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Comment le jour où les nations rendront des comptes nous procurera-t-il finalement des bienfaits?La Tour de Garde 1979 | 15 avril
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donc maintenant le temps favorable pour nous ranger parmi les “peuples” qui loueront le Roi victorieux “jusqu’à des temps indéfinis, oui, à jamais”. Cela glorifiera en même temps son Père céleste, Jéhovah Dieu, qui est le “Roi d’éternité” et le “Roi des nations”. Nous pourrons, si nous faisons sa volonté, louer “à jamais” son Roi oint et mener ainsi une vie qui aura un véritable sens. Ce sera là le but élevé de notre existence, pour toute l’éternité.
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Pourquoi faut-il se garder de murmurer?La Tour de Garde 1979 | 15 avril
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Pourquoi faut-il se garder de murmurer?
“IL Y A des gens qui n’ont jamais l’air content.” Combien de fois avez-vous entendu cela? Il est vrai que, dans les temps décisifs où nous vivons, beaucoup de gens ont tendance à murmurer. Ils doutent de tout et remettent tout en question. Mais est-il sage pour un chrétien de laisser se développer en lui une telle attitude? Ce n’était certes pas l’avis de l’apôtre Paul, car dans sa lettre à la congrégation de Philippes, il dit: “Continuez à faire toutes choses sans murmures ni discussions, pour devenir irréprochables et innocents, enfants de Dieu sans défaut.” — Phil. 2:14, 15.
Ces paroles de Paul soulèvent des questions. À quel point, au juste, peut-il être grave de murmurer? Cela peut-il affecter mes relations avec les autres ou avec la congrégation? Qu’est-ce que Jéhovah pense de moi si j’ai tendance à murmurer? Que puis-je faire pour éviter cette attitude d’esprit?
EXEMPLES DU PASSÉ
L’importance des murmures ressort de ce que Paul jugea bon de dire à ce sujet dans la première lettre qu’il écrivit à ses frères de Corinthe. Nous y lisons: “Ne murmurez pas non plus comme murmurèrent certains d’entre eux [les Israélites], et ils périrent par le destructeur.” (I Cor. 10:10). Reportons-nous, par exemple, à l’époque où Moïse envoya douze hommes, un de chaque tribu d’Israël, explorer le pays que Jéhovah avait promis de donner en héritage à la nation. C’était peu de temps après la sortie des Israélites d’Égypte et le début de leur séjour dans le désert. Quand les douze espions revinrent dans le camp d’Israël, il n’y en eut que deux, Josué et Caleb, qui firent un rapport favorable et qui pressèrent le peuple d’entrer courageusement dans le pays. Les dix autres brossèrent un tableau décourageant. Ils parlèrent de la région comme d’un “pays qui dévore ses habitants”, et dirent: “Tout le peuple que nous avons vu au milieu de lui, ce sont des hommes d’une taille extraordinaire.” — Nomb. 13:32.
À ces mots, les Israélites manquèrent de foi, et ils “murmuraient contre Moïse et Aaron, et toute l’assemblée disait contre eux: ‘Si seulement nous étions morts au pays d’Égypte ou si seulement nous étions morts dans ce désert! Et pourquoi Jéhovah nous mène-t-il en ce pays pour y tomber par l’épée?’”. Oui, ils murmuraient contre Jéhovah! C’est pourquoi, hormis Josué, Caleb et les Lévites, tous ceux qui étaient
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