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Religion« Assurez-vous de toutes choses ; restez attachés à ce qui est excellent »
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sa mère que pour moi n’est pas digne de moi ; et celui qui a plus d’affection pour son fils ou sa fille que pour moi n’est pas digne de moi.”
Luc 18:29, 30 “En vérité je vous le dis : il n’y a personne qui ait quitté maison ou femme ou frères ou parents ou enfants à cause du royaume de Dieu qui ne reçoive en quelque façon bien davantage en cette période, et dans le système de choses à venir, la vie éternelle.”
Voir aussi Luc 14:25, 26, 33.
En donnant le bon exemple, on témoigne d’un amour véritable pour les membres de sa famille
I Cor. 7:12-16 “Si un frère a une femme incroyante, et qu’elle consente cependant à habiter avec lui, qu’il ne la quitte pas ; et une femme qui a un mari incroyant, et cependant il consent à habiter avec elle, qu’elle ne quitte pas son mari. Car le mari incroyant est sanctifié par rapport à sa femme, et la femme incroyante est sanctifiée par rapport au frère ; autrement vos enfants seraient réellement impurs, mais maintenant ils sont saints. Mais si l’incroyant se met en devoir de se séparer, qu’il se sépare ; un frère ou une sœur n’est pas dans la servitude en pareilles circonstances, mais Dieu vous a appelés à la paix. Car, femme, que sais-tu si tu sauveras ton mari ? Ou, mari, que sais-tu si tu sauveras ta femme ?”
I Pierre 3:1, 2 “Vous, femmes, soyez soumises à vos maris, afin que, s’il y en a qui n’obéissent pas à la parole, ils soient gagnés sans parole par la conduite de leurs femmes, ayant été témoins oculaires de votre conduite chaste avec profond respect.”
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Repas du soir du Seigneur« Assurez-vous de toutes choses ; restez attachés à ce qui est excellent »
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Le repas du soir du Seigneur
Institué par Jésus le soir de la Pâque du 14 nisan, avant sa mort sur le poteau
I Cor. 11:20, 23-26 “Le repas du soir du Seigneur. (...) Car j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai aussi transmis, que le Seigneur Jésus dans la nuit où il allait être livré prit un pain et, après avoir rendu grâces, il le rompit et dit : ‘Ceci signifie mon corps qui est pour vous. Ne cessez de faire ceci en mémoire de moi.’ Il fit de même en ce qui concerne la coupe aussi, après qu’il eut pris le repas du soir, disant : ‘Cette coupe signifie la nouvelle alliance en vertu de mon sang. Ne cessez de faire ceci, toutes les fois que vous la boirez, en mémoire de moi.’ Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous ne cessez de proclamer la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il arrive.”
Voir aussi Luc 22:8-20 et “Les fêtes”, page 219.
Jésus ordonna à ses disciples de continuer à l’observer en souvenir de lui
Luc 22:19 “Il prit un pain, rendit grâces, le rompit, et le leur donna, disant : ‘Ceci signifie mon corps qui doit être donné pour vous. Ne cessez de faire ceci en mémoire de moi.’”
Voir aussi “Jésus-Christ”, pages 275-281.
Il ne peut s’agir que d’une observance annuelle comme pour la Pâque, qui était célébrée en souvenir de la délivrance d’Israël par Jéhovah
Ex. 12:14, 18 “Vous conserverez le souvenir de ce jour, et vous le célébrerez par une fête en l’honneur de l’Éternel ; vous le célébrerez comme une loi perpétuelle pour vos descendants. Le premier mois, le quatorzième jour du mois, au soir, vous mangerez des pains sans levain.”
Lév. 23:4, 5 “Voici les fêtes de l’Éternel, les saintes convocations, que vous publierez à leurs temps fixés. Le premier mois, le quatorzième jour du mois, entre les deux soirs, ce sera la Pâque de l’Éternel.”
Le pain représente le corps de chair de Jésus
Mat. 26:26 “Pendant qu’ils continuaient à manger, Jésus prit un pain et, après avoir dit une bénédiction, il le rompit et, le donnant à ses disciples, il dit : ‘Prenez, mangez. Ceci signifie mon corps.’”
Ceux qui mangent symbolisent le fait qu’ils bénéficient de la valeur du corps humain de Jésus, offert en sacrifice
Luc 22:19 “Il prit un pain, rendit grâces, le rompit, et le leur donna, disant : ‘Ceci signifie mon corps qui doit être donné pour vous.’”
I Pierre 2:24 “Il a porté lui-même nos péchés dans son propre corps sur le poteau, afin que nous en ayons fini avec les péchés et vivions pour la justice.”
I Cor. 10:16 “Le pain que nous rompons, n’est-ce pas une participation au corps du Christ ?”
Il prit du pain ordinaire, le rompit pour le distribuer
Marc 14:22 “Pendant qu’ils continuaient à manger, il prit un pain, dit une bénédiction, le rompit et le leur donna.”
Pain sans levain
Marc 14:12 “Et le premier jour des pains non fermentés, où l’on sacrifiait ordinairement la victime pascale, ses disciples lui dirent : ‘Où veux-tu que nous te préparions de quoi manger la pâque ?’”
La coupe représente le sang répandu de Jésus
Marc 14:23, 24 “Prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna, et ils en burent tous. Et il leur dit : ‘Ceci signifie mon “sang de l’alliance,” qui doit être versé pour beaucoup.’”
Ceux qui en boivent symbolisent le fait qu’ils sont dans la nouvelle alliance, validée par le sang de Jésus, et que, grâce à ce sang, ils ont obtenu le pardon des péchés
Mat. 26:27, 28 “Il prit aussi une coupe et, ayant rendu grâces, il la leur donna en disant : ‘Buvez-en tous ; car ceci signifie mon “sang de l’alliance,” qui doit être versé pour beaucoup pour le pardon des péchés.’”
I Cor. 11:25 “Il fit de même en ce qui concerne la coupe aussi, après qu’il eut pris le repas du soir, disant : ‘Cette coupe signifie la nouvelle alliance en vertu de mon sang.’”
Col. 1:14 “Par le moyen de [Christ] nous avons notre libération par la rançon, le pardon de nos péchés.”
Voir aussi “La justification ou l’acte par lequel on est déclaré juste”, et “Le rachat”.
Coupe ordinaire
Luc 22:17 “Acceptant une coupe, il rendit grâces et dit : ‘Prenez ceci et passez-le entre vous, de l’un à l’autre.’”
Les participants au repas commémoratif prennent part à un repas sacrificiel de communion ; ils participent d’une manière symbolique aux bienfaits du sacrifice de Jésus
I Cor. 10:16, 17 “La coupe de bénédiction que nous bénissons, n’est-ce pas une participation au sang du Christ ? Le pain que nous rompons, n’est-ce pas une participation au corps du Christ ? Parce qu’il y a un seul pain, nous, quoique beaucoup, nous sommes un seul corps, car nous avons tous part à ce seul pain.”
Voir aussi “La messe”, pages 320-323.
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