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Exercer l’autorité avec la crainte de JéhovahLa Tour de Garde 1963 | 1er avril
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plus souvent à un manque de crainte de Jéhovah, tant de la part des parents que des enfants. — Prov. 20:11 ; 23:13, 14.
L’attraction réciproque des sexes est souvent mal employée, pour des questions de gains égoïstes, pour la satisfaction de plaisirs physiques, pour l’orgueil de briller, pour acquérir de la popularité ou même pour gagner de l’argent. D’après les psychiatres, de nombreux maris se plaignent de la tyrannie qu’exercent leurs femmes sur eux à cause de la puissance que l’attraction physique donne à ces dernières sur la question des obligations maritales. Une telle manière de faire témoigne aussi d’un manque de crainte de Jéhovah, car sa Parole demande aux femmes d’être soumises “ à leurs maris en toutes choses ”. — Éph. 5:24.
Une personnalité marquante peut aussi être mal employée, et c’est souvent le cas des politiciens, des membres du clergé, et des artistes. À l’aide de leur charme, d’un esprit vif, d’une volonté forte, d’une imagination fertile, d’une parole facile, ces individus sont capables d’exercer leur influence sur d’autres personnes et ils le font pour un profit personnel. Tout cela favorise et développe le culte de la créature, et de tels hommes n’ont pas la crainte de Jéhovah.
Un poète a fort bien dit à propos de ce genre de puissance :
“ Il n’y a pas de trésor qui ne soit suivi
de l’ombre d’un souci,
“ Et l’exercice de l’autorité dissimule
toujours quelque piège subtil. ”
Voudriez-vous éviter un tel piège ? Entreprenez alors une étude régulière de la Bible, car elle vous imprégnera de la crainte de Jéhovah, qui est le commencement de la sagesse. — Prov. 9:10.
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La vérité semée à l’écoleLa Tour de Garde 1963 | 1er avril
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La vérité semée à l’école
INVITÉ À PARLER
● Dernièrement, un jeune témoin de Jéhovah de Californie raconta une joie de service qu’il eut à l’école. Un jour il rencontra l’un de ses anciens professeurs, celui qui les entretenait des Questions américaines. “ La discussion des différentes religions de la communauté faisant partie du programme d’études, il me demanda s’il me plairait d’être invité à parler dans ses cours au nom des témoins de Jéhovah. Pendant l’heure qui m’était accordée, je disposais d’une demi-heure pour une causerie sur l’œuvre des témoins de Jéhovah, le reste du temps étant consacré à des questions suivies de réponses. Après la causerie, le professeur m’informa qu’un de ses collègues aimerait que je parle aussi devant sa classe. Cet homme ne venant pas me trouver, j’allai à lui et lui offris de faire une causerie au nom des témoins de Jéhovah. Mon offre l’enthousiasma et il prit des arrangements en conséquence. Le programme était le même dans chaque classe : une causerie de trente minutes suivie d’une période très animée passée à répondre aux questions posées. ”
LA PORTE FERMÉE À CLEF
● Un témoin de Jéhovah du Texas nous écrit pour nous relater une joie de service qu’elle eut au temps où elle allait en classe : “ Nous habitions alors une ferme au milieu des bois et, comme mon père ne voulait pas que les gens viennent chez nous, l’entrée restait fermée à clef. Mais cette porte verrouillée n’empêcha pas la vérité d’entrer ! À l’école primaire, il y avait plusieurs enfants témoins qui prirent une position admirable en faveur de la vraie adoration pendant les jours de guerre ; et ils avaient l’air toujours si aimable. Leur conduite
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