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  • Les raisons du bonheur de la nation

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  • Les raisons du bonheur de la nation
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1969
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1969
w69 15/2 p. 115-119

Les raisons du bonheur de la nation

1, 2. a) Qu’est-​ce qui indique que Jéhovah bénit cette nation durant les 600 ans qui ont suivi sa renaissance ? b) Comment Paul a-​t-​il affirmé à Agrippa que les Juifs de son époque constituaient effectivement une nation ?

APRÈS cette nouvelle naissance miraculeuse en 537 avant notre ère, Israël continua d’exister pendant plus de 605 années. Au cours de cette période de temps, Jéhovah jugea bon de lui envoyer d’autres prophètes, et la nation garda cette position de faveur unique devant Dieu presque jusqu’à la fin de cette période. Près de six cents ans après la renaissance de la nation, un Pharisien circoncis nommé Saul de Tarse, de la tribu de Benjamin, résuma les privilèges de faveur qu’avait reçus la nation dont il était lui-​même un membre de par sa naissance ; il dit : “Quelle est donc la supériorité du Juif, ou quel est l’avantage de la circoncision ? Très grands à tous égards. Tout d’abord, c’est parce que les déclarations sacrées de Dieu leur ont été confiées.” “Pour mes frères, mes parents selon la chair, qui, comme tels, sont Israélites, à qui appartiennent l’adoption comme fils et la gloire et les alliances et le don de la Loi et le service sacré et les promesses ; à qui appartiennent les pères et de qui Christ est issu selon la chair.” (Rom. 3:1, 2 ; 9:3-5). Cette nation avait de réelles raisons d’être heureuse.

2 Parlant de son peuple en tant que “nation” alors que lui-​même se trouvait à Césarée, le même écrivain déclara au roi Agrippa : “En fait, quant à la manière de vivre que, dès ma jeunesse, j’ai eue depuis le début au milieu de ma nation et à Jérusalem, (...) suivant la secte la plus stricte de notre forme de culte j’ai vécu en Pharisien. Et pourtant maintenant, à cause de l’espérance de la promesse que Dieu a faite à nos pères, je suis appelé en jugement ; alors que nos douze tribus espèrent atteindre l’accomplissement de cette promesse en lui rendant intensément un service sacré jour et nuit. (...) Pourquoi juge-​t-​on incroyable parmi vous que Dieu ressuscite les morts ? (...) J’ai continué jusqu’à ce jour à rendre témoignage tant aux petits qu’aux grands, sans dire rien d’autre que les choses que les Prophètes ainsi que Moïse ont dit devoir arriver, que le Christ devait souffrir et que, comme le premier à être ressuscité d’entre les morts, il allait annoncer la lumière à ce peuple et aux nations.” — Actes 26:4-8, 22, 23.

3. Pour quelles raisons la nation d’Israël née de nouveau pouvait-​elle être heureuse ?

3 La nation née de nouveau avait donc de nombreuses et importantes raisons d’être heureuse. Elle possédait la pure adoration du seul vrai Dieu vivant, Jéhovah, son Créateur, et celui-ci la protégeait des esprits ou démons dirigés par le “chef des démons”, Satan le Diable. Jéhovah n’était pas seulement son Dieu, mais également son Juge céleste et son Législateur (És. 33:22). Les membres de cette nation étaient les descendants charnels d’Abraham, l’ami de Jéhovah, d’Isaac, son fils, de Jacob, son petit-fils, et des douze fils de ce dernier. Ils étaient donc tous apparentés selon la chair et formaient ainsi une seule grande famille ou une nation de frères et de sœurs, en vérité, un “peuple”, une “nation”. Étant les descendants directs d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, tous avaient reçu la promesse de Dieu ; et comme Jéhovah Dieu avait libéré cette nation de l’esclavage égyptien en fournissant une rançon, elle était sa possession ou son héritage choisi. Elle était réellement la propriété de Jéhovah Dieu.

4. a) Que signifiait pour cette nation le fait d’être la “postérité d’Abraham” ? b) Quelles autres grandes bénédictions devaient être accordées par l’intermédiaire de cette nation, et particulièrement en l’an 33 de notre ère ?

4 Ses membres étaient directement en voie de devenir la “postérité d’Abraham” par le moyen de laquelle toutes les nations de la terre se béniraient (Gen. 22:18, Jé ; 26:2-5 ; 28:13, 14). Eux seuls s’étaient vu confier les “déclarations sacrées” ou oracles de Jéhovah Dieu en recevant les saintes Écritures de la Loi, des Prophètes et des Psaumes. Ils avaient le privilège d’être instruits de toutes ces “déclarations sacrées de Dieu” ainsi que des merveilleuses promesses divines qu’elles contenaient. Par la médiation du prophète Moïse, ils étaient liés à leur Dieu par un contrat national ou alliance. Grâce à l’alliance spéciale que Dieu avait conclue avec la dynastie du fidèle roi David, ils avaient la promesse d’un royaume éternel dirigé par le Messie ou Christ. En fait, il leur avait été promis que ce Messie ou Christ serait un de leurs descendants et qu’il naîtrait dans leur nation (Dan. 9:24-26, Da). Leur Roi-Messie devait venir dans la capitale, Jérusalem, monté sur un âne et leur apporter la paix et le salut (Zach. 9:9). Comme l’Histoire le prouve, c’est ce qu’il fit exactement en temps voulu, c’est-à-dire en l’an 33 de notre ère. — Mat. 21:1-14 ; Jean 12:12-18.

5. Quelle chose terrible arriva à cette nation en l’an 70 de notre ère, et quelles questions troublantes se posaient alors ?

5 En dépit de ces grandes faveurs, cette nation selon la chair fut détruite au cours de l’été de l’an 70 de notre ère. Pour la deuxième fois, la capitale, Jérusalem, ainsi que son temple de très grande valeur furent rasés et le pays de Juda désolé ; cette fois ce fut l’œuvre des légions romaines. Les Juifs qui survécurent à ce désastre furent emmenés captifs et vendus comme esclaves dans toutes les nations. Pourquoi cela ? Pourquoi la nation d’Israël selon la chair connut-​elle pareil malheur ?

6. Quelle relation y avait-​il entre la cause de la première destruction et celle de la seconde ?

6 Pourquoi avait-​elle subi un premier désastre national semblable à celui-ci ? Étant donné que le bonheur de la nation reposait sur le fait que Jéhovah était son Dieu, c’est justement parce qu’elle a rejeté le culte de Jéhovah, son Sauveur et Protecteur, Celui qui la bénissait, qu’elle a connu une telle catastrophe. Le second désastre subi par cette nation a eu la même cause. Sous l’influence des traditions et des préceptes humains, les Israélites ont endurci leur cœur dans l’incrédulité et ont rejeté les “déclarations sacrées de Dieu”. Par-dessus tout, ils ont repoussé le Messie promis, le Fils de Dieu. Ils ont donc perdu ce qui faisait d’eux la nation “heureuse” de Jéhovah.

7. a) Quelles questions importantes se posent alors ? b) Pourquoi n’y a-​t-​il pas besoin d’une nouvelle renaissance de l’Israël selon la chair ?

7 Plusieurs questions très importantes se posent alors : Pour permettre la réalisation des prophéties rapportées dans la sainte Bible, doit-​il y avoir une nouvelle renaissance de la nation d’Israël selon la chair, composée des Juifs circoncis ? La naissance de la république d’Israël, le 15 mai 1948, est-​elle l’accomplissement moderne de la prophétie, et la promesse que Jéhovah fit à Abraham à propos de la bénédiction de toutes les familles et nations de la terre se réalise-​t-​elle avec la République démocratique d’Israël ? Selon les saintes Écritures, la réponse est non. La renaissance de la nation d’Israël selon la chair, composée des Juifs circoncis, n’est pas nécessaire. Pourquoi ? Parce que trente-sept ans avant la destruction de Jérusalem et de son temple en l’an 70 de notre ère, Jéhovah Dieu avait déjà suscité la véritable nation en laquelle doivent se réaliser les autres prophéties contenues dans ses “déclarations sacrées”, et ceci pour le bien de tous les hommes, les vivants et les morts.

LA NAISSANCE DE L’ISRAËL SPIRITUEL

8, 9. a) Quand eut lieu la naissance de l’Israël spirituel ? b) Relatez les événements qui eurent lieu à Jérusalem depuis le moment où Jésus-Christ, le Roi de Sion, entra dans la ville en accomplissement de Zacharie 9.

8 La naissance de cette nation eut lieu à Jérusalem le 6 sivan de l’an 33 de notre ère, le jour que les Juifs charnels circoncis appellent “Schabouoth” (qui signifie “Semaines”), mais que les Juifs d’expression grecque appelaient “Pentecôte” (qui signifie “Cinquantième”).

9 En harmonie avec la signification du mot Pentecôte, la naissance de cette nation eut lieu le cinquantième jour à compter de la résurrection d’entre les morts de Jésus, le Messie ou Christ, dont le corps avait été placé dans un tombeau clos de Jérusalem. C’est lui qui en tant que Roi de Sion était entré à Jérusalem monté sur un âne, en accomplissement de la prophétie de Zacharie 9:9 ; mais quelques jours plus tard, les chefs religieux incrédules de cette ville l’avaient fait mettre à mort par les soldats romains. Cependant, le troisième jour de sa mort, le Dieu Tout-Puissant Jéhovah le ressuscita pour une vie céleste glorieuse en tant que Messie ou Christ et Héritier permanent du royaume de David, avec qui Dieu avait conclu l’alliance pour le Royaume. Avant de monter dans les cieux, Jésus, le Messie ou Christ, invita ses fidèles disciples à rester à Jérusalem jusqu’à ce que l’esprit saint de Dieu descende sur eux. — Actes 1:1-15.

10. a) Comment la prophétie de Joël 2:28, 29 s’est-​elle accomplie le jour de la Pentecôte, et de quoi était-​ce une preuve ? b) Quelles prémices Jésus-Christ a-​t-​il alors offertes à Jéhovah ?

10 Les disciples durent encore attendre dix jours, jusqu’à la fête de la Pentecôte. Ce jour-​là, cent vingt d’entre eux étaient réunis à Jérusalem, dans une chambre située à l’étage. Soudain, l’esprit saint de Dieu fut répandu sur eux sans réserve, en accomplissement de la prophétie de Joël 2:28, 29. Outre un bruit semblable à celui d’un vent impétueux et les langues de feu qui oscillaient au-dessus de leurs têtes, tous commencèrent à parler en des langues étrangères qu’ils n’avaient jamais apprises auparavant. C’était une preuve que Jésus-Christ était arrivé en la présence céleste de Dieu et qu’il était maintenant assis à sa droite en tant que “Seigneur et Christ”. (Actes 2:1-36.) Puisqu’il s’agissait du jour prophétique de la Pentecôte, jour ou le grand prêtre d’Israël offrait à Dieu, au temple de Jérusalem, les prémices de la moisson des blés, Jésus-Christ, en tant que Grand Prêtre, offrit à Dieu des prémices spirituelles. Lesquelles ? La congrégation chrétienne représentée par les 120 disciples réunis ce jour-​là à Jérusalem (Ex. 34:22-24 ; Lév. 23:15-21). Ils ont été engendrés de l’esprit de Dieu pour être “une sorte de prémices de ses créatures”. — Jacq. 1:18.

11. Comment savons-​nous que ces événements marquaient la naissance de la nouvelle nation, et quelle place cette dernière prit-​elle ?

11 C’est de cette façon que le jour de la Pentecôte de l’an 33 de notre ère est née la nouvelle nation ayant pour Roi Jésus-Christ, le Seigneur, qui est dans les cieux (Col. 1:13). L’apôtre Pierre, qui était présent et qui, poussé par l’esprit répandu, donna le discours d’ouverture, parla d’une nation. Dans la première lettre qu’il écrivit aux membres de cette congrégation engendrée de l’esprit, Pierre déclara : “Ceux-ci [les Juifs charnels et circoncis] trébuchent parce qu’ils sont désobéissants à la parole. C’est à cette fin même qu’ils ont été établis. Mais vous êtes ‘une race élue, une prêtrise royale, une NATION sainte, un PEUPLE pour une possession spéciale, afin que vous déclariez au loin les qualités’ de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière.” (I Pierre 2:8, 9). Jéhovah Dieu ayant rejeté la nation de l’Israël selon la chair, composée des Juifs circoncis, parce qu’elle n’avait pas accepté Jésus en tant que Christ et Seigneur, cette nouvelle nation chrétienne prit sa place auprès de Dieu.

12. Après trois ans et quatre mois d’existence, qui cette nation a-​t-​elle commencé d’accepter comme citoyens ?

12 Au début de son existence, pendant trois ans et quatre mois, cette “nation sainte” était exclusivement composée de Juifs charnels et de personnes appelées “prosélytes” qui, pratiquant le judaïsme et s’étant fait circoncire, avaient été adoptées dans l’Israël selon la chair (Actes 2:5-11, 33-42). Cependant, au début de l’automne de l’an 36, Jéhovah Dieu cessa d’accorder sa faveur exclusivement aux Juifs et aux prosélytes circoncis ; il envoya l’apôtre Pierre à Césarée pour convertir le centurion italien Corneille et ses amis craignant Dieu, afin que ceux-ci aient foi en Jésus, en sa qualité de Messie ou Christ de Jéhovah. Ces croyants gentils reçurent donc l’esprit saint venant du ciel, et, poussés par cet esprit, ils se mirent à prophétiser (Actes 10:1 à 11:18). À partir de ce moment-​là, les Gentils incirconcis qui croyaient au Messie de Jéhovah furent incorporés dans la “nation sainte”, ce qui donnait la possibilité à d’autres de devenir membres de cette nouvelle nation, “l’Israël de Dieu”. — Gal. 6:16.

13. Montrez comment Paul considérait les croyants gentils qui devenaient citoyens de cette “nation sainte”.

13 Expliquant que ces croyants gentils devenaient ainsi citoyens de cette “nation sainte”, l’apôtre Paul écrivit : “Souvenez-​vous donc que jadis vous étiez gens des nations quant à la chair, vous étiez appelés ‘incirconcision’ par ce qui est appelé ‘circoncision’ qui est faite dans la chair avec la main — que vous étiez en ce temps particulier sans Christ, éloignés de l’État d’Israël et étrangers aux alliances de la promesse, et vous n’aviez pas d’espérance et vous étiez sans Dieu dans le monde. Mais maintenant, en union avec Christ Jésus, vous qui jadis étiez loin, vous êtes devenus près par le sang du Christ. Car c’est lui qui est notre paix, lui qui des deux parties en a fait une et a détruit le mur entre les deux qui les séparait. (...) Et il vint et vous déclara la bonne nouvelle de paix, à vous qui étiez loin, et la paix à ceux qui étaient près, parce que c’est par lui que nous, les deux peuples, nous avons accès auprès du Père par un seul esprit. Assurément donc, vous n’êtes plus des étrangers ni des résidents, mais vous êtes concitoyens des saints et membres de la maison de Dieu, et vous avez été édifiés sur le fondement des apôtres et des prophètes, Jésus-Christ lui-​même étant la pierre angulaire de fondement.” — Éph. 2:11-20.

14. Quels liens unissaient les membres de cette nouvelle nation, et où se trouvait leur droit de cité ?

14 Étant donné que la race et la nationalité d’une personne ne sont plus les facteurs qui déterminent si elle pourra être admise par Dieu dans cette nouvelle nation, les liens qui unissent les membres de celle-ci en tant que concitoyens d’une même nation sont spirituels. Il s’agissait d’une nation spirituelle. Ses membres n’ont pas seulement été oints de l’esprit saint de Dieu pour proclamer partout la bonne nouvelle de son Royaume, mais ils ont également été engendrés de l’esprit de Dieu pour être ses enfants spirituels, avec l’espoir et la promesse de devenir membres du Royaume céleste de Dieu, aux côtés de Jésus-Christ. C’est pourquoi l’apôtre Paul a pu leur écrire ceci : “Pour nous, notre droit de cité existe dans les cieux, d’où nous attendons aussi ardemment un sauveur, le Seigneur Jésus-Christ.” (Phil. 3:20). Cette “nation sainte” est donc l’Israël spirituel de Dieu.

15. Pourquoi n’était-​il pas nécessaire que Jéhovah fasse renaître de nouveau la nation d’Israël selon la chair après l’an 70 de notre ère ?

15 En 70 de notre ère, trente-sept ans après la mort et la résurrection de Jésus-Christ, le nombre des membres de la nation spirituelle d’Israël avait augmenté de plusieurs milliers, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’Empire romain. Par conséquent, lorsque les légions romaines conduites par le général Titus détruisirent Jérusalem et son temple et dévastèrent la Judée, et que la nation de l’Israël charnel circoncis fut anéantie, il n’était pas nécessaire que Jéhovah Dieu fasse renaître cette nation rejetée, et cela n’est pas plus nécessaire aujourd’hui. Au moment de la destruction de la nation juive, en l’an 70 de notre ère, Jéhovah Dieu possédait déjà depuis trente-sept ans sa “nation sainte”, l’Israël spirituel.

16. Sur quoi les prophéties de la Bible s’accomplissent-​elles de nos jours, et que procurent-​elles à la “nation dont Jéhovah est le Dieu” ?

16 C’est sur cet Israël spirituel et par son intermédiaire que les prophéties de la Bible ont continué de s’accomplir jusqu’à notre époque. S’il existe encore aujourd’hui des Juifs charnels issus de la nation d’Israël détruite, ne peut-​on pas s’attendre alors à ce qu’il y ait encore de nos jours des membres du véritable “Israël de Dieu” ? Grâce à la protection de Jéhovah, et à sa louange et à sa gloire, un reste de l’Israël spirituel de Dieu existe à notre époque et connaît le bonheur inexprimable de “la nation dont Jéhovah est le Dieu”. — Ps. 33:12, AC ; Gal. 6:16.

[Illustration, page 117]

Le jour de la Pentecôte de l’an 33 naquit la nouvelle nation.

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