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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1960
w60 15/2 p. 51

Le livre incomparable : la Bible

ON NE peut rien opposer à l’incomparable. On ne peut rien lui égaler. En ce qui concerne les livres, il en existe un répondant vraiment à cette qualité, car il est exceptionnel et rien ne peut lui être comparé. Il a pour nom la Parole de Dieu, la Bible. Ce n’est pas sans raison valable qu’elle a été nommée la Bibliothèque divine, car elle n’est pas formée d’un seul livre, mais d’une collection de soixante-six écrits, livres et récits dont l’étendue varie entre une et quelque deux cents pages.

À bien des égards, ce Livre des livres continue à se révéler sans pareil : par l’accomplissement de nombreuses prophéties, en particulier celles se rapportant à la première et à la seconde présence de Christ ; par l’influence exercée sur la vie des hommes : certains, de fétichistes, belliqueux, polygames qu’ils étaient sont devenus des hommes craignant Dieu, paisibles et monogames ; par sa narration objective et précise de l’histoire ancienne, ainsi que les récentes découvertes archéologiques l’ont révélé en Palestine ; par l’harmonie de ses textes aussi, bien que ceux-ci aient été rédigés par quelque trente-cinq hommes — qui tous en effet donnèrent la première place au nom de Dieu et à son royaume — durant une période d’environ 1 600 ans, et enfin par la franchise et la sincérité de ses rédacteurs.

Si l’on considère les nombreuses attaques dont la Bible a été l’objet, attaques plus violentes qu’à l’égard d’aucun autre livre, sa survivance même prouve une vitalité inégalée. Elle a été et est encore violemment critiquée par les régimes totalitaires, politiques ou religieux. Non seulement ils ont donné libre cours à leur propagande néfaste mais encore ils se sont opposés à la diffusion de la Bible. L’Espagne de Franco et la Russie de Krouchtchev nous fournissent deux saisissants exemples.

Les athées, les agnostiques, les humanistes et les unitaires continuent à lancer leurs traits enflammés. Les théories scientifiques sont interprétées comme autant de faits bien qu’elles se contredisent les unes les autres et changent. On a célébré en 1959 le centenaire de “ l’origine des espèces ” de Darwin : belle occasion pour amonceler les railleries et le ridicule sur le “ mythe biblique de la création ”. Mais, malgré cela, tous ont failli dans leur tentative de diminuer la diffusion de la Bible.

La Bible a encore poursuivi son chemin exceptionnel en dépit de tout le mal qu’ont pu lui faire ses soi-disant amis. Beaucoup d’hommes se sont détournés d’elle à cause des croyances contradictoires que l’on a prétendu fonder sur elle. D’un côté, les fondamentalistes lui ont causé un tort immense par leur interprétation littérale, tandis que d’un autre, les modernistes ont crié haro sur les chrétiens parce qu’ils acceptaient la Bible comme la Parole de Dieu. Donnant libre cours à leurs sentiments, ils s’écrient : “ Quel travesti de la foi chrétienne cette idolâtrie du livre appelé la Bible ! (...) Comment quelqu’un peut-​il comprendre ce qu’elle dit sans savoir ce qu’elle est ? ” Malheureusement pour bon nombre d’ecclésiastiques, la Bible n’est pas ce que Jésus en disait : “ la Parole de son Père, Jéhovah Dieu ”. — Jean 17:17.

Ses prétendus amis font non seulement du tort à la Bible par leurs contradictions et leurs enseignements antiscripturaux, mais encore par leurs actions. Les guerres, la corruption politique, le matérialisme et le crime caractérisent les nations de la chrétienté qui n’ont que des paroles à offrir. Il n’y a dès lors plus à s’étonner de l’attitude sceptique des Orientaux à l’égard des Saintes Écritures.

En dépit des calomnies et de l’opposition dont elle a été l’objet, la Bible nous fournit elle-​même des preuves supplémentaires de son caractère exceptionnel et de son origine divine. Elle affirme la solidité de son témoignage : “ L’herbe sèche, et la fleur tombe ; mais la parole du Seigneur demeure éternellement ”. — I Pierre 1:24, 25.

L’évidente vitalité de la Bible fut récemment soulignée par la presse : le rapport d’une enquête montrait que la Bible avait été traduite, en totalité ou en partie, en 1 136 langues. Il faut en dénombrer 215 de la Bible complète et 273 des Écritures chrétiennes ; chacune de ces traductions a connu un tirage supérieur à celui de la moyenne des romans modernes. En 1958, une société biblique américaine distribua à elle seule plus de 16 600 000 exemplaires de la Bible, ajoutant trois nouvelles traductions à celles existant déjà, portant ainsi le total à 1 136. — Time du 25 mai 1959.

On peut en outre remarquer en passant que la volonté des amis de la Bible à lui consacrer leur temps, leurs moyens et même parfois leur vie pour la traduire, la publier et la diffuser à une échelle mondiale est encore une preuve du caractère incomparable de ce livre. Où existe-​t-​il un autre ouvrage capable d’enrichir ses lecteurs au point de les inciter à de tels sacrifices ? Où sont, en comparaison, les sociétés éditrices et missionnaires du Koran ou des Vedas ? Aujourd’hui, la publication et la diffusion de la Bible en est dans son troisième milliard.

Sur la base de ce qui précède, il semble plutôt étrange qu’au mois d’avril 1959 une agence d’information américaine rapportait que la Bible avait été éclipsée quant au nombre des traductions. Cette enquête voit les œuvres de Lénine apparaître en tête, puis Jules Verne avec Le tour du monde en quatre-vingts jours, suivi des pièces de Shakespeare. Loin derrière, la Bible. Mais ce que le commentateur manqua de rapporter, c’est que ces chiffres ne s’appliquaient qu’à l’année 1957, et qu’ils n’avaient par conséquent aucune valeur quant au nombre des traductions publiées. Le rapport de l’UNESCO montre également qu’un total de 27 978 livres différents, en 65 pays et en plus de deux cents langues, ont été édités cette année. Plus de la moitié étaient des romans. Pour ce qui est des ouvrages scientifiques, le temps pendant lequel ils conserveront leur autorité demeure du domaine de la spéculation pure (...)

Tout ceci nous remémore les paroles écrites il y a trois mille ans par un roi sage : “ On ne finirait pas, si l’on voulait faire un grand nombre de livres, et beaucoup d’étude est une fatigue pour le corps. Écoutons la fin du discours : Crains Dieu et observe ses commandements. C’est là ce que doit tout homme. ” Pour y parvenir, on n’a pas besoin des écrits de Lénine, de Jules Verne ou de Shakespeare, mais du livre qui demeure le plus largement traduit et diffusé, le Livre incomparable : la Parole de Dieu, la Bible. — Eccl. 12:14, 15 12:12, 13, NW.

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