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Maintenons une bonne position devant DieuLa Tour de Garde 1964 | 15 juillet
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un point de vue des quakers sur les questions sexuelles”, “rejette presque entièrement la façon traditionnelle dont l’Église chrétienne organisée aborde la question des mœurs”, déclara le Globe and Mail de Toronto, du 19 février 1963.
ÉVITONS L’IMMORALITÉ
Comme elles sont dangereuses, ces philosophies du vieux monde sur la morale ! Si on les écoute, on est certain de perdre sa bonne position devant Dieu. Les lois de Dieu sont aussi adaptées et applicables à notre époque qu’elles l’étaient au temps où elles furent écrites. L’un des apôtres du Christ invite ceux qui croient pouvoir s’en écarter pour assouvir leurs appétits sexuels à considérer ce qui est arrivé aux Israélites que les Moabites, adorateurs de Baal, avaient séduits :
“Ne pratiquons pas non plus la fornication, comme certains d’entre eux ont commis la fornication, seulement pour tomber, vingt-trois mille d’entre eux en un seul jour. Or ces choses leur arrivaient comme exemples, et elles ont été écrites pour nous servir d’avertissement, à nous sur qui sont arrivées les fins des systèmes de choses. Ainsi donc, que celui qui croit être debout prenne garde de tomber.” — I Cor. 10:8, 11, 12, MN.
Les chrétiens doivent prendre garde en tout temps afin de ne pas être pris au piège par ce monde atteint de folie sexuelle, comme les Israélites le furent par leurs voisins libidineux. “Faites donc mourir vos membres du corps, a écrit l’apôtre Paul aux premiers chrétiens, en ce qui concerne la fornication, l’impureté, l’appétit sexuel, (...). Dépouillez l’ancienne personnalité avec ses pratiques, et revêtez la nouvelle personnalité, qui, par la connaissance exacte, est renouvelée selon l’image de Celui qui l’a créée.” — Col. 3:5-10, MN.
Afin d’éviter l’immoralité, il faut remplir son esprit et son cœur des justes lois de Dieu et s’efforcer en tout temps de vivre conformément à elles. Cela veut dire que “la fornication et toute espèce d’impureté ou l’avidité ne soient pas même mentionnées parmi vous, comme il convient à des hommes saints ; pas non plus de conduite indigne, ni de propos absurdes, ni de plaisanteries obscènes, choses qui ne conviennent pas, mais plutôt des actions de grâces. Car vous savez ceci, le reconnaissant vous-mêmes, que ni fornicateur, (...) n’a d’héritage dans le royaume du Christ et de Dieu”. — Éph. 5:3-5, MN ; Phil. 4:8.
La loi de Dieu est donc claire. Les pratiques immorales, comme la fornication, l’adultère, l’homosexualité et la bestialité attirent sur celui qui les commet la désapprobation divine. Il est vrai que beaucoup pratiquaient ces choses avant de connaître les justes exigences de Dieu et tandis qu’ils vivaient encore à la manière des gens des nations. Mais si on désire vraiment acquérir et maintenir une bonne position devant Dieu, on doit dès lors s’abstenir “de la fornication” et savoir comment “posséder son propre vase dans la sanctification et l’honneur, non dans l’appétit sexuel plein d’avidité tel que celui qu’ont aussi ces nations qui ne connaissent pas Dieu”. — I Thess. 4:3-5, MN ; I Cor. 6:9-11.
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Si Jésus revenaitLa Tour de Garde 1964 | 15 juillet
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Si Jésus revenait
Lors d’un repas à Lauttasaari, en Finlande, l’écrivain Eila Pennanen fit un discours sur le thème ci-dessus. Selon le no 5-6 (1962) du Vartija, journal religieux publié sous le patronage du clergé, cet auteur aurait dit en guise de conclusion : “Comment les hommes accueilleraient-ils Jésus de nos jours ? Les responsables de l’Église, sourire aux lèvres, feindraient de ne pas le connaître, les Pharisiens feraient son procès dans la presse, les scribes demanderaient que les conseils épiscopaux le punissent pour hérésie, les Sadducéens le considéreraient comme un homme simple et sans instruction et l’autorité civile le réduirait au silence d’une manière bien plus sûre que la crucifixion. La publicité à elle seule est meurtrière. Il y a des raisons d’espérer que Jésus ne revienne pas.” Une telle attitude n’a rien d’étonnant car, que dirait Jésus de l’apathie spirituelle, de l’attachement au matérialisme et de l’immoralité qui règnent au sein de la chrétienté, sans parler des guerres ? Que dirait-il de l’union des chefs religieux et des politiciens pour exalter les Nations unies plutôt que le Royaume de Dieu ?
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