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Ce que Dieu a promisLa Tour de Garde 1972 | 1er septembre
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héritage de grand prix : la vie sur une terre merveilleuse.
Nous pouvons être certains que toutes les choses que Dieu promet et qu’il nous procurera seront les meilleures qui soient. Il nous arrive souvent de désirer certaines choses, puis d’être déçus une fois que nous les avons obtenues. Nous ne pouvons donc pas déterminer nous-mêmes ce qui sera le mieux dans le nouvel ordre promis par Dieu. Mais nous pouvons dès à présent accepter tout ce que Dieu nous donne sur le plan spirituel, autant de choses qui ont une réelle valeur dans la vie.
En temps voulu, Dieu nous fera connaître ce qu’il tient en réserve pour nous, des choses qui sont certainement plus merveilleuses que tout ce que nous pouvons imaginer. Notre principal souci devrait donc être actuellement d’acquérir ‘la connaissance exacte et un entier discernement, pour que nous nous assurions des choses les plus importantes’, afin d’être du nombre de ceux qui se réjouiront dans le nouvel ordre juste promis par Dieu. — Phil. 1:9, 10.
Un article intitulé “Préparons-nous pour l’ordre nouveau de Dieu”, qui paraîtra dans “La Tour de Garde” du 1er octobre 1972, nous montrera quelles sont ces choses importantes et ce que nous pouvons faire pour acquérir une bonne conscience devant Dieu et faire ce qui est juste à ses yeux.
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Questions de lecteursLa Tour de Garde 1972 | 1er septembre
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Questions de lecteurs
● Étant donné que la loi de Dieu interdit de manger du sang, y a-t-il une objection à prendre des vitamines qui contiendraient de la moelle, du foie desséché ou d’autres dérivés organiques du même genre ?
La loi divine sur le sang, donnée à Noé et à sa famille, exigeait qu’un animal soit convenablement saigné avant d’être mangé (Gen. 9:3, 4). Cette exigence s’applique aussi aux chrétiens, comme cela est montre dans Actes 21:25.
Aux Juifs qui étaient sous la Loi, d’autres détails furent donnés, savoir : “Néanmoins, quand tu en auras le désir, tu pourras tuer du bétail et manger de la viande (...). Seulement, vous ne mangerez pas le sang : tu le répandras sur la terre comme de l’eau.” “Vous ne mangerez ni graisse ni sang.” (Deut. 12:15, 16 ; Lév. 3:17). Noé ne reçut aucune interdiction de manger de la graisse, et au premier siècle de notre ère, quand le collège central des chrétiens réaffirma l’interdiction de manger du sang, aucune restriction ne fut donnée à propos de la graisse. Cela ne concernait qu’Israël. Toutefois, l’interdiction de manger du sang s’applique aux chrétiens, et les détails de la Loi nous aident à comprendre cette interdiction.
Bien sûr, même quand un animal est convenablement saigné, toute trace de sang ne disparaît pas complètement dans ses muscles et ses organes. Mais pour autant que l’animal a été convenablement saigné, on peut utiliser n’importe quel morceau pour nourriture ou pour tout autre usage.
Bien que la moelle joue un rôle important dans la formation du sang, cela ne la rend pas pour autant impropre à la consommation. Il est intéressant de remarquer qu’à propos d’un “festin” que Jéhovah prépare lui-même pour son peuple, le prophète Ésaïe parle de “mets succulents, pleins de moelle”. — És. 25:6.
Ceci montre donc clairement qu’il n’y a aucune objection à consommer des produits d’origine animale pourvu que la loi divine sur le sang ait été respectée. Si quelqu’un a des doutes et se demande si certaines vitamines ou d’autres produits viennent d’animaux n’ayant pas été convenablement saignés, il ferait bien de se renseigner personnellement en écrivant au fabricant des produits en question.
● Puisque ce n’était pas la saison des figues, pourquoi Jésus a-t-il maudit un figuier qui ne portait pas de fruits, selon ce que rapporte Marc 11:13, 14 ?
C’est le 10 nisan (28 mars) de l’an 33 de notre ère que Jésus vit ce figuier. Dans cette région, les boutons qui produiront les fruits de la première récolte apparaissent en février sur les rameaux de l’année précédente, tandis que les feuilles ne poussent pas avant la fin d’avril ou au mois de mai. Ainsi, quand toutes les feuilles sont sorties, l’arbre devrait normalement être couvert de fruits mûrs. Puisque l’arbre cité par Jésus possédait déjà toutes ses feuilles, bien que ce ne fût pas encore la saison,
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