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  • Travail forcé
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    • À cause de sa paresse, un Israélite pouvait fort bien s’endetter, ce qui l’obligeait finalement à vendre son héritage et à se vendre lui-​même comme esclave. D’où le proverbe: “La main nonchalante se trouvera vouée au travail forcé.” — Prov. 12:24.

  • Treillis
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    • TREILLIS

      Entrecroisement de lattes de bois formant claire-voie qui sert généralement à protéger une fenêtre. Au Moyen-Orient, depuis des siècles on a l’habitude de mettre des treillis aux fenêtres. Ceux-ci servaient à garder la fraîcheur des maisons, car ils filtraient les rayons du soleil tout en permettant à l’air de circuler; ils contribuaient aussi au bel aspect extérieur des habitations. Dans les temps bibliques, certaines maisons avaient au rez-de-chaussée des fenêtres qui donnaient sur une cour intérieure, alors que d’autres s’ouvraient sur la rue. Ces dernières étaient généralement placées soit en haut du mur, soit dans la chambre du toit, et étaient recouvertes d’un treillis.

      Quelqu’un qui se trouvait dans la maison pouvait regarder ce qui se passait dehors à travers le treillis d’une fenêtre sans être vu de l’extérieur. Le chant de Déborah et de Barak rapporte que la mère de Siséra, lequel avait été tué, regardait vainement par la fenêtre pour guetter son fils “à travers le treillis”. (Juges 5:1, 28.) C’est à travers le treillis d’une fenêtre qu’un observateur a pu regarder “un jeune homme privé de cœur” qui rencontrait une prostituée (Prov. 7:6-13). Dans le Cantique des cantiques (2:9), on parle aussi d’un homme “regardant par les fenêtres, observant par les treillis”.

      Certains treillis de fenêtres pouvaient sans doute être ouverts ou fermés grâce à un système de charnières. Les fenêtres de la chambre du toit occupée par Daniel, de laquelle il pouvait être vu en train de prier Jéhovah trois fois par jour, étaient peut-être munies de treillis que l’on pouvait ouvrir ou fermer. — Dan. 6:10.

  • Tremblement de terre
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    • TREMBLEMENT DE TERRE

      Vibration de l’écorce terrestre, essentiellement causée par le glissement ou la dislocation de strates le long d’une ligne de faille, d’une fracture, ou par une éruption volcanique. Des tremblements de terre se sont produits tout au long de l’histoire biblique, parfois sous l’effet des forces géologiques naturelles, comme lorsque Juda a été ébranlé par un violent séisme aux jours d’Ozias et de Jéroboam (Amos 1:1; Zach. 14:5), ou bien sous l’action de Dieu, pour des raisons judiciaires ou ayant un rapport avec ses serviteurs. La carte géologique d’Israël explique l’activité sismique qui s’est manifestée dans cette région par le passé, et qui s’y fait toujours sentir. C’est ainsi qu’une faille très importante a fait son apparition dans le sens nord-nord-est à partir du centre du golfe d’Aqaba. De grands tremblements de terre se produisent en Palestine à peu près tous les cinquante ans; les séismes moins importants sont plus fréquents.

      Jésus a annoncé que le signe de sa présence serait marqué, entre autres, par de nombreux et grands tremblements de terre (Mat. 24:3, 7, 8; Marc 13:4, 8). Depuis 1914, et notamment depuis 1948, on enregistre une augmentation du nombre des tremblements de terre, en particulier de grande amplitude. Avant 1948, ils se produisaient en série, avec des périodes d’accalmie, mais depuis lors on a compté presque un grand tremblement de terre chaque année, sans parler d’un grand nombre de séismes de moindre importance. — Voir l’Encyclopedia Americana, publications annuelles, 1965-​1967, à “Tremblements de terre”.

      En 65 ans, de 1915 à 1980, on a recensé 1 627 068 décès provoqués par de grands tremblements de terre. Chaque année, 1 000 séismes sont suffisamment forts pour provoquer des dégâts. — World Almanac, 1982, p. 745.

      EMPLOIS FIGURÉ ET SYMBOLIQUE

      L’expression “tremblement de terre” revêt souvent un sens figuré dans les Écritures pour décrire l’ébranlement et la chute d’une nation ou d’un royaume. Dans l’Antiquité, les Babyloniens croyaient en de faux dieux, tels que Nébo et Marduk, et ils s’imaginaient que les cieux en étaient peuplés. Ils accordaient également une grande confiance à leurs puissantes forces militaires, mais Dieu prononça ces paroles contre Babylone: “Je ferai s’agiter le ciel lui-​même, et la terre bougera de sa place, ébranlée, lors de la fureur de Jéhovah des armées.” (És. 13:13). Babylone éprouva sans doute un grand choc lorsque son empire s’effondra et qu’elle cessa d’être la Troisième Puissance mondiale pour n’être plus qu’une province de l’Empire perse. — Dan. 5:30, 31.

      L’apôtre Paul établit une comparaison entre les événements effrayants qui se sont produits au mont Sinaï et le rassemblement plus grand et plus impressionnant encore de la congrégation chrétienne des premiers-nés devant Dieu et devant son Fils, le Médiateur, sur le mont Sion céleste. Puis il poursuit en évoquant le tremblement de terre qui s’est produit au Sinaï et il en fait une application symbolique; il encourage les chrétiens à continuer de servir avec courage et foi, sachant que le Royaume et ceux qui s’appuient sur lui resteront debout, alors que tout ce qui constitue les cieux et la terre symboliques sera ébranlé et anéanti. — Héb. 12:18-29.

      Le plus grand de tous les tremblements de terre qui est encore à venir est symbolique. Il en est question à propos de la septième et dernière plaie symbolique de la Révélation. D’après la description qui en est faite, ce tremblement de terre détruit, non pas une ou deux villes comme l’ont déjà fait certains des plus violents séismes, mais “les villes des nations”. À propos de ce cataclysme, Jean écrit: “Il s’est produit un grand tremblement de terre, tel qu’il ne s’en est pas produit depuis qu’il est paru des hommes sur la terre, de tremblement de terre aussi étendu, aussi grand. Et la grande ville [Babylone la Grande] s’est divisée en trois parties, et les villes des nations sont tombées.” — Rév. 16:18, 19.

  • Très-Haut
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    • TRÈS-HAUT

      Le mot hébreu ʽèlyôn (Très-Haut), qui désigne Jéhovah, est aussi utilisé pour qualifier d’autres personnes ou même des choses. Ce terme est appliqué au roi David, pour montrer qu’il était au-dessus des autres rois terrestres (Ps. 89:20, 27). Il est aussi appliqué à Israël pour parler de la supériorité de ce peuple par rapport aux autres nations, comme Jéhovah le lui avait promis (Deut. 26:18, 19). On trouve encore ce terme dans des expressions comme la corbeille du haut (Gen. 40:17), la porte supérieure (II Rois 15:35), l’étang supérieur (II Rois 18:17), la cour supérieure (Jér. 36:10), l’étage du haut (Ézéch. 41:7), les salles à manger

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