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  • Ecclésiaste
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • — Eccl. 12:8-14; voir le livre “Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile”, pp. 106-108.

  • Échanson
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    • ÉCHANSON

      Fonctionnaire de cour chargé de servir à boire (vin ou autres boissons) au roi (Gen. 40:1, 2, 11; Néh. 1:11; 2:1). Les devoirs du chef des échansons l’obligeait parfois à goûter le vin avant de le donner au roi; il fallait en effet envisager l’éventualité toujours possible d’un attentat à la vie du souverain par le poison.

      La fonction d’échanson requérait la plus parfaite fidélité envers le roi dont la vie était entre les mains de ce fonctionnaire. C’était l’une des plus hautes dignités. Il n’était pas rare que le chef des échansons assistât aux conférences et aux entretiens royaux. Comme il vivait généralement dans l’intimité avec le monarque dont il avait la confiance, il exerçait une influence considérable sur lui.

  • Échelle
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    • ÉCHELLE

      La seule référence biblique faite à une échelle se trouve en Genèse 28:12, où le terme hébreu sullam désigne une échelle vue en rêve par Jacob. Le patriarche vit une échelle (ou peut-être ce qui ressemblait à des volées d’escalier de pierres) placée sur la terre, son sommet atteignant les cieux, et des anges de Dieu qui montaient et descendaient sur elle. Au-dessus de cette échelle, il y avait une représentation de Jéhovah Dieu (Gen. 28:13). Cette échelle sur laquelle vont et viennent des anges indique qu’il y a une communication entre le ciel et la terre, et que les anges jouent un rôle important entre Dieu et ceux qui ont son approbation.

  • Éclair
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    • ÉCLAIR

      Lumière vive de l’étincelle électrique qui jaillit entre les nuages ou entre des nuages et la terre. Ce phénomène qui accompagne l’orage est fréquent en Palestine à la saison des pluies de printemps et d’automne, et il atteint un paroxysme en novembre et en décembre où il fait froid.

      Ayant créé les éléments indispensables à la formation de l’éclair, Jéhovah en est la source (Job 37:3, 11). Il en a le contrôle et il semble qu’il se soit servi de l’éclair et de moyens comparables pour arracher ses serviteurs à leurs ennemis et exécuter ses jugements (II Sam. 22:1, 15; Ps. 18:14; 77:16-20; Zach. 9:14; comparez avec Job 36:32; Psaumes 97:4; 144:6). Donc, c’est fort à propos que l’éclair est associé au trône de Dieu (Rév. 4:5; comparez avec Révélation 11:19), qu’il est l’expression de la colère divine (Rév. 8:5; 16:18) et qu’il rend compte, figurativement parlant, de sa mission (Job 38:35). Au mont Sinaï, des éclairs accompagnèrent les manifestations physiques impressionnantes de la présence de Dieu. — Ex. 19:16; 20:18.

      L’éclair est utilisé au sens figuré pour représenter l’éclat du métal poli (Deut. 32:41 [NW, éd. de 1953, note en bas de page; Osty, note en bas de page]; Ézéch. 21:10 [NW, éd. de 1960, note en bas de page]; Nahum 3:3; Hab. 3:11). En Nahum 2:4, l’expression “ils courent comme des éclairs” fait référence soit à l’éclat ou à la grande rapidité des chars ennemis qui roulent dans les rues de Ninive. Le visage rayonnant ou l’apparence des anges est comparée à l’éclair. — Dan. 10:5, 6; Mat. 28:2, 3; voir aussi Ézéchiel 1:14.

      Christ Jésus dit que sa présence ne serait par gardée secrète, tout comme il est impossible de cacher l’éclair qui “sort des régions de l’orient et brille jusque dans les régions de l’occident”. (Mat. 24:23-27; Luc 17:20-24.) Quelque temps auparavant, quand les soixante-dix disciples qu’il avait envoyés étaient revenus en rapportant que même les démons leur avaient été soumis sur la base de son nom, Jésus avait fait allusion à l’expulsion future de Satan hors des cieux comme à un fait certain disant: “Je voyais Satan déjà tombé du ciel comme un éclair.” — Luc 10:1, 17, 18.

  • École
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    • ÉCOLE

      (du grec skholê, fondamentalement “loisir”; ce à quoi l’on employait les loisirs, soit à discuter, à lire, à étudier, soit à s’instruire; par métonymie, école).

      Jéhovah confia aux parents la tâche d’apprendre à leur progéniture ce qu’est la vraie vie, tant physique que spirituelle. Ils avaient le devoir d’élever l’enfant selon la voie pour lui, et cet enseignement lui servirait de guide non seulement au temps de sa jeunesse, mais aussi dans sa vieillesse (Prov. 22:6). Les parents devaient commencer cette éducation dès la plus tendre enfance (II Tim. 3:14, 15). Ils s’acquitteraient de cette obligation en dispensant l’instruction au foyer. Il ne semble pas qu’il y ait des écoles publiques dans l’ancien Israël. L’école, c’était la maison. Les parents devaient enseigner tant par l’exemple que par le précepte, et cette instruction se donnait régulièrement en toute occasion. — Gen. 18:19; Deut. 6:6-9, 20-25; Prov. 6:20.

      Le roi Josaphat de Juda envoya des princes, des prêtres et des Lévites pour enseigner la loi divine dans toutes les villes de Juda; aussi Jéhovah bénit-​il son règne qui connut la paix et la prospérité. — II Chron. 17:7-12.

      Parmi les exilés à Babylone avec le roi Jéhoïakin en 617 avant notre ère, le roi Nébucadnezzar choisit quelques jeunes hommes, y compris ceux de la descendance royale et d’entre les nobles. Daniel et ses trois compagnons étaient du nombre. Ces Juifs furent instruits dans la langue des Chaldéens et reçurent une formation spéciale pour le service au palais du roi. Ils se révélèrent des élèves très capables. — Dan. 1:2-7, 18-20.

      Il semble qu’avant l’exil il y avait, en plus du temple, des lieux de réunion où l’on enseignait la loi de Dieu (Ps. 74:8). Après le retour de la captivité à Babylone, Esdras et Néhémie encouragèrent vigoureusement l’enseignement de la loi divine comme facteur vraiment vital de la restauration. Tout le peuple fut rassemblé pour entendre la lecture de la Loi et les explications données par les Lévites (Esdras 7:10; Néh. chap. 8). Les synagogues (du grec sunagôgê, assemblée) étaient des lieux où l’on dispensait essentiellement l’instruction religieuse; quant aux sacrifices, c’est uniquement au temple qu’ils étaient offerts. — Actes 15:21.

      Des écoles où l’on donnait un enseignement religieux supérieur se multiplièrent. Par exemple, Saul (Paul) avait fait ses études aux pieds de Gamaliel. Les Juifs contestaient les aptitudes à enseigner la loi divine de quiconque n’avait pas fréquenté leurs écoles. — Actes 22:3; Jean 7:15.

      Paul et Barnabas se servirent du lieu de réunion de la congrégation comme d’une école pour l’instruction religieuse (Actes 11:25, 26; 14:27). Des groupes de chrétiens se réunissaient dans des maisons privées ou autres lieux pour être enseignés, c’était le cas à Rome (Rom. 16:3-5). À Colosses, le foyer de Philémon servait de lieu de réunion, et il en était de même de celui de Nympha (Rom. 16:3-16; Philém. 1, 2; Col. 4:15). À Troas, Paul se réunit avec les disciples dans une chambre haute (Actes 20:6-8). En I Corinthiens chapitre 14, des instructions relatives au bon ordre dans les réunions sont données, et il est clair que l’accent était mis sur l’enseignement et l’édification.

      Les lieux de réunion de la congrégation servaient d’écoles où l’on étudiait les rouleaux des Écritures hébraïques ainsi que les écrits des apôtres et de leurs collaborateurs. Peu de chrétiens pouvaient se procurer la totalité des rouleaux hébreux ou des copies de toutes les lettres chrétiennes. Grâce aux réunions, il était possible de les étudier soigneusement et d’en discuter (Col. 4:16). Les chrétiens pauvres, qui ne possédaient aucun autre matériau, écrivaient des textes bibliques pour leur étude personnelle sur des tessons de poteries ou ostraca. Tout en écoutant la lecture des Écritures, et comme ils avaient accès aux rouleaux lors des réunions, ils pouvaient noter des versets à l’encre sur des fragments de poteries. On a trouvé un grand nombre de ces ostraca couverts de versets bibliques, particulièrement tirés des Évangiles. En même temps, l’instruction continuait d’être dispensée au foyer pour la famille entière, car c’était un aspect vital de l’éducation chrétienne (Éph. 6:4; I Cor. 14:35). Aucune disposition particulière (du genre “École du dimanche”) ne fut admise ou prise par les Juifs et les apôtres en faveur des enfants. Ceux-ci devaient se réunir avec leurs parents et non se tenir à part. Le commandement divin ordonnait que les enfants s’assoient, écoutent et s’instruisent à la même école que les adultes. L’instruction religieuse devait être une affaire de famille. — Deut. 31:10-13.

  • Écoulement
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    • ÉCOULEMENT

      Voir PUR, PURETÉ.

  • Écouter, entendre
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    • ÉCOUTER, ENTENDRE

      Voir OREILLE.

  • Écritoire de secrétaire
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    • ÉCRITOIRE DE SECRÉTAIRE

      En Ézéchiel 9:2, 3, 11, l’homme vêtu de lin chargé de marquer des hommes au front est représenté avec “une écritoire de secrétaire à ses hanches”, laquelle était probablement attachée à la ceinture qui lui entourait la taille. Cette écritoire de secrétaire était peut-être similaire à celle que l’on utilisait à une certaine époque dans l’Égypte antique. L’écritoire du scribe égyptien était une boîte oblongue en bois avec un compartiment ou des rainures pour les roseaux servant à écrire. Sur la face extérieure, près du dessus de la boîte, il y avait une sorte de case qui pouvait contenir un petit pain d’encre séchée. Lorsque le scribe se préparait à écrire, il appliquait la pointe mouillée de sa plume sur l’encre. Des inscriptions ont révélé que les scribes syriens avaient un nécessaire à écrire similaire.

  • Écriture
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    • ÉCRITURE

      Adam, le premier homme, fut doté de la capacité de s’exprimer dans une certaine langue. Au commencement, il n’avait toutefois guère besoin, voire pas besoin du tout, de savoir écrire. Il était tout à fait capable de communiquer par la parole et, étant parfait, il n’avait nul besoin d’un texte écrit pour compenser une mémoire déficiente. Bien sûr, Adam n’aurait eu aucun mal à inventer un système quelconque pour produire un texte écrit. Mais la Bible ne nous dit pas si Adam écrivait avant ou après son péché.

      L’ÉCRITURE AVANT LE DÉLUGE

      Nous n’avons aucun moyen d’établir de façon formelle que certains des récits consignés dans le livre de la Genèse ont été couchés par écrit avant le déluge, et la Bible ne fait aucune référence à l’écriture avant ce cataclysme. Notons toutefois qu’on a commencé à construire des villes, à fabriquer des instruments de musique et à forger des outils en fer et en cuivre longtemps avant le déluge (Gen. 4:17, 21, 22). On peut donc raisonnablement en déduire que les hommes n’auraient pas eu beaucoup de mal à mettre au point un système d’écriture. Puisqu’il n’y avait à l’origine qu’une seule langue (qui fut connue plus tard sous le nom d’hébreu; voir HÉBREU, II; LANGUE No 2) et que les Israélites, qui, comme on le sait, ont continué à la parler, se sont servis d’un alphabet, on peut penser que l’écriture alphabétique existait peut-être avant le déluge. — Voir ALPHABET.

      Assurbanipal, roi assyrien, déclara avoir lu “des inscriptions sur la pierre qui datent d’avant le déluge”.

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