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Messe« Assurez-vous de toutes choses ; restez attachés à ce qui est excellent »
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main, fais-le promptement, parce que ni œuvre, ni raison, ni sagesse, ni science ne seront aux enfers, où tu cours.”
Ézéch. 18:4 (Li) “L’âme qui pèche, c’est elle qui mourra.”
Voir aussi “La mort” et “Le purgatoire”.
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Ministre de Dieu« Assurez-vous de toutes choses ; restez attachés à ce qui est excellent »
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Le ministre de Dieu
Pas de titres élevant un chrétien au-dessus des autres
Mat. 23:8-11 “Ne vous faites pas appeler Rabbi, car un seul est votre enseignant, tandis que vous êtes tous frères. Et n’appelez personne votre père sur la terre, car un seul est votre Père, le céleste. Ne vous faites pas non plus appeler ‘conducteurs’, car un seul est votre Conducteur, le Christ. Mais le plus grand parmi vous doit être votre ministre.”
Voir aussi “Babylone la Grande”, page 47.
L’idée de base du “ministère” : servir
Luc 22:26, 27 “Que celui qui est le plus grand parmi vous devienne comme le plus jeune, et celui qui agit en chef comme celui qui sert. Quel est en effet le plus grand, celui qui est étendu à table ou celui qui sert ? N’est-ce pas celui qui est étendu à table ? Mais je suis au milieu de vous comme celui qui sert.”
Luc 4:38, 39 “Étant sorti de la synagogue, il entra dans la maison de Simon. Or la belle-mère de Simon était en proie à une forte fièvre, et on le sollicita pour elle. Et il se pencha sur elle et reprit la fièvre, et celle-ci la quitta. À l’instant même elle se leva, et elle les servait.”
Voir aussi “Les titres honorifiques”, pages 485-486.
Jésus-Christ montra l’exemple à tous les autres ministres de Dieu
Mat. 20:26-28 “Quiconque veut devenir grand parmi vous doit être votre ministre, et quiconque veut être premier parmi vous doit être votre esclave. De même que le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner son âme comme rançon en échange de beaucoup.”
Jean 13:12-15 “Quand donc il leur eut lavé les pieds et qu’il eut remis ses vêtements de dessus et se fut de nouveau couché à table, il leur dit : ‘Savez-vous ce que je vous ai fait ? Vous m’appelez “Enseignant” et “Seigneur” et vous dites bien, car c’est ce que je suis. Si donc moi, bien que Seigneur et Enseignant, je vous ai lavé les pieds, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres. Car je vous ai donné le modèle, afin que, tout comme je vous ai fait, vous fassiez aussi.’”
Les chrétiens baptisés qui annoncent la Parole divine sont les ministres de Dieu
II Tim. 4:2, 5 “Prêche la parole, fais-le de façon urgente en époque favorable et en époque difficile, reprends, réprimande, exhorte avec toute longanimité et art d’enseigner. (...) garde ta raison en toutes choses, souffre le mal, fais l’œuvre d’un évangélisateur, accomplis entièrement ton ministère.”
I Thess. 3:2 “Nous avons envoyé Timothée, notre frère et ministre de Dieu dans la bonne nouvelle sur le Christ, afin de vous affermir et de vous réconforter au profit de votre foi.”
I Cor. 3:5 “Qu’est-ce donc qu’Apollos ? Oui, qu’est-ce que Paul ? Des ministres par lesquels vous êtes devenus croyants, oui, comme le Seigneur a donné à chacun.”
Actes 20:24 “Cependant je ne fais pas cas de mon âme, comme si elle m’était chère, si seulement je finis ma course et le ministère que j’ai reçu du Seigneur Jésus, de rendre un témoignage complet à la bonne nouvelle de la bonté imméritée de Dieu.”
Actes 6:4 “Nous nous consacrerons à la prière et au ministère de la parole.”
Voir aussi Mat. 28:19, 20 ; Actes 8:12 et “La prédication de la bonne nouvelle”, pages 373-379.
Tous les chrétiens doivent participer au ministère public
I Cor. 9:16, 17 “Si maintenant je déclare la bonne nouvelle, ce n’est pas pour moi une raison de me glorifier, car nécessité m’en est imposée. Vraiment, malheur à moi, si je ne déclarais pas la bonne nouvelle ! Si j’accomplis cela de bon gré, j’ai une récompense ; mais si je le fais contre ma volonté, n’empêche que j’ai une gestion qui m’est confiée.”
Héb. 13:15 “Par lui, offrons sans cesse à Dieu un sacrifice de louange, c’est-à-dire le fruit des lèvres qui font une déclaration publique au sujet de son nom.”
Rom. 10:9, 10, 13-15 “Si tu déclares publiquement cette ‘parole dans ta propre bouche,’ que Jésus est Seigneur, et si tu exerces la foi dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, tu seras sauvé. Car avec le cœur on exerce la foi pour la justice, mais avec la bouche on fait la déclaration publique pour le salut. Car ‘quiconque invoque le nom de Jéhovah sera sauvé.’ Cependant, comment invoqueront-ils celui en qui ils n’ont pas foi ? Comment, de leur côté, auront-ils foi en celui dont ils n’ont pas entendu parler ? Comment, de leur côté, entendront-ils sans quelqu’un qui prêche ? Comment, de leur côté, prêcheront-ils à moins qu’ils aient été envoyés ? Selon qu’il est écrit : ‘Qu’ils sont avenants les pieds de ceux qui déclarent la bonne nouvelle de bonnes choses !’”
Phil. 1:1 ; 2:15, 17 “Paul et Timothée, esclaves de Christ Jésus, à tous les saints en union avec Christ Jésus qui sont à Philippes, ainsi qu’aux surveillants et aux serviteurs ministériels.” “Vous brillez comme des illuminateurs dans le monde. Cependant, même si je suis répandu comme une libation sur le sacrifice et le service public auquel la foi vous a conduits, je suis heureux et je me réjouis avec vous tous.”
Luc 12:8 “Je vous le dis : Quiconque confesse son union avec moi devant les hommes, le Fils de l’homme confessera aussi son union avec lui devant les anges de Dieu.”
Mat. 5:14, 16 “Vous êtes la lumière du monde. (...) Que votre lumière brille devant les hommes afin qu’ils voient vos excellentes œuvres et rendent gloire à votre Père qui est dans les cieux.”
L’histoire atteste que les premiers chrétiens étaient des prédicateurs actifs
“Le chrétien ne se contentait nullement de ses perspectives de salut individuel. Il n’acceptait pas la volonté de Dieu d’une manière passive. Il fut dès le début un missionnaire ardent, désireux de convertir et sauver autrui.” — A History of Civilization (EngIewood Cliffs, N.J.; 1955), tome I, par Crane Brinton, John B. Christopher, Robert L. Wolff, page 142.
“Celse, le premier écrivain à s’en prendre au christianisme, s’en moque parce que des ouvriers, des cordonniers, des cultivateurs, bref, les moins instruits et les plus grossiers, sont les prédicateurs de l’Évangile.” — The History of the Christian Religion and Church, During the Three First Centuries (New York ; 1848), par le Dr Augustus Neander, traduit de l’allemand par Henry John Rose, page 41.
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