Note
a Certains soutiennent que cette loi ne s’applique qu’aux coups reçus par la mère. Ce n’est pas ce qu’indique le texte hébreux original. C. F. Keil et F. Delitzsch, des biblistes respectés, ont dit que l’énoncé du texte hébreu “ nous met manifestement dans l’impossibilité de limiter ces paroles à un accident dont seule la femme serait victime ”. — Voir La Tour de Garde du 15 novembre 1977, page 703.