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  • Tour
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    • Méah, qui signifie “cent”. — Néh. 3:1; 12:39.

      Le long de la muraille orientale, au sud de l’enceinte du temple, on trouvait la Tour en Saillie, et encore plus au sud, dans le voisinage du palais de David, la Tour de la Maison du Roi, près de la Cour de la Garde (Néh. 3:25-27). Certains pensent que cette tour était celle que le Cantique des cantiques appelle “la tour de David, bâtie en rangées de pierres, à laquelle sont suspendus mille boucliers, toutes les rondaches des hommes puissants”. (Cant. 4:4.) Il ne faut pas confondre cette tour avec une autre, plus moderne, appelée la “Tour de David”, qui incluait la tour de Phasaël, en partie détruite par Titus en 70 de notre ère. Cette tour de Phasaël était l’une des trois qu’Hérode le Grand avait bâties pour assurer la protection de son nouveau palais, érigé à proximité de l’ancienne Porte de l’Angle sur le côté ouest de la ville.

      La Tour de Siloam était probablement non loin de l’étang du même nom dans le secteur sud-est de Jérusalem. Jésus relata que cette tour s’était effondrée, tuant dix-huit hommes, événement qui était encore frais dans la mémoire de ses auditeurs. — Luc 13:4.

      AU SENS FIGURÉ

      Ceux qui ont foi en Jéhovah et qui lui obéissent bénéficient d’une grande sécurité, comme David l’a chanté: “Tu [toi, Jéhovah] t’es révélé un refuge pour moi, une tour forte en face de l’ennemi.” (Ps. 61:3). Celui qui reconnaît ce que signifie le nom de Jéhovah, qui met sa confiance dans ce nom et le représente fidèlement, n’a rien à craindre, car “le nom de Jéhovah est une tour forte. Le juste y court et reçoit protection”. — Prov. 18:10; voir I Samuel 17:45-47.

  • Tour de Babel
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    • TOUR DE BABEL

      Voir BABEL.

  • Tour de garde
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    • TOUR DE GARDE

      Poste de guet ou d’observation qu’on construisait souvent dans les villes ou sur les murs des villes (voir TOUR). On en construisait aussi dans des endroits désertiques ou aux frontières. C’était principalement à des fins militaires, pour assurer la protection des villes ou des frontières. On en bâtissait également dans des lieux isolés où ils servaient de refuges pour les bergers et les cultivateurs. Ces tours de garde permettaient aussi à des guetteurs d’annoncer l’approche de maraudeurs, afin qu’on puisse protéger les troupeaux et les récoltes qui mûrissaient. — II Chron. 20:24; És. 21:8; 32:14.

      Un certain nombre de villes étaient appelées Mizpéh (en hébreu mitzpèh, “tour de garde”), probablement parce qu’elles étaient bâties sur une hauteur ou parce qu’on y avait élevé des tours remarquables. Parfois la Bible distingue ces villes l’une de l’autre en ajoutant le nom du lieu où elles étaient situées, comme “Mizpéh de Galaad” (Juges 11:29) et “Mizpéh en Moab”. — I Sam. 22:3.

      Jacob fit un tas de pierres qu’il appela “Galéed” (“monceau-témoin”) et “la Tour de Garde”, car Laban dit: “Que Jéhovah guette entre moi et toi, quand nous ne serons plus en vue l’un de l’autre.” (Gen. 31:45-49). Ce monceau de pierres était un témoignage que Jéhovah guetterait pour s’assurer que Jacob et Laban respectaient leur alliance de paix.

  • Tourment
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    • TOURMENT

      Le verbe grec basanizô (et ses dérivés) apparaît près de vingt fois dans les Écritures grecques chrétiennes. Il signifie littéralement ‘essayer avec la pierre de touche [basanos]’ et, par extension, ‘éprouver ou questionner en soumettant à la torture’. Les lexicographes font remarquer que, dans les Écritures grecques chrétiennes, ce mot est utilisé dans le sens d’‘affliger avec d’atroces douleurs; être harcelé, être dans la détresse’. — Mat. 8:29; Luc 8:28; Rév. 12:2.

      La Bible utilise le terme basanizô à plusieurs reprises. Par exemple, un serviteur atteint de paralysie était “horriblement tourmenté” (MN) ou ‘souffrait atrocement’ (Jé) (Mat. 8:6; voir 4:24). De même, Lot “tourmentait de jour en jour son âme” (MN) ou “torturait jour après jour son âme” (Jé) à cause des actes iniques des habitants de Sodome (II Pierre 2:8). Ce mot peut même être utilisé en rapport avec un bateau qui avance avec difficulté. — Mat. 14:24; Marc 6:48.

      Le substantif grec basanistês, qui apparaît en Matthieu 18:34, est rendu par “geôliers” dans certaines traductions (Ce; MN; Sy; voir verset 30 18:30), et par “tortionnaires” ou “bourreaux” dans d’autres (Jé; Os). On avait parfois recours à la torture dans les prisons pour obtenir des renseignements (voir Actes 22:24, 29, qui illustre bien cela, même si le mot basanizô n’est pas utilisé dans ce cas). Le terme basanistês en vint donc à désigner les geôliers. À propos de l’utilisation de ce mot par Jésus en Matthieu 18:34, une encyclopédie (The International Standard Bible Encyclopedia, vol. V, p. 2999) fait cette remarque: “L’emprisonnement lui-​même était probablement considéré comme ‘un tourment’ (et il l’était sans doute), et le mot ‘tourmenteurs’ désignerait donc tout simplement les geôliers.” Par conséquent, lorsqu’il est parlé en Révélation 20:10 de ceux qui seront “tourmentés jour et nuit, à tout jamais”, il faut évidemment comprendre qu’ils seront comme emprisonnés. — Voir LAC DE FEU.

      Certains commentateurs ont invoqué l’utilisation du mot “tourment” dans certains passages de la Bible pour soutenir l’enseignement des souffrances éternelles dans un enfer de feu. Toutefois, comme nous venons de le voir, il y a de solides raisons bibliques de penser que Révélation 20:10 n’a pas ce sens-​là. En fait, le verset 14 20:14 révèle que le “lac de feu” dans lequel certains individus sont tourmentés signifie “la seconde mort”. En outre, bien que Jésus ait parlé d’“un certain homme riche” qui “était dans les tourments” (Luc 16:23, 28), l’article LAZARE (No 2) montre que Jésus ne décrivait pas les souffrances réelles d’une personne, mais qu’il usait plutôt là d’une illustration. Nous trouvons dans la Révélation de nombreux versets où le mot “tourment” revêt de toute évidence un sens symbolique ou figuré, comme le montre clairement le contexte. — Rév. 9:5; 11:10; 18:7, 10.

  • Tourterelle
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    • TOURTERELLE

      (héb. tor, tôr; gr. trugôn).

      Petit pigeon sauvage, habituellement grand migrateur. Le nom hébreu imite vraisemblablement le cri plaintif de l’oiseau, “tor-r-r tor-r-r”, et c’est ce son que l’on retrouve essentiellement dans le nom latin turtur.

      Les variétés les plus fréquentes en Palestine sont la “tourterelle commune” et la “tourterelle à collier”. Cette dernière est ainsi nommée à cause de la ligne noire et étroite qui orne son cou.

      Une autre variété, la “tourterelle des palmiers”, ne migre pas; elle passe toute l’année dans la vallée de la mer Morte, au climat tropical. Par contre, les autres variétés migrent chaque année, comme l’indique bien Jérémie 8:7 où il est question de la tourterelle et d’autres oiseaux qui “observent parfaitement le temps où chacun doit arriver”. La tourterelle est une messagère infaillible du printemps en Palestine; elle vient du sud au début de mars et fait ‘entendre sa voix dans le pays’. — Cant. 2:12.

      La tourterelle est un oiseau timide et doux qui n’a que son vol rapide pour échapper à ses ennemis (Ps. 74:19). Pendant leur saison, les tourterelles sont très abondantes dans toute la Palestine, et comme elles se nourrissent de graines, de semences et de trèfle, on les capture facilement avec des pièges placés sur le sol. Abraham inclut une tourterelle dans son offrande quand Jéhovah ‘conclut une alliance’ avec lui (Gen. 15:9, 10, 17, 18). Par la suite, la loi de Moïse prescrivit ou permit l’offrande d’une tourterelle pour certains sacrifices ou rites de purification (Lév. 1:14; 5:7, 11; 12:6, 8; 14:22, 30; 15:14, 15, 29, 30; Nomb. 6:10, 11). Marie offrit soit deux tourterelles, soit deux pigeons au temple après la naissance de Jésus. — Luc 2:22-24; voir COLOMBE; PIGEON.

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