BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • Jéhovah
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • pareillement.” (Jean 5:19). Il s’ensuit que la bonté, la compassion, la douceur, la chaleur ainsi que l’amour puissant de la justice et la haine de la méchanceté que Jésus a manifestés (Héb. 1:8, 9) sont autant de qualités que le Fils avait observées chez son Père, Jéhovah Dieu. — Comparer Matthieu 9:35, 36 avec Psaume 23:1-6 et Ésaïe 40:10, 11; Matthieu 11:27-30 avec Ésaïe 40:28-31 et 57:15, 16; Luc 15:11-24 avec Psaume 103:8-14; Luc 19:41-44 avec Ézéchiel 18:31, 32; 33:11.

      Tout ami de la justice qui lit les Écritures divinement inspirées et qui arrive vraiment à “connaître” et à comprendre la pleine signification du nom de Jéhovah (Ps. 9:9, 10; 91:14; Jér. 16:21) a donc toutes les raisons d’aimer et de bénir ce nom (Ps. 72:18-20; 119:132; Héb. 6:10), de le louer et de le glorifier (Ps. 7:17; És. 25:1; Héb. 13:15), de le craindre et de le sanctifier (Néh. 1:11; Mal. 2:4-6; 3:16-18; Mat. 6:9), de mettre sa confiance en ce nom (Ps. 33:21; Prov. 18:10) et de dire avec le psalmiste: “Je chanterai à Jéhovah durant toute ma vie; j’exécuterai des mélodies pour mon Dieu tant que j’existerai. Que ma méditation à son sujet soit agréable! Moi, je me réjouirai en Jéhovah. Les pécheurs seront supprimés de dessus la terre; et quant aux méchants, ils ne seront plus. Bénis Jéhovah, ô mon âme! Louez Jah!” — Ps. 104:33-35.

  • Jéhovah des armées
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • JÉHOVAH DES ARMÉES

      Cette expression, que l’on rencontre plus de 280 fois dans les Écritures, traduit les mots hébreux Yehôwâh tsevâʼôth. Elle apparaît surtout dans les livres prophétiques, notamment dans ceux d’Ésaïe, de Jérémie et de Zacharie. Lorsqu’ils citent des prophéties ou y font allusion, Paul et Jacques utilisent aussi cette expression (transcrite en grec) dans leurs écrits. — Rom. 9:29; Jacq. 5:4; voir Ésaïe 1:9.

      Le mot hébreu tsâvaʼ (au singulier; pluriel tsevâʼôth) désigne fondamentalement une armée de soldats, comme en Genèse 21:22, Deutéronome 20:9 et dans beaucoup d’autres textes. Toutefois, ce terme prend également un sens figuré tel dans “les cieux et la terre et toute leur armée” ou “le soleil et la lune et les étoiles, toute l’armée des cieux”. (Gen. 2:1; Deut. 4:19.) La forme plurielle (tsevâʼôth) est employée assez souvent à propos des armées d’Israël, par exemple en Exode 6:26; 7:4; Nombres 33:1; Psaumes 44:9; 60:10. Certains biblistes pensent que dans l’expression “Jéhovah des armées”, le mot “armées” désigne non seulement les anges, mais aussi l’armée israélite et les corps célestes inanimés. Toutefois, il semble bien qu’il s’applique là essentiellement, sinon exclusivement, aux armées angéliques.

      Quand Josué vit un visiteur angélique près de Jéricho et qu’il lui demanda s’il était pour Israël ou pour ses adversaires, l’ange répondit: “Non, mais moi, comme prince de l’armée de Jéhovah, je suis venu maintenant.” (Josué 5:13-15). Quant au prophète Michée, il faisait allusion aux fils spirituels de Dieu lorsqu’il déclara aux rois Achab et Josaphat: “Vraiment, je vois Jéhovah assis sur son trône et toute l’armée des cieux se tenant près de lui, à sa droite et à sa gauche.” (I Rois 22:19-21). L’emploi du pluriel dans l’expression “Jéhovah des armées” est approprié puisque les armées angéliques sont non seulement composées de chérubins, de séraphins et d’anges (És. 6:2, 3; Gen. 3:24; Rév. 5:11), mais également organisées en divers groupes, si bien que Jésus a pu dire qu’il pouvait faire appel à “plus de douze légions d’anges”. (Mat. 26:53.) Quand il supplia Jéhovah de lui venir en aide, Ézéchias l’appela “Jéhovah des armées, Dieu d’Israël, qui es assis sur les chérubins”. Il faisait sans doute allusion à l’arche de l’alliance et aux chérubins qui étaient sur son couvercle, ce qui symbolisait le trône céleste de Jéhovah (És. 37:16; voir I Samuel 4:4; II Samuel 6:2). Le serviteur d’Élisée, qui avait peur, fut rassuré par une vision miraculeuse dans laquelle il vit les montagnes qui entouraient la ville du prophète, alors assiégée, ‘pleines de chevaux et de chars de feu, de chars de guerre’, c’est-à-dire une partie des armées angéliques de Jéhovah. — II Rois 6:15-17.

      L’expression “Jéhovah des armées” emporte une idée de puissance, celle que détient le Chef et Souverain de l’univers qui commande d’immenses armées de créatures spirituelles (Ps. 103:20, 21; 148:1, 2; És. 1:24; Jér. 32:17, 18). Elle suscite donc une crainte et un respect profonds, mais elle est aussi une source de réconfort et d’encouragement pour les serviteurs de Jéhovah. Seul et sans l’aide de forces militaires terrestres, David défia le terrible Philistin Goliath “avec le nom de Jéhovah des armées, le Dieu des lignes de bataille d’Israël”. (I Sam. 17:45.) Non seulement au cours de batailles, mais dans toutes les autres situations pénibles ou critiques, le peuple de Dieu ou ses membres, individuellement, pouvaient garder courage et espoir en reconnaissant la souveraineté majestueuse que Jéhovah détient et qu’il manifeste en dirigeant des armées puissantes depuis les cours célestes (I Sam. 1:9-11; II Sam. 6:18; 7:25-29). En employant l’expression “Jéhovah des armées”, les prophètes nous donnent une raison supplémentaire de croire que leurs prophéties se réaliseront à coup sûr.

  • Jéhovah est notre justice
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • JÉHOVAH EST NOTRE JUSTICE

      Cette expression est la traduction des deux mots Yehôwâh Tsidhqénou que l’on trouve en Jérémie 23:6 et 33:16. D’autres traductions la rendent ainsi: “LE SEIGNEUR est notre justificateur” (AT); “LE SEIGNEUR, c’est lui notre justice” (TOB); “Yahvé-notre-justice.” (Jé).

      Jérémie 23:5, 6 relate une prophétie messianique qui annonçait le futur roi qui allait ‘germer’ de la lignée de David pour ‘exercer l’équité et la justice dans le pays’. Puisque ce roi règne en tant que représentant de Dieu (et, comme David et ses successeurs, est assis “sur le trône de Jéhovah” dont il est le roi oint; I Chron. 29:23), la prophétie dit: “Voici le nom dont on l’appellera: Jéhovah est notre justice.” Contrairement à ce qu’ont fait certains biblistes, il n’y a aucune raison de voir en cette expression la preuve que Jésus, le Messie, et Jéhovah sont une seule et même Personne et un seul et même Dieu. En effet, on retrouve une prophétie similaire en Jérémie 33:14-16, où la même expression est appliquée cette fois à Jérusalem en ces termes: “Et voici comment on l’appellera: Jéhovah est notre justice.” Dans les deux cas, l’expression laisse entendre que Jéhovah, le nom de Dieu, est placé à la fois sur son Roi promis et sur la capitale qu’il s’est choisie comme un gage de leur justice. D’autre part, l’équité et la justice qu’ils manifestent, ou qui émanent de ces sources, sont le résultat d’un attachement entier à Jéhovah et à sa volonté, lequel attachement amène la bénédiction et la direction divines.

  • Jéhovah-Jiréh
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • JÉHOVAH-JIRÉH

      {Article non traduit.}

  • Jéhovah lui-même est là
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • JÉHOVAH LUI-​MÊME EST LÀ

      Il s’agit de la traduction de l’expression “Jéhovah-Schammah”, appliquée à la ville que le prophète Ézéchiel vit dans la vision qu’il décrit aux chapitres 40 à 48 de son livre (Ézéch. 48:35). Cette ville a la forme d’un carré (de 4 500 coudées linéaires [2 332 mètres] de côté) et compte douze portes, chacune ayant le nom d’une des tribus d’Israël (48:15, 16, 31-34). Elle est dans une certaine mesure comparable à la ville sainte, la Nouvelle Jérusalem, que l’apôtre Jean vit dans une vision (Rév. 21:2, 10-16). La ville de la prophétie d’Ézéchiel doit appartenir “à toute la maison d’Israël”. (Ézéch. 45:6.) Le nom “Jéhovah-Schammah” ou “Jéhovah lui-​même est là” indique la présence symbolique de Dieu telle qu’elle est décrite dans d’autres textes, comme Psaumes 46:5; 132:13, 14; Ésaïe 24:23; Joël 3:21 et Zacharie 2:10, 11. Jéhovah, que ‘le ciel des cieux ne peut contenir’, y est présenté comme s’il résidait dans une ville ou un lieu terrestres. — I Rois 8:27.

  • Jéhovah-Nissi
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • JÉHOVAH-NISSI

      {Article non traduit.}

  • Jéhovah-Schalom
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • JÉHOVAH-SCHALOM

      {Article non traduit.}

  • Jéhozabad
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • JÉHOZABAD

      {Article non traduit.}

  • Jéhozadac
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • JÉHOZADAC

      {Article non traduit.}

  • JEHU
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • JÉHU

      (probablement “il est Jéhovah”).

      Fils de Josaphat (il ne s’agit pas de Josaphat, roi de Juda) et petit-fils de Nimschi (II Rois 9:14). Jéhu régna sur Israël de 905 environ jusqu’en 876 avant notre ère. Aux jours d’Achab, roi d’Israël, Élie le prophète s’était enfui au mont Horeb pour échapper à Jézabel, la femme d’Achab, qui voulait le mettre à mort. Dieu ordonna à Élie de retourner par son chemin et d’oindre trois hommes: Élisée comme son successeur, Hazaël comme roi de Syrie et Jéhu comme roi d’Israël (I Rois 19:15, 16). Élie oignit Élisée (ou le désigna pour une fonction). Cependant, il restait encore à oindre Jéhu, et ce fut finalement Élisée, successeur d’Élie, qui s’en chargea.

      Était-​ce par procrastination qu’Élie laissa à Élisée le soin d’oindre Jéhu? Non. Quelque temps après qu’il eut donné cet ordre à Élie, Jéhovah lui indiqua que le malheur qui s’abattrait sur la maison d’Achab (par la main de Jéhu) n’aurait pas lieu du vivant d’Achab, mais aux jours de son fils (I Rois 21:27-29). Il apparaît donc que c’est sur les instructions de Jéhovah que l’onction de Jéhu fut retardée et non parce qu’Élie faisait preuve de négligence. Jéhovah attendait le moment précis où il serait opportun que Jéhu se mette tout de suite en action et rende ainsi son onction immédiatement effective. Alors, étant donné son caractère décidé et énergique, Jéhu agirait sur-le-champ, sans perdre de temps.

      Ce moment-​là finit par arriver. C’était une période de guerre. Achab était mort entre-temps et son fils Joram était roi. L’armée d’Israël était massée à Ramoth-Galaad, montant la garde à cause des forces de Hazaël, roi de Syrie. Jéhu, qui était l’un des chefs militaires, se trouvait sur place (II Rois 8:28; 9:14). Quelque treize années plus tôt, lui et son aide de camp, Bidcar, simples soldats dans l’armée d’Achab, étaient présents lorsque Élie avait condamné Achab et prophétisé que Jéhovah ‘paierait Achab de retour dans la portion de terre appartenant à Naboth’. Cette portion de terre, Achab l’avait prise après que sa femme Jézabel eut provoqué le meurtre de Naboth. — I Rois 21:11-19; II Rois 9:24-26.

      Tandis que les forces militaires d’Israël montaient la garde à Ramoth-Galaad, Joram, le roi d’Israël, se trouvait à Jizréel pour se rétablir des blessures que les Syriens lui avaient infligées à Ramah. Le roi de Juda, Achaziah, était avec lui. Ce dernier était le neveu de Joram. En effet, sa mère, Athalie, était la sœur de Joram d’Israël et la fille d’Achab et de Jézabel. Le roi Achaziah était venu à Jizréel pour rendre visite à son oncle malade. — II Rois 8:25, 26, 28, 29.

      L’ONCTION DE JÉHU

      Élisée appela son serviteur, un des fils des prophètes, et lui demanda de prendre un flacon d’huile, d’aller dans le camp des Israélites à Ramoth-Galaad, d’oindre Jéhu et de s’enfuir. Le serviteur d’Élisée obéit; il appela Jéhu, qui était réuni avec les autres officiers, et le fit entrer dans une maison; là, il l’oignit et lui fit part de la mission qui lui était confiée, à savoir abattre la maison d’Achab tout entière. Alors le serviteur s’enfuit, ainsi que cela lui avait été ordonné par Élisée. — II Rois 9:1-10.

      Lorsque Jéhu sortit de la maison, il fit comme si de rien n’était et comme si le prophète ne lui avait rien dit de bien important. Mais les hommes virent à son air et à son comportement que quelque chose de particulier s’était produit. Pressé de questions, Jéhu révéla qu’il venait d’être oint comme roi d’Israël et, dès que l’armée eut connaissance de cette nouvelle saisissante, elle le proclama roi. — II Rois 9:11-14.

      LA DESTRUCTION DE LA MAISON D’ACHAB

      Après avoir ordonné que personne n’aille informer Jizréel de son onction, Jéhu partit à vive allure sur son char pour cette ville (II Rois 9:15, 16). Joram ayant fait sortir des messagers de Jizréel à sa rencontre pour lui demander: “Y a-​t-​il la paix?” Jéhu les envoya se placer avec son arrière-garde. Comme la “masse houleuse” des cavaliers et des chars de Jéhu se rapprochait, le guetteur qui se tenait sur la tour identifia Jéhu à sa façon de conduire son char, “avec démence”. Joram, fils d’Achab, fut mis en défiance et il sortit sur son char de guerre. Il rencontra Jéhu sur la portion de terre de Naboth. Jéhu l’abattit d’une flèche et, se souvenant de la prophétie d’Élie, il donna l’ordre à Bidcar, son aide de camp, de jeter son cadavre dans le champ de Naboth. Puis Jéhu poursuivit sa route jusqu’à Jizréel. Il semble que Achaziah, petit-fils d’Achab, qui était sorti de la ville avec Joram, tenta de regagner sa propre capitale, Jérusalem, mais il n’alla pas plus loin que Samarie où il se cacha. Un peu plus tard, on le captura et on l’amena à Jéhu qui se trouvait près de la ville d’Ibléam, non loin de Jizréel. Jéhu ordonna à ses hommes de le mettre à mort sur son char de guerre. Ils le blessèrent mortellement à la montée de Gur, près d’Ibléam, mais il parvint à s’échapper et à aller jusqu’à Méguiddo où il mourut. On le ramena alors à Jérusalem et il y fut enseveli. — II Rois 9:17-28; II Chron. 22:6-9.

      Lorsque Jéhu arriva à Jizréel, la veuve d’Achab, Jézabel, lui cria: “Tout s’est-​il bien passé pour Zimri, le tueur de son seigneur?” (Voir I Rois 16:8-20). Mais, insensible à la menace à peine voilée que contenaient ces paroles, Jéhu demanda aux fonctionnaires de cour de laisser tomber Jézabel par la fenêtre. Ils obéirent. Son sang gicla sur le mur et Jéhu la piétina avec ses chevaux. C’est peut-être pour donner un autre aperçu du caractère de Jéhu que le récit fait cette courte

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager