations

Selon le ministère de la Santé du Japon, “le nombre de gens qui souffrent d’une maladie quelconque est plus élevé chez les survivants des bombardements atomiques que chez les autres”. Une enquête portant sur 16 912 rescapés qui avaient survécu plus de trente ans au bombardement d’Hiroshima et de Nagasaki a révélé que 59 pour cent d’entre eux étaient malades, contre 29 pour cent pour un échantillon normal de population.

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