Réponses à vos questions
● Quel profit y a-t-il à rendre un rapport de service?
Selon les Écritures, une “bonne nouvelle” est aussi rafraîchissante que l’eau fraîche pour une âme fatiguée (Prov. 25:25). Par exemple, nous avons été encouragés en lisant dans Le service du Royaume de septembre que 67 135 proclamateurs avaient pris part au service au mois de mai, que ce chiffre constituait un accroissement de 5 pour cent et qu’il y avait eu 2 145 pionniers auxiliaires! Vraiment, de tels rapports nous procurent de la joie et nous rafraîchissent.
Grâce à nos rapports exacts et complets, la Société peut organiser convenablement son programme d’activité pour ce qui est de prévoir, par exemple, la quantité de publications dont nous aurons besoin pour mener à bien la tâche qui nous a été confiée de prêcher et de faire des disciples. Grâce à de tels rapports, il est encore possible de déterminer quelles sont les régions où le besoin est plus grand de manière à leur apporter de l’aide, afin d’étendre la prédication de la bonne nouvelle du Royaume. — Marc 13:10.
Mais qu’est-ce qui rend ces rapports aussi utiles et encourageants? À la base, c’est l’effort consciencieux que chaque proclamateur du Royaume fait en remettant régulièrement chaque mois un rapport qui permet au Bureau de la filiale de publier le rapport global pour l’encouragement de tous. Ainsi, bien que ce soit une petite chose en elle-même, le fait de remettre régulièrement un rapport peut être considéré comme notre contribution personnelle à l’édification et à l’encouragement de nos frères du monde entier. Cela ne mérite-t-il pas que nous fassions des efforts? Certainement! Remettons donc régulièrement notre rapport, et encourageons les autres à faire de même. Les conducteurs à l’étude du livre et le surveillant au service donneront particulièrement l’exemple dans ce domaine. Ainsi, ces rappels utiles devraient être donnés et acceptés dans un esprit d’amour. Ayons donc souci les uns des autres pour ce qui est de la remise des rapports qui sont une “bonne nouvelle”. — I Cor. 10:24.