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Proclamateurs du Royaume de DieuLa Tour de Garde 1965 | 1er janvier
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de consacrer au moins dix heures par mois à la prédication du Royaume de Dieu, conduisant, si possible, des études bibliques au domicile des gens. Bien entendu, les Témoins qui peuvent consacrer plus de temps au ministère n’hésitent pas à le faire, et certains même y passent de 100 à 150 heures par mois. Chacun a le devoir d’examiner sa propre situation, puis d’arranger ses affaires de façon à rendre à Dieu un service qui lui soit agréable. — Rom. 12:1.
Si vous mettez au premier plan le culte de Dieu, votre vie sera très active, mais elle vous apportera aussi de grands bienfaits si le motif qui vous pousse à servir est bon. Vous ne serez pas heureux si vous passez de nombreuses heures dans le ministère dans le seul but de paraître juste aux yeux des autres. Mais si c’est par amour pour Dieu que vous êtes proclamateur du Royaume et prenez un intérêt sincère à aider les autres à acquérir la connaissance indispensable à leur salut, vous connaîtrez alors le vrai bonheur ! — Mat. 22:37-39.
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Impressionnés par ce qu’ils ont vuLa Tour de Garde 1965 | 1er janvier
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Impressionnés par ce qu’ils ont vu
◆ Une femme téléphona récemment au préposé à la réception du bureau de la Société Watch Tower à Brooklyn : “Voudriez-vous me parler des témoins de Jéhovah et de leurs croyances, dit-elle. Je suis de religion juive mais j’ai besoin de force spirituelle. J’ai entendu parler de vos grandes assemblées et je vois de nombreuses personnes affluer à votre organisation. J’aimerais savoir ce qui les attire en si grand nombre. J’ai vécu vingt-deux ans dans votre quartier [non loin du bureau de la Société] et j’ai suivi l’accroissement merveilleux de votre organisation qui, partie de rien, est devenue si prospère. Des témoins de Jéhovah me visitent régulièrement, au moins une fois par semaine ; je leur réponds invariablement : ‘Ça ne m’intéresse pas.’ Mais je suis arrivée à un moment de ma vie où j’ai besoin d’être mieux renseignée sur les témoins de Jéhovah.”
Comme il n’était guère facile d’expliquer les enseignements des témoins de Jéhovah par téléphone, le Témoin prit des dispositions pour visiter cette personne le dimanche suivant. Elle lui apprit qu’elle avait fréquenté plusieurs Églises mais les avait toujours quittées, plus faible que lorsqu’elle y était entrée. Un ministre protestant dont elle demanda l’aide, lui répondit : “Eh bien ! Madame P., je ne puis aller vous prendre par la main, mais si vous voulez vraiment faire quelque chose, vous consacrerez deux heures par semaine à répondre aux appels téléphoniques adressés à l’église.” Cette réponse la découragea, bien qu’elle affirmât ne s’être jamais sentie à l’aise dans une église, car elle ne croyait pas que Jésus était Dieu le Tout-Puissant, et elle se rendait compte que la plupart des doctrines du “christianisme” avaient une origine païenne. “Que dois-je faire, dit-elle alors, pour être des vôtres ?” Des dispositions furent prises pour qu’une étude de la Bible ait lieu chez elle ; elle prit le livre Du paradis perdu au paradis reconquis et la Traduction du monde nouveau ; ce même jour elle assista à la conférence publique à la Salle du Royaume. À présent, elle vient régulièrement aux réunions ; une étude biblique a lieu chez elle toutes les semaines. “Comme ils me soignent bien !” dit-elle, à propos des témoins de Jéhovah qui étudient avec elle. Voilà un exemple des bénédictions que l’on reçoit quand on s’efforce diligemment de nourrir les “petites brebis”, même s’il faut, pour le faire, visiter les gens chaque semaine, année après année, pour leur parler du Royaume de Dieu. — Jean 21:17, MN.
● Un témoin de Jéhovah du New Jersey raconte comment elle aida une personne intéressée qui avait pris la Traduction du monde nouveau et le livre Du paradis perdu au paradis reconquis : “Je l’invitai à une conférence publique à la Salle du Royaume ; elle vint et fut si heureuse que, depuis, elle assiste à toutes les réunions. Je lui demandai s’il lui plairait de m’accompagner chez les personnes avec qui je conduisais une étude biblique ; elle accepta. Plus tard, elle me demanda quand elle pourrait participer à l’œuvre de porte en porte. Environ deux mois après sa première sortie dans le ministère du champ, je l’invitai à visiter l’imprimerie de la Société à Brooklyn. Elle prit un jour de congé, et voici un passage de la lettre qu’elle écrivit pour exprimer ses impressions sur cette visite :
“Aujourd’hui, j’ai vu des hommes et des femmes travailler et vivre ensemble dans des conditions d’harmonie et de paix dignes du paradis que les Écritures nous promettent. Se peut-il
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