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  • Le culte populaire de la foi
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1960
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  • PRINCIPALEMENT LA FOI EN LA FOI
  • MOTIFS ERRONÉS
  • AUCUN EXAMEN CRITIQUE
  • AUCUN SENTIMENT DE JUGEMENT DEVANT DIEU
  • CENTRÉE SUR L’HOMME, NON SUR DIEU
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1960
w60 1/6 p. 172-174

Le culte populaire de la foi

Qu’est-​ce que la religion populaire, aujourd’hui ? Pourquoi le matérialisme et le chagrin existent-​ils parmi tant de gens religieux ?

“ LE DIEU inconnu des Américains ”, a déclaré le célèbre théologien Reinhold Niebuhr, “ semble être la foi elle-​même. ” Quel commentaire éclairé sur la religion populaire de nos jours !

C’est ce culte populaire de la foi qui permet d’exposer les raisons des difficultés actuelles de l’humanité. Il aide à expliquer pourquoi l’Amérique, par exemple, tout en devenant de plus en plus matérialiste, se fait d’autant plus religieuse. Ce culte explique pourquoi tant de personnes n’ont pas trouvé le bonheur qu’elles recherchent.

En quoi consiste ce culte populaire de la foi ? C’est une forme de religion qui insiste sur la foi, non sur la Bible ni sur Dieu ou sa volonté. Cette religion populaire présente la particularité de ne pas se limiter à un seul groupe religieux ; de nombreux protestants, catholiques et juifs en sont venus à faire acte d’adoration devant l’autel de la foi. Mais ces nombreuses personnes ne parlent-​elles pas de Dieu ?

“ Certes, les Américains religieux parlent de Dieu et du Christ ”, écrit Will Herberg dans son ouvrage bien connu Protestant-Catholic-Jew, “ mais il semble que ce qu’ils considèrent comme réellement rédempteur, c’est principalement la religion, l’attitude “ positive ” de croire. C’est cette foi en la foi — cette religion qui fait de la religion son propre but — qui est le trait essentiel de la religiosité américaine contemporaine. La formule de [l’ecclésiastique] Daniel Poling : “ Je commençais à dire le matin ces deux mots : “ Je crois ” — ces deux mots, sans rien de plus ”, peut être considérée comme l’expression classique de cet aspect de la foi américaine. ”

Will Herberg, qui s’est livré à une étude approfondie de ce culte de la foi, signale encore l’ouvrage populaire This I Belive (C’est ce que je crois), dû à la plume d’Edward P. Morgan, comme un exemple bien connu. Dans ce livre, cent “ hommes et femmes réfléchis de toutes les classes sociales ”, se disant chrétiens ou juifs, font des déclarations sur ce qu’ils croient. Quelle est la foi qu’ils proclament être de la plus haute importance dans leur vie ? La foi en une variété étonnante de choses, telles que la fraternité, les valeurs spirituelles, la vie, la tolérance, la liberté, la démocratie et la foi en la foi. À peine la moitié de ces personnalités éminentes mentionne Dieu. “ Pour une raison ou une autre, leur foi en Dieu, et le Dieu en lequel ils croyaient ”, constate Herberg “ ne paraissaient pas occuper la première place dans leur esprit quand ils se levèrent pour dire au monde : C’est ce que je crois. ” L’adepte moyen d’une religion populaire, qui va à l’église, relève Herberg, n’est pas tellement différent.

PRINCIPALEMENT LA FOI EN LA FOI

La religion populaire n’insiste donc pas sur Dieu mais sur la foi elle-​même, la prétendue “ magie de croire ”. Et chose étrange, on va même jusqu’à dire que cette attitude positive de croire représente la foi chrétienne de la Bible ! Dans God’s Psychiatry, Charles L. Allen écrit : “ Je vous dis que vous pouvez envisager un avenir de paix et de victoire. “ Croyez seulement, croyez seulement que tout est possible, croyez seulement ! ” Ce n’est pas un simple refrain. C’est la foi chrétienne. ”

Parmi les représentants juifs de cette religion de la foi en la foi figure le rabbin Louis Binstock, qui écrit dans The Power of Faith (Le pouvoir de la foi) : “ Comme tous les autres, vous avez accès à une vaste réserve de force dynamique à laquelle vous pouvez puiser (...) Cette réserve est la Foi (...) Pas Dieu. Mais — la Foi. ”

Parce que cette forme de culte est populaire, des groupements religieux de toutes sortes l’ont adoptée, à divers degrés. Aujourd’hui, la publicité poussant à fréquenter l’église insiste, en général, sur la foi, non sur Dieu, ni sur la Bible. Une de ces annonces, parue dans les journaux, affirme : “ La présence régulière à l’église contribue à l’édification de votre réserve personnelle de foi. ” Rien ne mentionnait que les personnes venant à l’église trouveraient de l’aide leur permettant d’apprendre à faire la volonté de Jéhovah, le Dieu tout-puissant.

Il n’est guère étonnant que la religion populaire soit brumeuse et ténébreuse, et que ses adhérents aient de la difficulté à définir en termes précis ce qu’ils croient.

MOTIFS ERRONÉS

La Parole de Dieu, la Bible, nous parle de la “ seule foi ”, la vraie religion que Jésus-Christ enseigna (Éph. 4:5). Au centre de cette “ seule foi ” biblique se trouvent Jéhovah Dieu et sa volonté. Dans Hébreux 10:9, l’apôtre Paul parle de l’attitude mentale de Jésus-Christ : “ Voici, je viens pour faire ta volonté. ” Mais, dans la religion populaire de notre époque, ce n’est pas la volonté de Dieu qui est de première importance, c’est la volonté de l’adorateur lui-​même.

Parlant des motifs qui s’infiltrent dans la religion populaire, Will Herberg dit : “ La prospérité, le succès et l’avancement dans les affaires sont les buts évidents pour lesquels la religion, ou plutôt l’attitude religieuse de “ croire ”, est considérée comme utile (...) Le culte de la foi se présente sous deux formes, que nous pourrions appeler introversion et extraversion. Dans sa forme introvertie, on se fie en la foi qui apportera la santé mentale et la “ paix de l’esprit ”, dissipera l’anxiété et la culpabilité, transportera l’âme vers la terre bénie de la “ normalité ” et de l’“ acceptation de soi-​même ” (...) Sa forme extravertie est connue comme une “ façon de penser positive ”. La “ façon de penser positive ”, qui est “ affirmative ” et évite les corrosions de la “ négativité ” et du “ scepticisme ”, façon de penser qui “ a la foi ”, est recommandée comme une force puissante dans un monde de luttes et de réalisations. Ici encore, ce n’est pas tellement la foi en quelque chose (...) qui est supposée conférer ce pouvoir, mais simplement la foi, l’attitude psychologique d’avoir la foi.

Par conséquent, ce que de nombreuses personnes recherchent, ce n’est pas la volonté divine à l’égard de l’homme, mais un calmant de l’esprit, quelque chose qui allège les chagrins et les contrariétés de l’existence ; ou bien elles veulent un stimulant de l’esprit, quelque chose qui les pousse vers le succès dans ce monde. Selon les paroles du Dr Clifford E. Barbour, président du Séminaire théologique de l’Ouest, à Pittsburgh : “ Ils veulent ou une foi qui contribuera au succès dans cette vie — un prétendu intérêt personnel éclairé — ou bien une foi religieuse qui soit une échappatoire à cette vie. ” L’archevêque catholique romain, Patrick A. O’Boyle, a déclaré que de nombreuses personnes “ ont recours à la religion comme elles auraient recours à un sédatif bénin, pour tranquilliser leur esprit et calmer leurs nerfs. ”

Qu’elles sont nombreuses, les églises qui dispensent ces sédatifs de l’esprit au lieu de nourriture spirituelle ! Le mot “ succès ”, qui apparaît dans la religion si populaire, ne se réfère pas au succès dans la pratique du vrai christianisme, mais au succès dans quelque réalisation de ce monde à laquelle l’adorateur aspire.

AUCUN EXAMEN CRITIQUE

Quand les motifs sont mauvais et qu’il n’y a pas le désir sincère d’apprendre et de faire la volonté divine, alors il n’est pas étrange que nous trouvions cette caractéristique : une mauvaise grâce à faire un examen critique de sa foi, en l’éprouvant à l’aide de la Sainte Bible, qui permet de juger la religion.

La Parole de Dieu ordonne : “ Éprouvez toutes choses. ” (I Thess. 5:21, Da). Mais les adeptes de la religion populaire sont peu enclins à faire un examen pour s’assurer de la bonne croyance. Pourquoi ? Peut-être ont-​ils peur des responsabilités qu’entraîne la vraie religion telle qu’on la trouve dans la Bible, comme le fait comprendre Will Herberg : “ En général, il n’y a aucune critique des buts eux-​mêmes aux termes de la loyauté fondamentale exigée par une foi centrée sur Dieu. On ne se préoccupe pas non plus de ce dont il s’agit en matière de religion ou de foi ; ce n’est donc pas du contenu de la croyance mais de l’attitude de croire que l’on attend un résultat. ”

Cette attitude ne pouvait que conduire à de nombreux faux enseignements. Mais peu importe qu’il y ait beaucoup de fausses doctrines, la paix de l’esprit recherchée n’en paraît pas troublée. Un commentaire à ce sujet se trouve dans le Christian Herald de mars 1957, dans la rubrique “ Le docteur Poling répond à vos questions. ” Un lecteur troublé pose la question suivante, sous le titre “ Fausses doctrines ” : “ Je suis fort troublé par les fausses doctrines. On me dit qu’il y en a 80, peut-être davantage. Je suis tout bouleversé, bien que je sache que le Seigneur est mon Sauveur personnel et que, ces dernières années, j’aie été fermement établi dans ma foi. Comment puis-​je retrouver de solides fondements ? ” Voici la réponse donnée à cette personne : “ Quant aux fausses doctrines, il se peut qu’il y en ait 80 ou mille. Je sais qu’il est impossible de les compter toutes, mais puisque vous connaissez le Seigneur et que vous avez été dans Sa grâce toutes ces années, vous avez sûrement le témoignage dans votre cœur, jour après jour. Vous avez tout ce qu’il faut pour votre paix de l’esprit. ”

AUCUN SENTIMENT DE JUGEMENT DEVANT DIEU

Il n’est pas surprenant que la religion populaire, acceptant de s’accommoder ou de courir le risque des fausses doctrines, se caractérise par l’absence de tout jugement devant le vrai Dieu vivant. Cependant, la vraie religion, telle qu’elle était enseignée par un apôtre du Christ, reposait sur ces principes : “ Nous comparaîtrons tous devant le tribunal de Dieu ” et “ Chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-​même. ” — Rom. 14:10, 12.

Les adhérents de la religion populaire qui insistent sur la foi semblent oublier le fait biblique que “ Dieu (le vrai Dieu, NW) amènera toute œuvre en jugement, au sujet de tout ce qui est caché, soit bien, soit mal. ” (Eccl. 12:16 12:14, NW). En insistant sur la foi, l’idée de jugement devant le Tout-Puissant est obscurcie. Quand ils mentionnent Dieu, ce n’est guère en qualité de juste Juge qui exécutera bientôt son jugement contre ce monde ; Dieu est plutôt considéré comme un voisin amical.

Pour de nombreux adhérents de la religion populaire, Dieu est tout juste un “ Bon Type ” ou le “ Bonhomme d’en haut ”. “ Tout sentiment de crainte respectueuse devant la majesté divine, tout sentiment de jugement devant la sainteté divine ”, dit Herberg, “ est exclu ; Dieu est, selon l’expression inimitable de Jane Russell, une “ Poupée vivante ” (...) Est-​ce Celui dont il nous est dit :  “ C’est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant ” (Héb. 10:31) ? On peut mesurer, par l’abîme qui sépare la “ Poupée vivante ” de Jane Russell du Dieu vivant de l’Écriture, à quel point la religiosité américaine contemporaine est éloignée de la tradition authentique de la foi judéo-chrétienne. ”

CENTRÉE SUR L’HOMME, NON SUR DIEU

En fait, l’homme se plaçant au cœur même de cette religion de la foi en la foi, il s’agit d’une religion centrée sur l’homme, non sur Dieu. Elle opère donc d’une manière diamétralement opposée au christianisme de la Bible. Quand il enseigna ses disciples à prier, Jésus-Christ plaça Jéhovah Dieu, son nom, son royaume et sa volonté en premier lieu : “ Notre Père qui es aux cieux ! Que ton nom soit sanctifié ; que ton règne vienne ; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. ” (Mat. 6:9, 10). Mais ceux qui font acte d’adoration devant l’autel de la foi disent en réalité : “ Que ma volonté se fasse avec ton aide. ”

L’une des descriptions les plus appropriées de cette religion populaire centrée sur l’homme fut donnée par le rabbin Maurice Eisendrath, président de l’Union des Congrégations hébraïques américaines : “ L’homme est le commencement et la fin de la religiosité américaine actuelle — Dieu est fait pour servir, ou plutôt pour être subordonné à l’homme, afin de l’aider dans tous ses projets et toutes ses entreprises, qu’il s’agisse de prospérité économique, de libre entreprise, de sécurité ou de paix de l’esprit. Dieu devient ainsi un serviteur omnipotent, un groom universel, pour satisfaire tous les caprices de l’homme ; la foi devient un moyen assuré d’obtenir ce que, d’une manière impatiente et mécontente, nous désirons ardemment L’abaissement de Dieu, de l’état de maître à celui d’esclave, a atteint le comble ou plutôt le fond du blasphème, dans le culte du Bonhomme d’en haut — le dieu-voisin amical, qui demeure dans l’appartement juste au-dessus. Invoquez-​le à n’importe quel moment — surtout si vous avez le cafard. Il ne se laisse absolument pas démonter par vos fautes et vos manquements et, quant à vos péchés, non seulement il ne se les rappelle pas (...) mais le mot même et le concept du péché ont été abolis. ”

CONSÉQUENCES DE LA FAUSSE RELIGION

Une religion centrée sur l’homme est une fausse religion, et la fausse religion ne pourra sauver personne quand Dieu détruira ce monde inique, lors de la guerre d’Harmaguédon, “ dans la révélation du Seigneur Jésus du ciel avec les anges de sa puissance, en flammes de feu, exerçant la vengeance contre ceux qui ne connaissent pas Dieu, et contre ceux qui n’obéissent pas à l’évangile (la bonne nouvelle, La) de notre seigneur Jésus-Christ ; lesquels subiront le châtiment d’une destruction éternelle. ” — II Thess. 1:7-9, Da.

Donc, la religion populaire de notre époque n’a pas le pouvoir de sauver qui que ce soit pour lui permettre de vivre éternellement dans le monde de Dieu. Le fait qu’une telle religion ne peut pas mériter l’approbation de Dieu est admis par quelques ecclésiastiques, tels que Ralph Sockman qui déclara : “ Nous sommes enclins à présenter Dieu comme notre serviteur qui nous apporte les succès financiers et sociaux plutôt que comme un souverain que nous servons. Une religion égocentrique, qui sert l’individu, n’est pas scripturale, et, si populaire soit-​elle pour le moment, elle ne peut nous sauver. ”

En dépit de la futilité reconnue de cette religion centrée sur l’homme, elle continue à être populaire ; et les ecclésiastiques, malgré d’occasionnelles protestations, continuent à dispenser ce qui est populaire.

Ah ! maintenant, nous pouvons discerner pourquoi ceux qui vont à l’église n’ont pas trouvé le bonheur qu’ils recherchent. Seule la vraie religion, centrée sur la volonté du Dieu tout-puissant qui aboutit au bon motif, à une croyance exacte et aux œuvres justes, peut apporter la paix de l’esprit dont parle la Bible : “ La paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ. ” — Phil. 4:7.

Maintenant nous voyons aussi pourquoi les crimes augmentent malgré le nombre croissant de ceux qui vont à l’église. La religion populaire n’a pas été une force capable de modeler leur vie. Elle n’a pas apporté de changement dans leur manière de vivre. Elle ne leur a donné ni les directives, ni la force de “ se dépouiller de la vieille personnalité ” et de “ revêtir la nouvelle personnalité qui fut créée selon la volonté de Dieu ”. — Éph. 4:22-24, NW.

Rien d’étonnant qu’il y ait tant d’insensibilité morale parmi les gens qui se disent religieux ! Rien d’étonnant que tant de personnes, malgré leur présence régulière à l’église, marchent dans le vide moral ! Rien d’étonnant que le matérialisme se soit accru en même temps que le nombre des membres dans les églises.

Pour mettre le comble à sa condition répréhensible, la religion populaire a obscurci le vrai culte de Jéhovah, le vrai Dieu vivant. Quelle folie de permettre à ce qui est populaire d’obscurcir ce qui est juste et vrai ! La véritable religion ne sera jamais populaire dans ce monde, comme Jésus l’a clairement montré : “ Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent. ” — Mat. 7:13, 14.

On peut trouver la vraie religion, le chemin qui mène à la vie. C’est principalement une question de bonne disposition de cœur. Désirez-​vous sincèrement trouver la vérité et faire la volonté du vrai Dieu ? Alors, vous devez aller à sa Parole, la Bible. C’est dans ce Livre que vous trouverez les principes qui régiront votre vie. Associez-​vous à ceux qui pratiquent la vraie religion de la Bible. Permettez aux témoins de Jéhovah, qui vous ont apporté ce périodique, de vous aider à emprunter “ le chemin qui mène à la vie ”. Détournez-​vous du culte populaire et futile de la foi pour vous tourner vers le culte qui préserve la vie, le culte de Jéhovah Dieu ; car, il est certain que “ le monde passe et sa convoitise aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement. ” — I Jean 2:17.

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