Nos lecteurs nous écrivent

La protection contre le vol

Je désire vous remercier de m’avoir aidé à préserver de l’argent que j’aurais perdu si je n’avais pas suivi le conseil publié dans Réveillez-vous! [édition française du 8 février 1980, “Sages conseils pour se protéger de la criminalité”]. Récemment j’ai été cambriolé et les voleurs ont emporté l’argent. Merci de nous avoir conseillé de répartir nos objets de valeur en plusieurs endroits. J’ai pu ainsi en sauver quelques-uns.

E. B., Italie

Nous sommes heureux d’apprendre que nos articles sont utiles. Un autre article est paru sur le vol, intitulé “On peut éviter d’être cambriolé”, dans l’édition française du 22 avril 1983. — Les éditeurs.

Les jeux vidéo

J’ai vraiment apprécié votre article sur ‘les jeux vidéo’. [Édition française du 8 février 1983.] J’ai décidé d’en discuter avec ma fille de dix ans. Nous avons examiné l’aspect négatif de ce que beaucoup de gens considèrent comme un jeu innocent. Une seule chose me gêne. Vous dites: “Ce qui a débuté comme un divertissement innocent est devenu une passion qui domine totalement le joueur.” N’aurait-​il pas été plus conforme à la vérité de dire qu’un tel divertissement peut dominer totalement le joueur, au lieu d’écrire que c’est toujours le cas?

L. R., Colorado

Il s’agissait d’une déclaration d’ordre général. Il ne convient pas de l’interpréter et de dire que ces jeux produisent toujours le même effet sans aucune exception. Toutefois, il est avantageux que les lecteurs connaissent les dangers de ces jeux et les effets produits sur les joueurs. — Les éditeurs.

Il y a quelques années, j’étais consterné de voir combien de temps et d’argent mon jeune frère consacrait aux salles de jeu. Aujourd’hui, avec l’apparition de nouveaux jeux très attirants, je suis devenu à mon tour esclave de ces choses. Il ne faut pas se tromper, les jeux vidéo peuvent créer un phénomène de dépendance. Il m’est arrivé, tout en priant, de voir un écran vidéo dans ma tête, et même de commencer mentalement une partie! Quel effet néfaste cela a eu sur ma spiritualité! Je sais que tout cela n’est pas à mettre sur le compte des jeux vidéo. Cependant, ils ont joué un rôle important.

B. J., Massachusetts

La dépendance médicamenteuse

Je désire vous remercier pour les conseils publiés sur les tranquillisants et la dépression (éditions françaises du 22 août 1981 et du 22 janvier 1982). Je crois reconnaître, que dans un premier temps, ces articles m’ont bouleversé. Je n’avais jamais pensé que j’étais dépendant des médicaments, bien que depuis dix ans on me prescrivait du Valium. Je croyais qu’il me serait impossible d’arrêter d’en prendre. Après avoir beaucoup réfléchi et prié, j’ai pris la décision d’essayer de nouveau de réduire progressivement ma consommation de ce médicament. Cela n’a pas été facile, mais, après huit mois, je suis libéré de ces comprimés redoutables. J’ai senti que si je faisais un effort sérieux, Jéhovah me soutiendrait et me fortifierait. Aujourd’hui, alors que j’ai totalement cessé d’en prendre depuis trois mois, je reconnais que j’ai été aidé pas à pas. Si vous n’aviez pas publié ces articles, je serais toujours dépendant du Valium.

S. L., Angleterre