BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • ad p. 719-721
  • Intelligence

Aucune vidéo n'est disponible pour cette sélection.

Il y a eu un problème lors du chargement de la vidéo.

  • Intelligence
  • Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
  • Intertitres
  • Document similaire
  • LA SOURCE DE L’INTELLIGENCE
  • Ceux qui se détournent de la Source
  • DOMAINES OÙ S’EXERCE L’INTELLIGENCE HUMAINE
  • RAPPORT AVEC LA CONNAISSANCE ET LA SAGESSE
  • COMMENT ACQUÉRIR LA VRAIE INTELLIGENCE
  • L’intelligent accepte la discipline
  • L’INTELLIGENCE DES PROPHÉTIES
  • Intelligence
    Étude perspicace des Écritures (volume 1)
  • “Au prix de toutes tes acquisitions, acquiers l’intelligence”
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1970
  • Le moyen d’acquérir la compréhension
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1950
  • “ Quoi que tu puisses acquérir, acquiers la compréhension ”
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1950
Plus…
Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
ad p. 719-721

INTELLIGENCE

Les mots des langues originales traduits par “intelligence” dans les Écritures ont une application très large. Ils peuvent signifier simplement comprendre ou désigner une intelligence profonde et entière de la nature, des raisons ou de la signification cachées de certaines choses complexes. La perspicacité et le discernement sont autant d’aspects de l’intelligence qui sont parfois plus spécialement soulignés, si bien qu’on utilise de temps en temps ces mots-​là pour traduite ces termes originaux.

Les mots hébreux bin (verbe) et binâh (nom) se rapportent la plupart du temps à l’intelligence. Parfois, bin et binâh signifient plus particulièrement se rendre compte d’une certaine chose (I Sam. 3:8; II Sam. 12:19; Ps. 19:12; Dan. 9:2), la considérer attentivement (Deut. 32:7; Prov. 14:15; 23:1; Jér. 2:10; Dan. 11:37), ou bien ils désignent l’attention qu’on prête à cette chose (Job 31:1; 32:12; 37:14; Ps. 37:10); ils peuvent alors être traduits de cette façon. Le professeur R. Dentan (écrivant dans The Interpreter’s Dictionary of the Bible, t. IV, pp. 732, 733) dit: “La racine בין [bin] a pour sens premier ‘discerner avec les sens’, ‘distinguer’, puis ‘prêter une grande attention’ et enfin — notamment dans ses dérivés — ‘obtenir l’intelligence’ ou la ‘donner’ à d’autres.” L’hébraïsant Gesenius (dans Hebrew and English Lexicon, p. 140) propose comme sens premier “séparer, distinguer (...) et par suite discerner, marquer, comprendre, tout cela étant fonction de la capacité de séparer, de distinguer”. D’autres noms, tâboun et tebounâh, qui ont sans doute la même racine que binâh, peuvent être traduits de façon appropriée et selon le contexte par “discernement” (Prov. 10:23; 11:12) ou “intelligence”. — Ex. 31:3; Deut. 32:28.

Le sens premier de ces termes présente l’intelligent comme un homme capable de plonger ses regards dans une certaine chose, de discerner sa nature en séparant les facteurs ou les éléments qui la composent ou qui agissent de concert pour former un tout, de percevoir la relation entre ces éléments et enfin de saisir ou de comprendre la signification de cette chose. On peut illustrer cela avec le langage. Lorsque quelqu’un entend des sons prononcés dans une certaine langue, il n’en comprend le sens que s’il est capable de distinguer les différents mots qui forment les phrases, s’il connaît leur signification et s’il sait discerner le rapport entre eux (Deut. 28:49). Toutefois, même si l’on comprend déjà l’essentiel de ce qui est dit, l’intelligence peut aller plus loin que la simple compréhension. Elle permet de saisir le sens véritable du message, d’en apprécier la valeur, d’en tirer profit et de discerner quelle action il appelle. Quand le prêtre Esdras lut la Loi devant le peuple à Jérusalem, “tous ceux qui avaient assez d’intelligence [de l’hébreu bin] pour écouter” étaient rassemblés. Ces Juifs avaient l’esprit assez mûr pour comprendre tous les mots, mais “les Lévites (...) expliquaient [ou donnaient l’intelligence, forme de bin] la loi au peuple (...). Et ils lisaient à haute voix dans le livre, dans la loi du vrai Dieu; on l’expliquait, et on en donnait le sens; et ils faisaient comprendre la lecture”. — Néh. 8:2, 3, 7, 8.

Deux autres termes hébreux, sâkhal (verbe) et sékhèl (nom), se rapportent aussi à l’intelligence. Le professeur Dentan dit que, dans son usage biblique, sâkhal “en est venu à signifier ‘avoir de la perspicacité’ ou ‘être prudent’”. (Voir I Samuel 18:5, 30; I Rois 2:3; I Chroniques 28:19; Daniel 1:17.) Ces termes sont parfois employés pour souligner la nécessité d’être avisé ou prudent. — Ps. 47:7; Prov. 10:19.

Dans les Écritures grecques chrétiennes, l’“intelligence” dans le sens de percevoir la signification d’une certaine chose est particulièrement désignée par les mots suniêmi (verbe) et sunésis (nom), qui correspondent à l’hébreu bin et à ses dérivés. Il y a, pour ce terme, d’autres mots grecs comme épistamaï, dont le sens premier est bien connaître, et noéô, penser ou réfléchir et, par conséquent, arriver à comprendre.

LA SOURCE DE L’INTELLIGENCE

Jéhovah Dieu est à la fois la Source de l’intelligence et l’Exemple suprême pour ce qui est de son usage. Son intelligence est rendue manifeste par le fonctionnement et la coordination extraordinaires des différentes parties de l’univers dans lequel chaque création sert un dessein particulier et harmonieux, sans heurt ni problème qui résulterait d’un manque de discernement de la part du Créateur (Job 38:36; Ps. 136:5-9; Prov. 3:19, 20; Jér. 10:12, 13). Dieu a donné aux animaux une intelligence instinctive, à chacun selon son espèce. Les hommes peuvent passer des années à acquérir l’intelligence de l’aérodynamique, mais le faucon, lui, sait d’instinct “lire” et utiliser les différents courants d’air (Job 39:26). Cependant, les créatures animales sont extrêmement limitées dans d’autres aspects de l’intelligence propres à l’homme. — Voir Psaume 32:9.

Malgré les recherches acharnées faites au cours des siècles, beaucoup de phénomènes et de cycles obéissant aux lois divines ne sont toujours pas compris parfaitement par les hommes (Job 36:29; 38:19, 20). Ce que les hommes ont pu comprendre grâce à leur étude de la création matérielle leur a seulement permis d’approcher ‘les bords des voies de Dieu’. Tout cela n’est qu’un “murmure” comparé au “puissant tonnerre”, et c’est encore plus vrai des œuvres de jugement et de salut accomplies par Dieu, car ses pensées sont bien trop profondes pour que des hommes impies puissent les comprendre (Job 26:7-14; Ps. 92:5, 6). L’observation de la sagesse et de l’intelligence divines, si manifestes dans la création matérielle, permit cependant à Job de discerner quelles étaient ses relations personnelles avec le Créateur et de reconnaître humblement son manque d’intelligence. — Job 42:1-6.

Jéhovah peut user de sa perspicacité pour discerner les pensées et les actions de tous les humains (I Chron. 28:9; Ps. 139:1-6). De plus, s’il le désire, il accorde une ‘considération attentive’ (héb. bîn) ou prête attention aux individus ou aux catégories d’individus (Prov. 21:12; Ps. 5:1, 2). Il connaît son dessein irrésistible, ce qu’il fera dans l’avenir, et ses règles de justice sont fixes et immuables. Par conséquent, “il n’y a ni sagesse, ni discernement, ni conseil en opposition avec Jéhovah”. (Prov. 21:30; voir Ésaïe 29:13, 14; Jérémie 23:20; 30:24.) Il n’a besoin de consulter personne pour comprendre une chose, par exemple pour savoir comment aider efficacement ses serviteurs ou comment les sauver du malheur et de l’oppression. — És. 40:10-15, 27-31.

La connaissance de Jéhovah Dieu, l’intelligence de sa volonté ainsi que la foi et la confiance en lui constituent donc le fondement de toute véritable intelligence chez ses créatures douées de raison. “La connaissance du Très-Saint, voilà ce qu’est l’intelligence”, y compris l’intelligence de ‘la justice, de l’équité et de la droiture, tous les cheminements de ce qui est bon’. (Prov. 9:10; 2:6-9; 16:20.) Aucune chose de réelle importance ne peut être parfaitement comprise à moins d’en considérer tous les aspects selon le point de vue de Jéhovah et par rapport à ses critères, à ses qualités et à son dessein éternel.

Ceux qui se détournent de la Source

Celui qui se tourne vers la transgression commence par ne plus tenir compte de Dieu dans ses décisions et ses projets (Job 34:27). Il permet à son cœur de l’aveugler pour ne pas voir l’injustice de ses voies et il cesse d’être perspicace (Ps. 36:1-4). Même s’il prétend adorer Dieu, il préfère les préceptes humains, qu’il fait passer avant ceux de Dieu (És. 29:13, 14). Il explique et excuse son inconduite comme s’il s’agissait d’un simple “jeu”. (Prov. 10:23.) Il devient corrompu, grossier et stupide dans son raisonnement, au point d’affirmer que le Dieu invisible ne voit pas ou ne discerne pas sa mauvaise conduite, comme si son pouvoir de perception s’était affaibli (Ps. 94:4-10; És. 29:15, 16; Jér. 10:21). Par sa ligne de conduite et ses actes, il dit en fait: “Il n’y a pas de Jéhovah” (Ps. 14:1-3), et il n’en tient pas compte. N’étant pas guidé par les principes divins, il ne peut juger les choses correctement, ni voir clairement leur issue, ni apprécier les facteurs en cause, ni prendre de bonnes décisions. — Prov. 28:5.

DOMAINES OÙ S’EXERCE L’INTELLIGENCE HUMAINE

On peut parler d’intelligence à propos de la connaissance et de l’habileté qui permettent d’effectuer des tâches manuelles, telles que la construction et l’agencement de bâtiments, la fabrication d’objets en bois, en métal, en pierre ou en tissu. Ainsi, Hiram, ouvrier de Tyr, “un homme habile, s’y connaissant en intelligence”, travaillait une grande variété de matériaux (II Chron. 2:13, 14; I Rois 7:13, 14). Une telle intelligence permet de faire un travail efficace, de fabriquer des produits de qualité durable.

Pareillement, des hommes ou des groupes d’hommes font peut-être preuve de beaucoup d’intelligence dans les affaires, ce qui leur permet de s’enrichir comme le fit le “conducteur” de Tyr (Ézéch. 28:2, 4). Des chefs peuvent faire montre d’une grande intelligence dans l’art de la guerre et de la stratégie militaire (És. 10:12, 13), ou bien dans le domaine de la politique et de la diplomatie (Dan. 8:23). Toutefois, leur intelligence peut être limitée et ne leur procurer que des avantages à court terme, comme dans les cas que nous venons de mentionner.

On voit donc que les Écritures parlent de l’intelligence qu’il est possible d’acquérir par des moyens naturels. Toutefois, cette “intelligence” (sunésis) des “intellectuels” (sunétos) du monde devient vaine et même folie quand les desseins de Dieu ne sont pas pris en considération (I Cor. 1:19, 20, Kingdom Interlinear Translation). Les Écritures recommandent donc avant tout une intelligence supérieure, spirituelle, qui a Dieu pour fondement. Quoi que fassent les hommes pour exploiter les ressources de notre globe, pour explorer les profondeurs de la terre et de la mer ou pour étudier le ciel, ils ne peuvent jamais, par leurs seuls efforts, trouver “le lieu de l’intelligence” ni la sagesse qui permettent de réussir sa vie dans la justice et le bonheur (Job 28:1-21, 28). Cette intelligence-​là est “préférable à l’argent” et elle peut nous permettre de connaître un avenir heureux, ce que les richesses et l’honneur éphémères qu’offre le monde sont incapables de réaliser. — Prov. 16:16, 22; 23:4, 5; Ps. 49:6-8, 14, 20.

RAPPORT AVEC LA CONNAISSANCE ET LA SAGESSE

Bien qu’étant plus que la simple connaissance, l’intelligence doit être fondée sur elle et agir en relation avec elle. L’étendue et la valeur de l’intelligence d’un individu sont fonction de l’importance et de la qualité de sa connaissance. Par connaissance, on entend l’acquisition de faits, le plus important et le plus fondamental étant Dieu, c’est-à-dire son existence, ses desseins et ses voies infaillibles. L’intelligence permet de faire le rapport entre la connaissance acquise et le dessein et les préceptes divins, donc d’apprécier la valeur de cette connaissance. “Le cœur intelligent, c’est celui qui recherche la connaissance.” Il ne se contente pas d’une simple vue superficielle, mais cherche à se faire une idée complète de la chose considérée (Prov. 15:14). Pour que le discernement sauvegarde quelqu’un des choses perverses et de la tromperie, il faut que la connaissance devienne ‘agréable à son âme’. — Prov. 2:10, 11; 18:15.

Le livre des Proverbes (1:1-6) dit que “l’homme intelligent, c’est celui qui acquiert l’art de diriger, pour comprendre un proverbe et une sentence difficile, les paroles des sages et leurs énigmes”. Il ne s’agit pas ici de propos tenus simplement pour passer le temps au cours de conversations oiseuses, car les sages ne perdraient certainement pas régulièrement leur temps à de telles choses. Il doit plutôt s’agir d’une instruction, de questions et de problèmes qui disciplinent et forment l’esprit et le cœur dans les principes justes, équipant ainsi celui qui apprend pour qu’il agisse sagement à l’avenir (voir Psaume 49:3, 4). La connaissance et l’intelligence produisent ensemble la sagesse, laquelle est la “chose principale”, la capacité d’utiliser un fonds de connaissance et une intelligence aiguë pour résoudre avec succès des problèmes (Prov. 4:7). Quand quelqu’un a de bons mobiles, il recherche l’intelligence non pas par simple curiosité ou pour se glorifier, mais afin de se conduire avec sagesse. ‘La sagesse est devant sa face.’ (Prov. 17:24). Un tel homme ne ressemble pas à ceux qui, aux jours de l’apôtre Paul, prétendaient enseigner les autres, mais étaient ‘gonflés d’orgueil et ne comprenaient rien’. Comme des insensés, ils devenaient ‘malades mentalement à propos de questions oiseuses et de disputes sur des mots’, autant de choses qui créent la désunion et qui produisent quantité de mauvais résultats. — I Tim. 6:3-5; voir CONNAISSANCE; SAGESSE.

COMMENT ACQUÉRIR LA VRAIE INTELLIGENCE

Celui qui recherche la vraie intelligence prie Dieu ainsi: “Fais-​moi comprendre, pour que j’observe ta loi et que je la garde de tout cœur (...), pour que je demeure en vie.” (Ps. 119:34, 144, et aussi 119:27, 73, 125, 169). C’est là le bon mobile. L’apôtre Paul priait pour les chrétiens de Colosses, afin qu’ils soient “remplis de la connaissance exacte de sa volonté [celle de Dieu], en toute sagesse et intelligence [sunésis] spirituelle, pour marcher d’une manière digne de Jéhovah”. — Col. 1:9, 10.

L’âge et l’expérience sont des facteurs naturels qui aident à parvenir à une plus grande intelligence (Job 12:12), mais seuls ils ne sont pas déterminants. Les consolateurs de Job s’enorgueillissaient de l’intelligence que possédaient leurs compagnons âgés et eux-​mêmes, mais ils furent repris par Élihu, plus jeune qu’eux (Job 15:7-10; 32:6-12). Jéhovah, l’“Ancien des Jours” (Dan. 7:13), a une intelligence infiniment supérieure à celle de tous les humains dont l’existence ne remonte qu’à quelques millénaires et qui ne comprennent même pas vraiment comment la planète sur laquelle ils vivent a été formée (Job 38:4-13, 21). La Parole écrite de Dieu est donc bien le moyen principal pour acquérir l’intelligence. — Ps. 119:30.

Les enfants et les jeunes gens doivent prendre à cœur l’instruction de leurs parents, qui sont plus âgés et plus expérimentés qu’eux, surtout si ce sont des serviteurs voués à Dieu (Prov. 2:1-5; 3:1-3; 4:1; 5:1). On peut acquérir de l’intelligence en ‘considérant’ (héb. bin) attentivement l’histoire des générations passées, ce que connaissent souvent les personnes plus âgées (Deut. 32:7). Il faut chercher à fréquenter non pas les “inexpérimentés”, mais les sages, et se nourrir de leurs conseils et de leur instruction, afin de ‘demeurer en vie et de marcher droit dans la voie de l’intelligence’. (Prov. 9:5, 6.) Celui qui écoute et observe peut cesser d’être naïf et crédule, ‘comprendre la sagacité’ et s’éviter bien des ennuis. — Prov. 8:4, 5.

En étudiant et en observant avec empressement la Parole et les commandements de Dieu, on peut acquérir plus de perspicacité que ses enseignants et une plus grande intelligence que ses aînés (Ps. 119:99, 100, 130; voir Luc 2:46, 47). Cela est possible parce que la sagesse et l’intelligence sont en réalité ‘édifiées’ sur les prescriptions et les décisions judiciaires de Dieu. Les Israélites furent encouragés à observer fidèlement ces ordonnances, afin que les nations voisines les considèrent comme “un peuple sage et intelligent”. (Deut. 4:5-8; Ps. 111:7, 8, 10; voir I Rois 2:3.) L’intelligent reconnaît le caractère inviolable de la Parole de Dieu, désire conformer sa vie à celle-ci et prie Dieu de l’aider à y parvenir (Ps. 119:169). Il laisse le message de Dieu pénétrer profondément en lui (Mat. 13:19-23), l’écrit sur la tablette de son cœur (Prov. 3:3-6; 7:1-4) et en vient à haïr “tout sentier mensonger”. (Ps. 119:104.) Quand il était sur la terre, le Fils de Dieu manifesta une telle intelligence. Il refusa même de chercher à éviter la mort sur le poteau, car la réalisation des Écritures exigeait qu’il meure de cette façon. — Mat. 26:51-54.

L’intelligent accepte la discipline

L’obstination, l’indépendance et l’orgueil sont les ennemis de l’intelligence (Jér. 4:22; Osée 4:14, 16). Celui qui est vraiment intelligent ne pense pas tout connaître. Aussi lisons-​nous en Proverbes 19:25: “On doit reprendre l’intelligent, pour qu’il discerne la connaissance.” (Voir Job 6:24, 25; Psaume 19:12, 13). L’intelligent est disposé à écouter, il discerne le fondement de la réprimande et il en tire davantage de bienfaits que le stupide n’en recevrait d’une centaine de coups. — Prov. 17:10; voir 29:19.

L’INTELLIGENCE DES PROPHÉTIES

Les messages prophétiques divinement inspirés ne sont compris que par ceux qui se sont purifiés et qui prient humblement pour en obtenir l’intelligence (Dan. 9:22, 23; 10:12; 12:10). Bien que l’on puisse discerner l’époque générale durant laquelle s’accomplit une prophétie, pour comprendre parfaitement son application il faudra peut-être attendre le moment prévu par Dieu pour sa réalisation (Dan. 8:17; 10:14; 12:8-10; voir Marc 9:31, 32; Luc 24:44-48). Ceux qui placent leur confiance dans les hommes, qui dédaignent la force de Dieu et pour qui son dessein n’est pas un facteur à considérer, ceux-là ne peuvent comprendre les prophéties et resteront aveugles quant à leur signification jusqu’à ce que les conséquences désastreuses de leur accomplissement commencent à les toucher. — Ps. 50:21, 22; És. 28:19; 46:10-12.

    Publications françaises (1950-2025)
    Se déconnecter
    Se connecter
    • Français
    • Partager
    • Préférences
    • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
    • Conditions d’utilisation
    • Règles de confidentialité
    • Paramètres de confidentialité
    • JW.ORG
    • Se connecter
    Partager