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  • EN RÉCOMPENSE ET EN SIGNE DE RÉJOUISSANCE
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Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
ad p. 408-409

DONS, PRÉSENTS

Depuis les temps les plus reculés, les présents ont joué un rôle important dans la vie de tous les jours. Le vieux serviteur d’Abraham offrit des bijoux à Rébecca après avoir eu la preuve que Jéhovah l’avait choisie pour être la femme d’Isaac (Gen. 24:13-22). Puis, lorsque Laban et Béthuel donnèrent leur accord pour le mariage, le serviteur d’Abraham offrit d’autres cadeaux à Rébecca ainsi que “des choses de choix à son frère et à sa mère”. (Gen. 24:50-53.) Plus tard, quand Abraham transmit tous ses biens à Isaac, il ne manqua pas toutefois d’offrir des dons aux fils de ses concubines avant de les envoyer au loin. — Gen. 25:5, 6; comparez avec II Chroniques 21:3.

DONS EN VUE D’OBTENIR CERTAINS AVANTAGES

Les dons étaient souvent offerts dans le but d’obtenir quelque chose. Jacob prépara un don impressionnant de têtes de bétail pour Ésaü, afin de trouver faveur aux yeux de son frère (Gen. 32:13-18; 33:8). On comprend mieux pourquoi Jacob insista pour qu’Ésaü accepte son don quand on sait que, selon la coutume orientale, celui qui refusait un présent signifiait par là qu’il ne voulait pas accorder sa faveur au donateur (Gen. 33:10). Pour se concilier la bienveillance de l’administrateur des vivres égyptien qui leur avait parlé durement (et qui était en fait leur propre frère, Joseph), les fils de Jacob suivirent les conseils de leur père et prirent avec eux les plus beaux produits du pays pour les lui offrir. — Gen. 42:30; 43:11, 25, 26.

Celui qui fait des dons, peut en retirer directement des bienfaits, comme l’indique ce proverbe: “Le don d’un homme lui fera une grande ouverture, et il le mènera devant les grands.” (Prov. 18:16). Un don peut calmer la colère, mais il n’apaisera pas la rage de l’homme valide envers celui qui commet l’adultère avec sa femme, quel que soit le montant du présent que celui-ci pourrait lui offrir. — Prov. 21:14; 6:32-35.

DONS AUX ROIS ET AUX PROPHÈTES

Il semble que les personnes qui rendaient visite à un roi avaient coutume de lui apporter des présents. Il est dit au sujet des “hommes qui ne valaient rien” et qui méprisaient Saül, qu’ils ne lui apportèrent pas le don. Salomon, tout particulièrement, reçut des présents en grande quantité de la part de ceux qui venaient de pays lointains pour entendre sa sagesse. Les astrologues qui vinrent voir ‘celui qui étaient né roi des Juifs’ ne firent que suivre cette coutume quand ils offrirent des présents au jeune enfant Jésus (I Sam. 10:27; I Rois 10:10, 24, 25; Mat. 2:1, 2, 11; voir aussi II Rois 20:12; II Chroniques 17:5). De même, ceux qui s’adressaient à un prophète lui apportaient parfois un don (I Sam. 9:7; II Rois 8:8, 9). Toutefois, les prophètes de Dieu n’attendaient ni ne recherchaient de dons pour leur services, comme le montre le cas d’Élisée qui refusa le “présent de bénédiction” que lui offrit Naaman. — II Rois 5:15, 16.

EN RÉCOMPENSE ET EN SIGNE DE RÉJOUISSANCE

On faisait des dons pour récompenser ceux qui exécutaient une certaine tâche avec succès (II Sam. 18:11; Dan. 2:6, 48; 5:16, 17, 29). Selon la Loi, on ne devait pas renvoyer un esclave libéré les mains vides, mais il devait recevoir un don, quelque chose provenant du troupeau, de l’aire de battage et du pressoir à huile et à vin (Deut. 15:13, 14). Les occasions de grandes réjouissances pouvaient s’accompagner de distribution de présents. — Esther 9:20-22; comparez avec Révélation 11:10.

DONS CONCERNANT LE SANCTUAIRE

Dieu prit les Lévites comme un don pour la maison d’Aaron, comme ceux qui avaient été donnés à Jéhovah pour faire le service du sanctuaire (Nomb. 18:6, 7). De même, les Gabaonites et tous ceux qui furent constitués serviteurs au sanctuaire étaient appelés Néthinim, mot qui signifie “les donnés”. (Josué 9:27; I Chron. 9:2; Esdras 8:20.) En outre, on désignait sous le nom de dons les contributions versées au profit du service du sanctuaire ainsi que les sacrifices. — Ex. 28:38; Lév. 23:37, 38; Nomb. 18:29; Mat. 5:23, 24; Luc 21:1.

En tant que Créateur, Jéhovah possède toutes choses. Par conséquent, celui qui fait un don matériel pour l’avancement du vrai culte ne fait que rendre à Dieu une portion de ce qu’il a reçu de lui à l’origine. — Ps. 50:10; I Chron. 29:14.

CONSEILS RELATIFS AUX DONS

Les présents sous forme de pots-de-vin peuvent détruire le cœur et pervertir la justice, aussi les Écritures nous exhortent-​elles à haïr de tels dons. Dieu condamne également ceux qui courent après les cadeaux (Deut. 16:19, 20; Eccl. 7:7; Prov. 15:27; És. 1:23). Enfin, “l’homme qui se glorifie d’un don dans le mensonge”, c’est-à-dire qui ne fait pas les actions dont il se vante, est comparé à des nuages vaporeux et à un vent sans pluie torrentielle (Prov. 25:14). Celui qui fait des dons peut avoir beaucoup de compagnons, mais ses largesses ne lui assurent pas des amitiés durables. — Prov. 19:6.

Les Écritures grecques chrétiennes censurent vigoureusement certaines pratiques relatives aux dons. Jésus condamna les scribes et les Pharisiens parce qu’ils passaient outre au commandement d’honorer son père et sa mère. D’après eux, si quelqu’un déclarait que ses biens matériels étaient un don voué à Dieu, il était libéré de l’obligation d’aider ses parents (Mat. 15:1-6; voir CORBAN). Il n’y a aucun mérite à donner parce qu’on attend quelque chose en retour (Luc 6:30-36; 14:12-14). Pour plaire à Jéhovah, nos dons doivent être désintéressés et faits sans ostentation. — Mat. 6:2-4; I Cor. 13:3.

LA GÉNÉROSITÉ CHRÉTIENNE

Les premiers chrétiens aidaient leurs frères dans le besoin au moyen de dons ou de contributions (Rom. 15:26; I Cor. 16:1, 2). Cependant, tous ces dons étaient volontaires, comme l’indiquent les paroles suivantes de Paul: “Que chacun fasse comme il l’a résolu dans son cœur, non avec regret ni par contrainte, car Dieu aime celui qui donne avec joie.” (II Cor. 9:7). Les chrétiens aidaient également ceux qui, comme l’apôtre Paul, se consacraient entièrement au “ministère de la parole”. Toutefois, tout en appréciant beaucoup la générosité de ses frères à son égard, Paul ne recherchait pas leurs dons. — Phil. 4:15-17.

Les chrétiens peuvent donner quelque chose de plus précieux encore qu’une aide matérielle. Ils procureront plus de bonheur en faisant don de leur temps et de leurs capacités pour édifier d’autres personnes mentalement et spirituellement. Le plus grand présent que l’on puisse faire à quelqu’un est de l’aider à comprendre la Parole de Dieu, puisque cela peut le conduire à la vie éternelle. — Jean 6:26, 27; 17:3; Actes 20:35; Rév. 22:17.

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