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  • g85 22/3 p. 29-31
  • Coup d’œil sur le monde

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  • Coup d’œil sur le monde
  • Réveillez-vous ! 1985
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  • MST et stérilité
  • Le travail des femmes au Canada
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Réveillez-vous ! 1985
g85 22/3 p. 29-31

Coup d’œil sur le monde

Réapparition du paludisme

● Le paludisme est souvent considéré comme l’un des principaux fléaux qui frappent l’humanité. Il touche encore 108 pays, tue des millions de personnes chaque année et a probablement fait plus de victimes que toutes les guerres de l’Histoire. Alors qu’on pensait que cette maladie avait disparu de la surface du globe, on s’aperçoit au contraire aujourd’hui qu’elle réapparaît à l’échelle mondiale avec encore plus d’intensité. Selon les dernières statistiques, 365 millions de personnes en seraient atteintes et, pour l’Organisation mondiale de la santé, le nombre de cas aurait été multiplié par quatre au cours des dix dernières années. Comment expliquer une telle recrudescence? Tout d’abord, par la résistance croissante aux insecticides des moustiques porteurs de la maladie; ensuite par le développement en parallèle de la résistance de cette maladie aux médicaments qui en venaient à bout précédemment. Des recherches sont menées au plan mondial pour la mise au point de nouveaux traitements. Mais, selon M. Irwin Sherman, biologiste de l’université de Californie, les firmes pharmaceutiques ne s’intéressent que d’assez loin à ces travaux. Il en explique la raison en ces termes: “La mise au point [de nouveaux médicaments] coûte très cher et les bénéfices envisagés restent faibles. Les principaux débouchés sont des pays pauvres qui ne pourront pas payer.”

MST et stérilité

● Les “maladies sexuellement transmissibles” (MST), terme plus explicite quant au mode de propagation, ont maintenant remplacé dans le langage courant les “maladies vénériennes”. Alors que l’ancienne expression ne désignait que cinq maladies, dont la syphilis et la blennorragie, la nouvelle en couvre 35 supplémentaires.

Selon le professeur Richard Morisset, président d’une conférence organisée en 1984 sur ce sujet sous l’égide de l’Organisation mondiale de la santé, les maladies sexuellement transmissibles sont à l’heure actuelle responsables de 50 pour cent des problèmes de stérilité dans le monde entier. Ce professeur déclare: “Nous sommes très préoccupés parce que les femmes se déplacent de plus en plus aujourd’hui et sont donc plus fréquemment en contact avec des germes de maladies contagieuses comme la syphilis, la blennorragie, ou les infections à chlamydiae. Bien souvent, malheureusement, les symptômes de ces maladies ne sont pas détectés. (...) Il en résulte une stérilité irréversible qui aurait pu être évitée par un diagnostic précoce et par un traitement entrepris suffisamment tôt.” Le professeur Morisset estime qu’un nouveau cas de MST dans le monde se déclare toutes les six secondes et que le fléau ne cesse de s’étendre.

Le travail des femmes au Canada

● Selon un récent sondage d’un institut canadien, “depuis quinze ans, l’arrivée des femmes au travail, dix fois plus massive que celle des enfants du ‘baby-boom’, constitue le phénomène qui a le plus bouleversé le monde du travail [canadien], et peut-être la société tout entière”. Le quotidien La Presse, de Montréal, explique qu’au Québec “il y a en tout 2,6 millions de femmes âgées de plus de 15 ans. De ce nombre, exactement la moitié, soit 1,3 million, sont sur le marché du travail”. L’étude de l’institut Statistique Canada tire aussi plusieurs conclusions: “Premier constat: les femmes mariées, en âge d’avoir et d’élever de jeunes enfants, sont proportionnellement plus nombreuses au travail que les femmes seules (célibataires, veuves, divorcées, séparées). (...) Deuxième constat: le chômage frappe surtout les femmes qui ont le plus besoin d’un emploi, et deux fois plus durement que les hommes chefs de famille.”

L’analphabétisme dans le monde

● Reprenant une étude de l’Institut allemand pour le développement international, un article du Star de Johannesburg, en Afrique du Sud, explique qu’“un milliard d’humains sont analphabètes et [que] ce nombre ne fait qu’augmenter. (...) Dans de nombreux pays, particulièrement en Afrique, plus de 90 pour cent de la population ne sait ni lire ni écrire”. Selon un agronome allemand, Mme Eva-Maria Bruckhaus, dans de nombreux pays en voie de développement la campagne d’alphabétisation lancée par l’UNESCO patauge péniblement, et cela pour plusieurs raisons: le faible taux de scolarisation et la forte proportion d’échecs chez les enfants qui ont la chance d’aller à l’école, un tiers seulement d’entre eux terminant leurs études. De plus, les écoliers n’ont guère la possibilité de mettre en pratique ce qu’ils apprennent.

Un journal pour les aveugles

● Selon le périodique canadien The Medical Post, la Suède possède maintenant ce qu’on peut véritablement appeler un journal pour les aveugles. Le système “livre directement les nouvelles par transmission radio en modulation de fréquence depuis un ordinateur installé au siège du journal jusqu’au micro-ordinateur de l’abonné aveugle, court-circuitant ainsi les étapes de l’impression et du transport. (...) L’abonné a le choix entre un terminal qui écrit en braille ou un synthétiseur vocal”. Dans la pratique, il reçoit ainsi les dernières nouvelles avant ceux qui peuvent lire normalement et qui doivent attendre qu’on imprime le journal et qu’on le leur apporte.

Protéger les animaux ou les éliminer?

● Selon M. Gilbert Boese, directeur du zoo de Milwaukee au Wisconsin (États-Unis), “il y a là une contradiction, mais il faut reconnaître que les personnes qui élèvent en captivité des animaux menacés de disparition, et qui obtiennent de bons résultats, finissent par être confrontées au problème de la surpopulation ou du déséquilibre génétique”. Les zoos du monde entier sont devant un problème épineux: Que faire des animaux élevés en captivité et dont on cherche à se débarrasser, soit par manque de place, soit parce qu’on n’en a plus besoin pour préserver l’espèce. Selon le New York Times, “l’espace dont on dispose dans les zoos est limité. Tous ceux du monde entier tiendraient réunis dans la ville de Brooklyn”. Certains essaient de contrôler les naissances chez leurs pensionnaires par des implants de contraceptifs ou de renvoyer certains animaux à la vie sauvage. Mais il arrive aussi fréquemment que les zoos en soient réduits à tuer les petits animaux pour nourrir les gros et à éliminer purement et simplement les gros pour diminuer la taille de leur parc.

Assurance contre le SIDA

● Une compagnie d’assurances américaine vient de proposer un nouveau type de contrat pour les victimes du SIDA. Le quotidien français Le Monde précise que “pour moins de 200 dollars [1 900 francs français] par an, les personnes redoutant d’attraper le SIDA (...) pourront recevoir, en cas de maladie, 78 000 dollars [740 000 francs] pour les soins et les frais d’hospitalisation”. Le vice-président de cette compagnie d’assurances “a précisé que des espaces publicitaires ont été achetés dans plusieurs revues homosexuelles et que la réponse a été particulièrement forte dans la région de San Francisco”.

Les jeunes Russes et la danse

● Selon une dépêche de l’agence Reuters, un journal de Moscou se plaint de ce que les jeunes Russes ne savent plus danser correctement. Lors de récents mariages, on a pu constater que les couples étaient bien embarrassés lorsqu’il fallait ouvrir le bal par la traditionnelle valse et qu’ils n’étaient pas plus à l’aise sur la musique moderne qui suivait. Le rédacteur poursuit son article en recommandant que des troupes professionnelles fassent des démonstrations lors des soirées de danse organisées par les clubs de loisirs locaux.

Pris au piège de l’avidité

● Les autorités estiment à plus de 210 000 le nombre de criminels recherchés chaque jour aux États-Unis, qu’ils aient commis un délit, qu’ils se soient évadés de prison ou aient été libérés sur parole et ne donnent plus signe de vie. Tous ces fuyards sont bien difficiles à attraper. L’une des dernières méthodes utilisées pour les retrouver consiste à envoyer à leur dernière adresse connue un avis indiquant qu’un paquet d’une valeur de 2 000 dollars (presque 20 000 francs français) les attend au bureau de poste contre signature d’un reçu. Des dizaines de personnes ont mordu à l’hameçon. Prises la main dans le sac, il en est encore un grand nombre qui demandent: “Où est mon paquet?” “C’est incroyable, dit M. Howard Safir, de la police fédérale, comme un léger appât du gain, la perspective de toucher 2 000 dollars, suffit à faire oublier à ces gens des détails importants, comme le fait de savoir qui a bien pu leur envoyer un paquet d’une telle valeur.”

Le sommeil c’est la santé

● Pour beaucoup de personnes, les week-ends sont l’occasion de sorties tardives et de détente à tout prix. Mais, selon le docteur Carlos Suárez Zamudio, directeur de la santé familiale à la sécurité sociale mexicaine, cette période de la semaine devrait donner aux gens la possibilité de lutter efficacement contre la maladie et les accidents graves. Comment? Tout simplement en dormant. Selon ses propos que rapporte le journal de Mexico El Universal, un peu plus de sommeil est le meilleur traitement qu’on puisse faire suivre à l’organisme pendant les week-ends. On peut ainsi récupérer physiquement et mentalement; cela donne du tonus et on se prépare à travailler avec plus d’enthousiasme la semaine suivante.

Trop de sécurité?

● Deux employés d’une banque française ont eu quelques problèmes avec leur direction à la suite d’une disparition d’argent peu banale. Une vérification dans les registres de la banque a montré qu’il manquait une somme de 100 000 francs français. Or c’était là le montant d’une liasse que ces deux employés avaient cachée quelque temps auparavant dans une corbeille à papier; l’argent avait sans doute terminé sa course dans un incinérateur. Les deux employés mis en cause ont fait appel au tribunal des prud’hommes, organisme qui règle les conflits du travail en France; ils ont expliqué qu’il n’avaient fait que suivre les consignes reçues. On leur avait recommandé l’usage de cachettes discrètes pour éviter d’accumuler de trop grosses sommes d’argent liquide dans un même endroit. La cachette était si discrète que même les personnes chargées du ménage n’ont rien remarqué.

Des chiens pour les sourds

● Tout comme il existe des chiens pour les aveugles, on forme actuellement des chiens pour aider les sourds. Pour aider les non-voyants, on ne peut utiliser que des labradors ou des bergers allemands, mais pour les sourds, toutes les races conviennent, même les bâtards. Selon le Globe and Mail, périodique canadien, ce qu’il faut, c’est un chien très vif et capable de courir rapidement vers la source d’un bruit. En général, on obtient les meilleurs résultats avec des chiens de petite taille. Au cours des quatre à six mois de formation, on apprend au chien à courir vers l’alarme, le téléphone, la sonnerie de la porte d’entrée, le sifflet de la bouilloire, le détecteur de fumée ou le bébé qui pleure. Ensuite, le chien revient, toujours en courant, avertir son propriétaire.

Métro des neiges

● Comment installer des remontées sur des pistes de ski tout en respectant l’environnement? La station de Saas-Fee, en Suisse, vient de résoudre le problème d’une manière originale en installant le premier métro des neiges. Le journal Le Monde donne quelques explications: “En moins de trois minutes et à une vitesse de 36 kilomètres/heure, ce funiculaire souterrain peut transporter 115 voyageurs du terminus du téléphérique de Felskinn à 3 000 mètres d’altitude, jusqu’au milieu des champs de neige du glacier de l’Allalin, 500 mètres plus haut. Il n’aura pas fallu moins de trois ans pour réaliser ce nouveau gadget des neiges. (...) Il a fallu extraire 12 millions de mètres cubes de rochers pour creuser un tunnel de 4 mètres de diamètre, d’une longueur de 1 500 mètres. (...) Les responsables de la station estiment que son exploitation deviendra plus rentable que celle d’un téléphérique dans la mesure où ce ‘métro alpin’ n’est pas soumis aux caprices de la météo.”

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