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Méchanceté« Assurez-vous de toutes choses ; restez attachés à ce qui est excellent »
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intègre aplanit sa voie (...). La justice des hommes droits les délivre (...). Ainsi la justice conduit à la vie (...). Voici, le juste reçoit sur la terre une rétribution.”
Prov. 12:7, 28 “La maison des justes reste debout. La vie est dans le sentier de la justice, la mort n’est pas dans le chemin qu’elle trace.”
Luc 14:14 “Cela te sera rendu à la résurrection des justes.”
Il faut se conduire avec sagesse, car les jours sont mauvais
Éph. 5:15-17 “Veillez donc très attentivement à ce que vous marchiez non comme des insensés mais comme des sages, rachetant le temps opportun pour vous-mêmes, car les jours sont mauvais. C’est pourquoi cessez d’être déraisonnables, mais continuez de saisir ce qu’est la volonté de Jéhovah.”
I Pierre 4:3, 7, 19 “Il suffit que, dans le temps qui est passé, vous ayez accompli la volonté des nations (...). Soyez donc d’esprit pondéré et vigilants en vue de prières. Ainsi donc que ceux qui souffrent en harmonie avec la volonté de Dieu ne cessent de confier leurs âmes à un Créateur fidèle, pendant qu’ils font le bien.”
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Messe« Assurez-vous de toutes choses ; restez attachés à ce qui est excellent »
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La messe
Exposé de la croyance catholique
“L’Église entend bien que la Messe soit considérée comme un ‘sacrifice véritable et légitime’ (...). Pour ce qui est de la mention particulière du caractère propitiatoire, le récit d’institution déclare expressément que le Sang de Christ est versé dans le calice ‘pour la rémission des péchés’. La source première de notre doctrine est cependant la tradition qui déclare, depuis les temps les plus reculés, la valeur supplicatoire du Sacrifice de la Messe.” — The Catholic Encyclopedia (New York ; 1911), Robert Appleton Co., tome X, p. 6, 17.
“La Messe est le sacrifice de la Loi Nouvelle, dans lequel le Christ, par le ministère du prêtre, s’offre lui-même à Dieu d’une manière non sanglante, sous les apparences du pain et du vin. (...) La Messe est le même sacrifice que le sacrifice de la croix, du fait qu’à la Messe la victime est la même, et le prêtre principal est le même, à savoir Jésus-Christ. (...) La partie de la Messe la plus importante est la consécration, lorsque le corps et le sang du Christ sont réellement présents sur l’autel et que le prêtre les offre à Dieu en souvenir de Notre Seigneur sur la croix. (...) Notre Seigneur ne désirait pas que le sacrifice du Calvaire soit limité à un seul endroit, ou n’ait lieu qu’une seule fois. Il voulait que tous les hommes aient la possibilité d’assister au sacrifice de son corps et de son sang. C’est pour cela que, la nuit qui précéda sa mort, Il institua le Sacrifice de la Messe. Ce devait être un renouvellement du Calvaire, dans ce sens que le même corps et le même sang qui avaient été offerts sur la Croix devaient être offerts de nouveau.” — The New Baltimore Catechism no 3, par le Rév. Francis J. Connell, Professeur adjoint à la Faculté de Sainte Théologie, Université Catholique d’Amérique, Washington, D. C. (New York ; 1954), Benziger Brothers Inc., p. 238, 240, 243, 244.
Jésus s’offrit lui-même en sacrifice, une seule fois ; ce sacrifice n’a pas besoin d’être “renouvelé”
Héb. 9:24-28 (Li) “Ce n’est pas en effet dans un sanctuaire fait de main d’homme, simple copie du véritable, que le Christ est entré, mais dans le ciel même, afin de paraître désormais pour nous devant la face de Dieu. Et ce n’est pas non plus pour s’offrir lui-même en sacrifice à plusieurs reprises, comme fait le grand-prêtre, qui entre une fois l’an dans le sanctuaire avec un sang qui n’est pas le sien ; sinon, il aurait dû souffrir à plusieurs reprises depuis la fondation du monde, tandis qu’il n’a paru qu’une fois à la fin des temps pour abolir le péché par son sacrifice. Et de même que le destin des hommes est de mourir une seule fois (après quoi, c’est le jugement), ainsi le Christ s’est offert une seule fois pour enlever les péchés d’un grand nombre.”
Héb. 7:25, 27 (CT) “Il peut aussi sauver de façon définitive ceux qui par lui ont accès près de Dieu, puisqu’il est toujours vivant pour intercéder en leur faveur. Il n’a pas besoin, comme les autres grands prêtres, d’offrir chaque jour des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple ; car cela, il l’a fait une fois pour toutes en s’offrant lui-même.”
Héb. 10:11, 12, 14-18 (CT) “Et tandis que tous les prêtres sont là chaque jour pour remplir leur office et offrir à maintes reprises les mêmes sacrifices à jamais impuissants à enlever les péchés, lui, après avoir offert un sacrifice unique pour le péché, s’est assis pour toujours à la droite de Dieu. C’est, en effet, par une oblation unique qu’il a rendu parfaits pour toujours ceux qui sont sanctifiés. Voici d’ailleurs le témoignage que nous apporte aussi l’Esprit-Saint. Après avoir dit : Voici l’alliance que je contracterai avec eux, une fois passés ces jours-ci, dit le Seigneur : Je mettrai mes lois dans leur cœur, et je les graverai dans leur esprit ; il ajoute : et je ne me souviendrai plus de leurs péchés ni de leurs transgressions. Or, quand le pardon des péchés est acquis, il n’y a plus d’offrande pour le péché.”
Le ‘renouvellement’ constant de ce sacrifice fait croire qu’il n’a pas plus de valeur que les sacrifices d’animaux offerts sous la Loi
Héb. 10:1-4 (CT) “Ne possédant que l’ombre des biens à venir et non l’image même des choses, la Loi est incapable, avec ces sacrifices dont l’oblation se répète indéfiniment chaque année, de mener à la perfection ceux qui cherchent accès près de Dieu. Autrement, n’aurait-on pas cessé de les offrir, dès lors que ceux qui rendent ce culte, purifiés une bonne fois, n’auraient plus eu conscience d’avoir des péchés ? Tout au contraire, ces sacrifices rappellent chaque année le souvenir des péchés, car le sang des taureaux et des boucs est impuissant à effacer les péchés.”
Christ est au ciel, il ne descend pas chaque jour pour le sacrifice de la messe
Éph. 1:20, 21 (CT) “Qu’il a déployée en la personne du Christ, le ressuscitant d’entre les morts et le faisant asseoir à sa droite dans les cieux, bien au-dessus de toute Principauté, Puissance, Vertu, Seigneurie, et de tout ce qui porte un nom, non seulement dans le monde présent, mais encore dans le monde à venir.”
Héb. 9:24 (CT) “Ce n’est pas, en effet, dans un sanctuaire fait de main d’homme, copie du véritable, que le Christ est entré, mais dans le ciel même, pour y figurer désormais devant Dieu à notre profit.”
Jésus a dit : “Faites ceci en souvenir de moi”, et non en sacrifice
Luc 22:19 (CT) “Il prit ensuite du pain, le rompit après avoir rendu grâces et leur en donna, en disant : ‘Ceci est mon corps, donné pour vous. Faites ceci en souvenir de moi.’”
Voir aussi “Le repas du soir du Seigneur”, pages 412-415.
Un sacrifice non sanglant ne pouvait remettre les péchés
Héb. 9:11, 12, 22 (CT) “Christ (...) au prix de son propre sang, non avec le sang des boucs et des veaux, (...) est entré une fois pour toutes dans le sanctuaire, nous rachetant pour l’éternité. C’est d’ailleurs avec du sang que, d’après la Loi, se font presque toutes les purifications, et il n’y a pas de pardon sans effusion de sang.”
Lév. 17:11 (CT) “L’âme de la chair est dans le sang, et je vous l’ai donné en vue de l’autel afin de servir d’expiation pour vous-mêmes ; car c’est par l’âme que le sang fait expiation.”
Le pain et le vin ne devinrent pas miraculeusement le corps de chair et le sang de Jésus ; il avait encore tout son sang, et sa chair était intacte lorsqu’il fut cloué au bois, le lendemain
Mat. 26:26-28 (CT) “Pendant qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain, le rompit après avoir dit la bénédiction et en donna à ses disciples, en disant : ‘Prenez, mangez : ceci est [signifie, MN] mon corps.’ Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna, en disant : ‘Buvez-en tous, car ceci est [signifie, MN] mon sang, le sang de l’alliance, versé pour beaucoup en vue de la rémission des péchés.”’
Voir aussi Jean 19:34-36.
Boire le sang aurait constitué une violation de la loi de Dieu
Actes 15:20 (CT) “Qu’on leur mande seulement d’avoir à s’abstenir des viandes immolées aux idoles, de la fornication, de la chair des animaux étouffés et du sang.”
Lév. 17:10 (CT) “Tout homme de la maison d’Israël ou d’entre les étrangers admis comme hôte au milieu d’eux qui mangera le sang d’un animal quelconque, je me tournerai contre celui qui mange le sang, et je le retrancherai de son peuple.”
Jésus déclara que son sang “va être répandu” et non qu’il avait été répandu
Mat. 26:27, 28 (Jé) “Prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant : ‘Buvez-en tous ; car ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés.’”
Luc 22:20 (Jé) “Il fit de même pour la coupe après le repas, disant : ‘Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang, qui va être versé pour vous.’”
Jésus déclara que le contenu de la coupe était le “fruit de la vigne”
Mat. 26:29 (Gl) “Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce fruit de la vigne, jusqu’au jour où je le boirai nouveau avec vous dans le royaume de mon Père.”
Pareil langage imagé se voit fréquemment dans la Bible, sans que cela donne à entendre qu’il y a eu une transformation miraculeuse
Jean 10:7 (CT) “Alors Jésus leur dit encore : ‘En vérité, en vérité, je vous le dis : c’est moi qui suis la porte des brebis.’”
Jean 8:12 (CT) “Jésus leur parla de nouveau et leur dit : ‘Je suis la Lumière du monde. Celui qui me suivra ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.’”
Jean 15:1 (CT) “C’est moi qui suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron.”
I Cor. 10:4 (CT) “Tous burent le même breuvage spirituel, ils buvaient, en effet, au rocher spirituel qui les accompagnait, et ce rocher spirituel était le Christ.”
La Messe n’apporte aucun soulagement aux âmes qui sont censées souffrir au purgatoire ; elles sont mortes
Eccl. 9:5, 10 (Gl) “Les vivants savent qu’ils doivent mourir ; mais les morts ne connaissent plus rien (...). Tout ce que peut faire ta
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