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  • La maternité au sein du peuple de Dieu

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  • La maternité au sein du peuple de Dieu
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1988
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  • Document similaire
  • Les enfants en Israël
  • Des époques difficiles pour les enfants en Israël
  • Les enfants chez les premiers chrétiens
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1988
w88 1/3 p. 18-22

La maternité au sein du peuple de Dieu

“Que Jéhovah (...) vous accroisse mille fois!” — DEUTÉRONOME 1:11.

1. En quels termes la Bible parle-​t-​elle des enfants et de la faculté de procréer?

EN PSAUME 127:3-5, on peut lire: “Voici, les fils sont un héritage de Jéhovah; le fruit du ventre est une récompense. Comme des flèches dans la main d’un homme fort, ainsi sont les fils de la jeunesse. Heureux l’homme valide qui en a rempli son carquois!” Assurément, la faculté de procréer est un don merveilleux que le Créateur, Jéhovah, a fait au premier couple humain et à ses descendants. — Genèse 1:28.

Les enfants en Israël

2. Qu’est-​ce qui montre que les grandes familles représentaient un bienfait pour les descendants d’Abraham, d’Isaac et de Jacob?

2 Chez les descendants qu’Isaac et Jacob donnèrent à Abraham, les grandes familles représentaient un bienfait. Même les enfants nés des épouses de second rang et des concubines étaient tenus pour légitimes; c’est le cas de certains fils de Jacob, qui devinrent les pères fondateurs des 12 tribus d’Israël (Genèse 30:3-12; 49:16-21; voir 2 Chroniques 11:21). Bien que Dieu n’ait prévu à l’origine que la monogamie, il toléra, chez les descendants d’Abraham, la polygamie et le concubinage; cette mesure permit un accroissement rapide de la population. Les Israélites étaient appelés à devenir “un peuple aussi nombreux que les particules de poussière de la terre”. (2 Chroniques 1:9; Genèse 13:14-16.) Cette nation devait produire la “postérité” promise par laquelle “toutes les nations de la terre” pourraient se bénir. — Genèse 22:17, 18; 28:14; Deutéronome 1:10, 11.

3. Quelle était la situation d’Israël pendant le règne de Salomon?

3 S’il est clair qu’en Israël la naissance d’un enfant était regardée comme un bienfait venant de Jéhovah (Psaume 128:3, 4), on remarquera, toutefois, que les versets du Psaume 127 cités au début de l’article ont été écrits par le roi Salomon, dont le règne s’est déroulé en majeure partie à une époque tout à fait favorable de l’histoire d’Israël. Voici comment la Bible décrit cette époque: “Juda et Israël étaient nombreux, comme les grains de sable qui sont au bord de la mer, en multitude; on mangeait, et l’on buvait, et l’on se réjouissait. Et Juda et Israël continuèrent d’habiter en sécurité, chacun sous sa propre vigne et sous son propre figuier, depuis Dan [au nord] jusqu’à Béer-Schéba [au sud], tous les jours de Salomon.” — 1 Rois 4:20, 25.

Des époques difficiles pour les enfants en Israël

4, 5. a) Pourquoi la maternité n’a-​t-​elle pas toujours été une cause de réjouissance en Israël? b) Quelles scènes horribles a-​t-​on vues au moins deux fois à Jérusalem?

4 Cependant, il y a eu d’autres périodes dans l’histoire d’Israël où la maternité était loin d’être une cause de réjouissance. Voici ce qu’a écrit le prophète Jérémie à l’époque de la première destruction de Jérusalem: “Mes yeux ont disparu dans les larmes (...), parce que l’enfant et le nourrisson défaillaient sur les places publiques de la cité. (...) Est-​ce que les femmes doivent continuer à manger leur propre fruit, les enfants qui sont nés parfaitement conformés?” “Les mains de femmes compatissantes ont fait cuire leurs enfants.” — Lamentations 2:11, 20; 4:10.

5 Les événements qui se sont déroulés quelque sept siècles après ont, semble-​t-​il, donné lieu à des scènes tout aussi horribles. L’historien juif Josèphe rapporte que durant le siège de Jérusalem, en l’an 70 de notre ère, des enfants ôtaient la nourriture de la bouche de leur père, des mères de la bouche de leurs petits enfants. Il relate comment une femme tua son nourrisson, le rôtit et en mangea une partie. C’était une responsabilité que de mettre au monde des enfants dans le système juif peu avant l’exécution des jugements de Jéhovah contre Jérusalem en 607 avant notre ère et en 70 de notre ère.

Les enfants chez les premiers chrétiens

6, 7. a) Quelles pratiques Jésus a-​t-​il supprimées chez les chrétiens? b) Par quel moyen l’Israël spirituel devait-​il s’accroître, et qu’est-​ce qui le prouve?

6 Comment les premiers chrétiens considéraient-​ils la procréation? On remarquera d’abord que Jésus avait supprimé la polygamie ainsi que le concubinage parmi ses disciples, et rétabli le modèle instauré à l’origine: la monogamie, union d’une seule femme avec un seul homme (Matthieu 19:4-9). L’Israël selon la chair s’était accru par le moyen de la procréation; l’Israël spirituel allait le faire grâce à la prédication. — Matthieu 28:19, 20; Actes 1:8.

7 Si le christianisme avait dû s’étendre principalement grâce à la procréation, Jésus n’aurait pas encouragé ses disciples à “faire place” au célibat “à cause du royaume des cieux”. (Matthieu 19:10-12.) L’apôtre Paul, quant à lui, n’aurait pas écrit: “Celui qui donne sa virginité en mariage fait bien, mais celui qui ne la donne pas en mariage fera mieux.” — 1 Corinthiens 7:38.

8. Qu’est-​ce qui montre qu’au Ier siècle, de nombreux chrétiens étaient mariés et avaient des enfants?

8 Toutefois, s’ils encourageaient le célibat en vue de servir la cause du Royaume, ni Jésus ni Paul ne l’imposaient. Tous deux prévoyaient que des chrétiens se marieraient et que, par la force des choses, certains auraient des enfants. Du reste, plusieurs passages des Écritures grecques donnaient aux chrétiens du Ier siècle des conseils précis sur la façon d’élever leurs enfants (Éphésiens 6:1-4; Colossiens 3:20, 21). S’ils étaient mariés, les anciens et les serviteurs ministériels devaient être des pères exemplaires. — 1 Timothée 3:4, 12.

9. Selon l’apôtre Paul, en quoi la maternité serait-​elle une protection pour certaines chrétiennes; mais, outre cela, comment leur faudrait-​il se comporter?

9 L’apôtre Paul a même déclaré que la maternité pourrait être une protection pour certaines chrétiennes. Voici ce qu’il dit à propos de l’aide à apporter aux veuves qui se trouvaient dans le besoin: “Les jeunes veuves, refuse-​les, (...) elles apprennent aussi à être désœuvrées, à courir les maisons; et pas seulement désœuvrées, mais encore bavardes, se mêlant des affaires d’autrui, parlant de ce qu’il ne faut pas. Je veux donc que les jeunes veuves se marient, qu’elles aient des enfants, qu’elles dirigent une maisonnée, qu’elles ne donnent à l’adversaire aucune occasion d’insulte. Car quelques-unes déjà se sont laissé détourner à la suite de Satan.” De telles femmes seraient donc ‘sauvegardées par la maternité, pourvu qu’elles persévèrent dans la foi, l’amour et la sanctification, avec du bon sens’. — 1 Timothée 5:11-15; 2:15.

“Des tribulations dans leur chair”

10. Quel conseil différent Paul donne-​t-​il aux veuves dans sa première lettre aux Corinthiens?

10 On peut néanmoins observer que dans sa première lettre aux Corinthiens le même apôtre Paul proposa aux veuves une autre voie. Parlant “en manière de concession”, il donna ce conseil: “Or je dis à ceux qui ne sont pas mariés et aux veuves qu’il leur est bon de demeurer comme moi. Mais s’ils ne savent pas se dominer, qu’ils se marient, car il vaut mieux se marier que de brûler de désir. Elle [la veuve] est pourtant plus heureuse, à mon avis, si elle demeure comme elle est. Or je pense avoir moi aussi l’esprit de Dieu.” — 1 Corinthiens 7:6, 8, 9, 40.

11. a) Qu’arriverait-​il aux chrétiens qui se marieraient, et comment la référence associée à 1 Corinthiens 7:28 nous éclaire-​t-​elle sur cette question? b) Que voulait dire Paul par l’expression “je vous épargne”?

11 Paul s’explique sur ce point en disant: “Si quelqu’un qui est vierge se mariait, cette personne ne commettrait pas de péché. Mais ceux qui se marient auront des tribulations dans leur chair. Or moi je vous épargne.” (1 Corinthiens 7:28). À propos de ces ‘tribulations dans la chair’, la Traduction du monde nouveau à références renvoie à Genèse 3:16, où nous lisons: “À la femme il [Jéhovah] dit: ‘J’augmenterai beaucoup la douleur de ta grossesse; c’est dans les douleurs que tu mettras au monde des enfants, et ton désir sera vers ton mari et, lui, il te dominera.’” Il ne fait pas de doute que, outre de possibles difficultés conjugales, les ‘tribulations dans la chair’ qui attendaient ceux qui se marieraient pourraient avoir un rapport avec les enfants. Sans aller jusqu’à interdire ni de se marier ni d’avoir des enfants, Paul se faisait un devoir d’avertir ses compagnons dans la foi des difficultés et des causes de distraction qui pourraient se faire jour et peut-être entraver leur service pour Jéhovah.

“Le temps qui reste est écourté”

12. Quel conseil l’apôtre Paul a-​t-​il donné aux chrétiens mariés, et pour quelle raison?

12 Les chrétiens du Ier siècle ne devaient pas vivre comme des gens du monde. Les conditions dans lesquelles ils se trouvaient auraient même une influence sur leur vie conjugale. Paul écrit: “Or voici ce que je dis, frères: le temps qui reste est écourté. Désormais, que ceux qui ont une femme soient comme s’ils n’en avaient pas, (...) et ceux qui usent du monde comme ceux qui n’en usent pas pleinement; car la scène de ce monde est en train de changer. Oui, je veux que vous soyez exempts d’inquiétude. (...) Or je dis cela pour votre avantage personnel, non pas pour jeter sur vous un lacet, mais pour vous porter à ce qui est bienséant et à ce qui se traduit par le service assidu du Seigneur, sans distraction.” — 1 Corinthiens 7:29-35.

13. En quel sens ‘le temps était-​il écourté’ pour les chrétiens du Ier siècle?

13 Le bibliste Frédéric Godet a écrit: “Alors que pour les incroyants le monde doit durer indéfiniment, les chrétiens ne perdent jamais de vue la belle attente de la Parousia [Présence].” Le Christ avait donné à ses disciples le signe de sa “présence” et formulé cet avertissement: “Restez donc aux aguets, car vous ne savez pas quel jour votre Seigneur vient.” (Matthieu 24:3, 42). Le temps qui restait était “écourté” en ce sens que les chrétiens du Ier siècle devaient vivre dans l’attente constante de la venue du Christ. En outre, aucun d’eux ne savait combien de temps il lui restait avant que “temps et événements imprévus” ne viennent mettre un terme à son existence, le privant désormais de toute possibilité de ‘s’assurer son appel’. — Ecclésiaste 9:11; 2 Pierre 1:10.

14. a) Comment doit-​on comprendre le passage de Matthieu 24:19? b) Pourquoi devenait-​il de plus en plus important de suivre le conseil de Jésus à mesure qu’approchait l’an 66?

14 Il était particulièrement important que les chrétiens de Judée et de Jérusalem ‘restent aux aguets’. Quand Jésus avertit ses disciples de la seconde destruction de Jérusalem, il déclara: “Malheur aux femmes enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-​là!” (Matthieu 24:19). Jésus ne disait pas aux chrétiens du Ier siècle qu’ils ne devaient pas avoir d’enfants. Il leur faisait simplement remarquer de façon prophétique que lorsque le signe indiquant la destruction imminente de Jérusalem apparaîtrait, il serait plus difficile à une femme enceinte, ou aux chrétiens qui auraient des enfants en bas âge, de s’enfuir rapidement (Luc 19:41-44; 21:20-23). Néanmoins, alors que montait l’agitation chez les Juifs de Judée à mesure qu’approchait l’an 66, les chrétiens se sont sans doute rappelé l’avertissement de Jésus, ce qui les a fait réfléchir à l’opportunité de mettre au monde des enfants en ces temps troublés.

Les enfants aujourd’hui

15, 16. a) En quel sens ‘le temps est-​il écourté’ pour les chrétiens qui vivent à notre époque? b) Quelles questions les chrétiens devraient-​ils se poser?

15 Comment les chrétiens devraient-​ils considérer le mariage et la procréation en ce “temps de la fin”? (Daniel 12:4.) Ils ne devraient pas oublier que “la scène de ce monde est en train de changer” — cela n’a jamais été aussi vrai — ou, selon une autre traduction, qu’“elle passe, la figure de ce monde”. — 1 Corinthiens 7:31, Osty.

16 Plus que jamais, “le temps qui reste est écourté”. Oui, le peuple de Jéhovah n’a plus beaucoup de temps pour achever l’œuvre que son Créateur lui a confiée. “Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée par toute la terre habitée, en témoignage pour toutes les nations; et alors viendra la fin.” (Matthieu 24:14). Cette œuvre doit être accomplie avant que ne vienne la fin. Il convient donc que les chrétiens se demandent quelle conséquence le fait de se marier ou de mettre au monde des enfants pourra avoir sur leur participation à cette œuvre vitale.

Un précédent des temps anciens

17. a) Quelle œuvre Noé et ses trois fils devaient-​ils accomplir avant le déluge, et combien de temps cela leur a-​t-​il vraisemblablement pris? b) Pour quelles raisons possibles les fils de Noé sont-​ils restés sans enfants pendant la période d’avant le déluge?

17 Jésus compara l’époque qui verrait “la présence du Fils de l’homme” aux “jours de Noé”. (Matthieu 24:37.) Avant le déluge, Noé et ses trois fils devaient accomplir une œuvre bien précise, œuvre qui consistait à construire une arche gigantesque et à prêcher (Genèse 6:13-16; 2 Pierre 2:5). Les fils de Noé étaient, semble-​t-​il, déjà mariés lorsque Jéhovah donna des instructions pour la construction de l’arche (Genèse 6:18). On ignore la durée exacte de cette construction, mais il est vraisemblable qu’elle s’échelonna sur plusieurs dizaines d’années. Pendant toute cette période d’avant le déluge, on remarque que les belles-filles de Noé n’eurent pas d’enfants. L’apôtre Pierre précise en effet que ‘huit âmes furent transportées saines et sauves à travers l’eau’; autrement dit les quatre couples, mais pas d’enfants (1 Pierre 3:20). Il y a deux raisons possibles pour lesquelles les fils de Noé sont restés sans enfants. D’abord, la destruction par un déluge d’eau étant imminente, Dieu leur avait confié une tâche qui exigeait tous leurs soins. Ensuite, ils étaient sûrement peu désireux de mettre au monde des enfants à une époque où ‘la méchanceté de l’homme était abondante sur la terre et où toute inclination des pensées de son cœur n’était toujours que mauvaise’, une époque “pleine de violence”. — Genèse 6:5, 13.

18. Bien qu’il ne doive pas servir de règle aux couples d’aujourd’hui, comment l’exemple laissé par les fils de Noé et par leurs femmes peut-​il donner matière à réflexion?

18 Ce précédent ne signifie pas que la conduite adoptée par les fils et belles-filles de Noé avant le déluge doive servir de règle aux couples d’aujourd’hui. Toutefois, puisque Jésus a comparé les jours de Noé à notre époque, l’exemple de ces serviteurs de Jéhovah du passé peut nous donner matière à réflexion.

“Des temps décisifs”

19. a) En quoi notre époque est-​elle comparable à celle de Noé? b) Qu’a prophétisé Paul pour les “derniers jours”, et en quoi cette prophétie concerne-​t-​elle la procréation?

19 De même que Noé et sa famille, nous vivons nous aussi dans “un monde d’impies”. (2 Pierre 2:5.) Comme eux, nous assistons aux “derniers jours” d’un système de choses mauvais et sur le point d’être détruit. L’apôtre Paul a prophétisé que dans les “derniers jours” du monde de Satan des “temps décisifs et durs” surviendraient. Il a ajouté que les enfants seraient “désobéissants aux parents”, montrant ainsi qu’élever des enfants ferait partie des choses dures de ces temps décisifs. Il a dit encore que les hommes en général, ce qui n’exclut ni les enfants ni les adolescents, seraient “ingrats, sans fidélité, sans affection naturelle”. (2 Timothée 3:1-3.) Bien que Paul ait prophétisé les conditions qui régneraient parmi les gens du monde, il est clair que l’état d’esprit qu’il a décrit allait accroître la difficulté pour les chrétiens d’élever des enfants. Beaucoup en ont d’ailleurs fait l’expérience.

20. Quel est l’objet de l’article suivant?

20 Il importe donc que nous ayons une conception équilibrée de la maternité. Celle-ci peut procurer beaucoup de joie, et beaucoup de chagrin. Mettre des enfants au monde a ses bienfaits, et ses soucis; c’est l’objet de l’article suivant.

Révision

◻ Pourquoi les grandes familles étaient-​elles un bienfait en Israël?

◻ Qu’est-​ce qui indique qu’il y a eu des époques où il était douloureux pour les Juifs d’avoir des enfants?

◻ Comment l’Israël spirituel devait-​il s’accroître?

◻ En quel sens ‘le temps était-​il écourté’ pour les premiers chrétiens?

◻ Pour quelles raisons possibles les fils de Noé n’ont-​ils pas eu d’enfants avant le déluge, et qu’en est-​il aujourd’hui pour les chrétiens?

[Illustration, page 21]

Avec des enfants en bas âge, il serait plus difficile de fuir rapidement Jérusalem.

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