BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • it-2 « Mari »
  • Mari

Aucune vidéo n'est disponible pour cette sélection.

Il y a eu un problème lors du chargement de la vidéo.

  • Mari
  • Étude perspicace des Écritures (volume 2)
  • Document similaire
  • Mari
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
  • Mariage
    Étude perspicace des Écritures (volume 2)
  • Épouse
    Étude perspicace des Écritures (volume 1)
  • Divorce
    Étude perspicace des Écritures (volume 1)
Plus…
Étude perspicace des Écritures (volume 2)
it-2 « Mari »

MARI

On désigne un homme marié par le terme hébreu ʼish (homme) et par le terme grec anêr (personne de sexe masculin) (Os 2:16, note ; Rm 7:2, Int). D’autres vocables hébreux utilisés diversement pour parler du mari sont ʼadhôn (seigneur), baʽal (propriétaire, maître) et réaʽ (compagnon, ami) (Gn 18:12 ; 20:3 ; Jr 3:20). En Israël, on parlait aussi d’un homme fiancé comme d’un “ mari ”, et de la jeune fille comme d’une “ femme ” (au sens de femme mariée). — Dt 22:23, 24 ; Mt 1:18-20.

Un homme se fiançait à une femme, c’est-à-dire contractait son futur mariage, en payant au père ou aux tuteurs le prix de l’épouse, son prix d’achat (Ex 22:16, 17). Elle devenait alors sa propriété (Ex 20:17). Le mot baʽal, qui signifie “ propriétaire, maître ”, s’appliquait à lui, et la femme était appelée beʽoulah, ce qui veut dire “ possédée comme femme ”. (Gn 20:3 ; Dt 22:22 ; Is 62:4.) Jéhovah déclara à la nation antique d’Israël : “ Moi je suis devenu votre propriétaire-époux [forme de baʽal]. ” — Jr 3:14 ; Is 62:4, 5 ; voir HÉRITAGE (À l’époque de la Loi).

Au temps des patriarches, le mari assumait les fonctions de prêtre et de juge dans sa famille, et dans toutes les Écritures le mari et père était presque toujours l’objet d’un profond respect. — Gn 31:31, 32 ; Jb 1:5 ; 1P 3:5, 6 ; voir aussi Dt 21:18-21 ; Est 1:10-21.

L’autorité. En épousant une femme, l’homme la place sous une loi nouvelle, “ la loi de son mari ”, qui autorise celui-ci à fixer des règles et des prescriptions pour sa famille (Rm 7:2, 3). Il devient son chef, à qui elle doit être soumise (Éph 5:21-24, 33). Cette autorité de chef est relative, en raison de la supériorité de l’autorité de Dieu et de Christ. — 1Co 11:3.

Bien qu’il soit chef de la maison, le mari doit néanmoins rendre à sa femme son dû conjugal, les relations sexuelles, car “ le mari n’a pas pouvoir sur son propre corps, mais c’est sa femme ”. (1Co 7:3-5.) Il est également responsable du bien-être spirituel et matériel de sa famille. — Éph 6:4 ; 1Tm 5:8.

L’autorité du mari lui confère une lourde responsabilité. Bien qu’il soit le chef de sa femme, il doit reconnaître qu’elle est précieuse aux yeux de Dieu, surtout si elle est chrétienne. Il doit l’aimer comme il s’aime lui-même, car elle est “ une seule chair ” avec lui. — Gn 2:24 ; Mt 19:4-6 ; Éph 5:28, 33.

Les maris doivent témoigner à leur femme la même considération pleine d’amour que Christ à sa congrégation (Éph 5:25, 28-30, 33). Ils doivent reconnaître que la femme est “ un vase plus faible ”, lui assigner de l’honneur, tenir compte de sa constitution physique et affective, et de ses ennuis cycliques. Ceci est particulièrement important lorsque les deux conjoints sont chrétiens, héritiers “ de la faveur imméritée de la vie ”, afin que les prières du mari ne soient pas entravées (1P 3:7). Si la femme n’est pas croyante, cela ne donne pas au mari un prétexte pour divorcer ou se séparer. Au contraire, il doit habiter avec elle si elle y consent, sachant qu’il peut, d’une part, l’aider à devenir croyante et, d’autre part, s’employer à sauver ses enfants. — 1Co 7:12, 14, 16 ; voir FAMILLE ; MARIAGE ; PÈRE.

Divorce. Sous la Loi mosaïque, un homme pouvait divorcer d’avec sa femme, mais elle-même n’avait pas ce droit. Le mari devait donner à sa femme un acte de divorce écrit (Dt 24:1-4). Jésus Christ montra que la possibilité de divorcer avait été une concession faite aux Israélites à cause de leur dureté de cœur (Mt 19:8). Toutefois, si un homme avait séduit une vierge qui n’était pas fiancée, elle devait devenir sa femme (à moins que le père de la jeune fille refuse de la lui donner) et il n’avait pas le droit de divorcer d’avec elle durant tous ses jours. — Dt 22:28, 29.

Les Écritures hébraïques ainsi que les Écritures grecques chrétiennes soulignent que le mari ne doit avoir de relations sexuelles qu’avec son conjoint (Pr 5:15-20) et que le mariage doit rester honorable, car Dieu jugera les fornicateurs et les adultères (Hé 13:4). À l’époque des patriarches et sous la Loi, la polygamie et le concubinage étaient en usage parce que Jéhovah les tolérait, mais chez les chrétiens l’homme ne peut avoir qu’une seule femme en vie (Gn 25:5, 6 ; 29:18-28 ; Dt 21:15-17 ; Mt 19:5 ; Rm 7:2, 3 ; 1Tm 3:2). La “ fornication ” est le seul motif qui autorise un chrétien à divorcer et à se remarier. — Mt 19:9 ; voir FORNICATION.

Au sens métaphorique. Comme la nation antique d’Israël était liée à Jéhovah par l’alliance de la Loi, Dieu était son “ propriétaire-époux ”. (Jr 3:14.) L’apôtre Paul parle de Jéhovah comme du Père des chrétiens oints, ses fils engendrés de l’esprit, et de “ la Jérusalem d’en haut ” comme de leur mère, indiquant ainsi que Jéhovah se considère comme un mari vis-à-vis de cette Jérusalem. — Ga 4:6, 7, 26 ; voir aussi Is 54:5.

Jésus Christ est considéré comme le Mari de la congrégation chrétienne (Éph 5:22, 23 ; Ré 19:7 ; 21:2). Cette analogie souligne à la fois son autorité et l’amour attentif qu’il témoigne à la congrégation. Il a offert sa vie en faveur de son épouse, et il continue de la nourrir et de l’entourer de soins.

    Publications françaises (1950-2025)
    Se déconnecter
    Se connecter
    • Français
    • Partager
    • Préférences
    • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
    • Conditions d’utilisation
    • Règles de confidentialité
    • Paramètres de confidentialité
    • JW.ORG
    • Se connecter
    Partager