Les lecteurs nous écrivent
LA DROGUE
Il est grand temps que les effets désastreux de la marihuana et du haschisch soient expliqués clairement et de façon compréhensible. Vous êtes à féliciter pour avoir exposé le problème de la drogue dans votre périodique “Réveillez-vous!” d’une façon aussi réaliste.
G. S., Allemagne
Nous appartenons au Groupe de travail pour la prévention de la toxicomanie et avons reçu un exemplaire de votre revue “Réveillez-vous!”. Nous avons examiné avec beaucoup d’attention l’article “La drogue — Est-ce si dangereux?”. Cet article a contribué à donner ses justes dimensions à notre tâche difficile. Cependant, notre plus grand problème, c’est que dans notre pays, la drogue numéro 1, l’alcool, n’est pas prise au sérieux. Nous serions heureux si vous pouviez publier un article traitant de ce problème.
F. K., Allemagne
Les numéros de “Réveillez-vous!” du 8 juin 1980 et du 22 août 1981 ont examiné cette question. — ED.
Votre article sur la drogue est courageux, franc et vient à-propos. Félicitations.
W. H., Hawaii
L’OCCULTISME
Merci pour vos excellents articles. Ils ne sont pas seulement instructifs, mais aussi réconfortants dans un monde effrayant. Je trouve chaque numéro très à-propos. Le périodique traitant de l’occultisme et de ses pièges est arrivé au bon moment. Encouragé par des amis, j’étais sur le point de m’engager sérieusement dans cette voie. En lisant attentivement les articles sur ce sujet et leurs références, j’ai eu la force de dire à mes amis que je ne pouvais pas participer à ce genre de chose.
L. C., Canada
DES RENSEIGNEMENTS VITAUX
Je désire vous féliciter pour les excellents articles que j’ai eu la chance de lire. Ils traitent de questions qui touchent notre existence même. En tant que coordonnateur et membre du conseil d’administration de MOBRAL (Mouvement brésilien pour l’alphabétisation) dans cette municipalité, j’ai fait un bon usage de certains articles dans mes réunions avec le personnel. Continuez ainsi, car nous avons besoin de quelqu’un qui examine les événements mondiaux et nous présente à nous, lecteurs, les faits tels qu’ils sont.
J. G., Brésil