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  • Tromperie
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    • devait offrir un sacrifice de culpabilité à Jéhovah. — Lév. 6:1-7.

      Les fausses religions sont également considérées comme une tromperie dans les Écritures. Élymas, le sorcier, fut frappé de cécité après que Paul eut dévoilé avec véhémence la façon trompeuse et scélérate avec laquelle il ‘gauchissait les voies droites de Jéhovah’. (Actes 13:8-11.) Paul redressa également le point de vue de certains chrétiens de Corinthe qui avaient des procès entre eux. Il leur dit qu’ils faisaient du tort à leurs frères quand ils allaient en justice devant des hommes injustes et non devant les saints de la congrégation. Il valait mieux se laisser frustrer que de porter de telles affaires devant des hommes du monde. — I Cor. 6:1-8.

      À de nombreuses reprises, la Bible met en garde contre la tromperie et les pratiques trompeuses, et elle les condamne. Elle fait également remarquer que Dieu jugera les trompeurs et qu’il délivrera son peuple de telles personnes. — Ps. 62:10; 72:4; 103:6; Prov. 14:31; 22:16; 28:16; Michée 2:1, 2; Mal. 3:5.

  • Trompette
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    • TROMPETTE

      (héb. ḥatsotserah; gr. salpigx).

      Avant qu’Israël ne levât le camp pour la première fois dans le désert, Jéhovah ordonna à Moïse de faire “deux trompettes d’argent (...) en ouvrage martelé”. (Nomb. 10:1-10, 13.) Bien que les Écritures ne décrivent pas ces instruments, on sait, grâce à des pièces de monnaie en circulation au temps des Maccabées et à un bas-relief sur l’Arc de Titus, que les trompettes devaient avoir entre 45 et 90 cm de longueur, qu’elles étaient droites et se terminaient en forme de cloche. Josèphe déclare qu’elles s’élargissaient légèrement à l’embouchure et que le calibre était légèrement plus large qu’une flûte, ce qui produisait probablement un son strident. Lors de la dédicace du temple de Salomon 120 trompettes ont sonné. — II Chron. 5:12.

      La Bible décrit trois signaux et deux sonneries: 1) si l’on sonnait des deux trompettes, tous les représentants de l’assemblée d’Israël devaient se rendre à la tente de réunion; 2) si l’on sonnait seulement d’une trompette, les chefs des milliers uniquement devaient s’y rendre; 3) une sonnerie modulée signalait la levée du camp. — Nomb. 10:3-7.

      Jéhovah ordonna aussi qu’en temps de guerre les trompettes fassent retentir une “sonnerie de guerre”. (Nomb. 10:9.) Par la suite, c’était le prêtre accompagnant l’armée qui faisait entendre cette sonnerie (Nomb. 31:6). Abijah, roi de Juda, quand il essayait d’éviter la guerre avec Jéroboam, roi d’Israël, parla des “trompettes du signal pour faire retentir (...) la sonnerie de la bataille” comme d’une assurance divine de la victoire de Juda. Mais Jéroboam s’entêta et ses armées furent défaites par celles de Juda, grandement encouragées par les prêtres qui “sonnaient des trompettes avec éclat”. — II Chron. 13:12-15.

      Jésus recommanda à ses auditeurs de ne pas sonner de la trompette pour attirer l’attention sur leurs actes de charité, comme font les hypocrites (Mat. 6:2). Le terme trompette est employé ici métaphoriquement; Jésus voulait évidemment dire qu’il ne faut pas faire des dons de miséricorde avec ostentation.

  • Trône
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    • TRÔNE

      (héb. kisséʼ; gr. thronos).

      Le mot hébreu kisséʼ emporte l’idée fondamentale de “siège” (I Sam. 4:13), de “chaise” (II Rois 4:10) ou de siège d’honneur, tel un “trône”. (I Rois 22:10.) Il ne s’applique pas uniquement aux sièges des souverains (I Rois 2:19; Néh. 3:7; Esther 3:1; Ézéch. 26:16), ni ne désigne strictement un fauteuil muni d’un dossier haut et d’accoudoirs. Ainsi, à la porte de Siloh, Éli tomba à la renverse du kisséʼ sur lequel il était assis. Il s’agissait donc d’un siège sans dossier. — I Sam. 4:13, 18.

      Le seul trône d’Israël dont on ait une description détaillée est celui que fit Salomon (I Rois 10:18-20; II Chron. 9:17-19). Il se trouvait probablement dans le “Portique du Trône”, l’un des bâtiments situés sur le mont Moriah, à Jérusalem (I Rois 7:7). C’était ‘un grand trône d’ivoire recouvert d’or affiné avec un dais rond par-derrière et des accoudoirs’. L’ivoire était peut-être le matériau de base de cette chaise royale, mais compte tenu des procédés de fabrication couramment employés dans la construction du temple, il semblerait que le trône était en bois recouvert d’or affiné et richement décoré d’incrustations de panneaux d’ivoire. Aux yeux d’un observateur, un tel trône donnait l’impression d’être entièrement fait d’ivoire et d’or. Après avoir mentionné que six degrés conduisaient au trône, le récit ajoute: “Deux lions se tenaient à côté des accoudoirs. Et douze lions se tenaient là, de part et d’autre, sur les six degrés.” Le symbolisme du lion, qui représente le pouvoir, est approprié (Gen. 49:9, 10; Rév. 5:5). Il semble que les douze lions correspondaient aux douze tribus d’Israël. Ils symbolisaient peut-être la soumission de celles-ci au souverain qui siégeait sur le trône et le soutien qu’elles lui apportaient. Il y avait aussi un marchepied d’or fixé au trône. Ce trône d’ivoire et d’or, élevé, surmonté d’un dais et entouré de lions majestueux, surpassait en magnificence tous les trônes de la même époque découverts par les archéologues, représentés sur des monuments ou décrits dans des inscriptions. Le chroniqueur disait vrai lorsqu’il déclara: “Aucun autre royaume n’en avait fait de semblable.” — II Chron. 9:19.

      USAGE FIGURÉ

      Au sens figuré, le “trône” représente le siège du pouvoir (I Rois 2:12; 16:11), ou la royauté et la souveraineté elles-​mêmes (Gen. 41:40; I Chron. 17:14; Ps. 89:44); un gouvernement ou une administration exerçant le pouvoir royal (II Sam. 14:9); la domination d’un souverain sur un territoire (II Sam. 3:10) et une position d’honneur. — I Sam. 2:7, 8; II Rois 25:28.

      Jéhovah, que “le ciel des cieux” ne peut contenir, n’a pas besoin de s’asseoir littéralement sur un trône (I Rois 8:27). Toutefois, il prend ce symbole pour dépeindre son pouvoir royal et sa souveraineté. Certains serviteurs de Dieu eurent le privilège d’avoir une vision de son trône (I Rois 22:19; És. 6:1; Ézéch. 1:26-28; Dan. 7:9; Rév. 4:1-3). Les Psaumes déclarent que le trône de Jéhovah, c’est-à-dire sa majesté ou son pouvoir, sa position de Juge suprême, est établi sur la justice et le jugement “depuis le temps jadis”. — Ps. 89:14; 93:2; 97:2.

      Jéhovah étendit son trône sur la terre, d’une manière symbolique et particulière, lorsqu’il traita avec les fils d’Israël. Puisque le souverain d’Israël devait être ‘un roi choisi par Jéhovah, son Dieu’, qu’il gouvernait le peuple

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