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  • Présentation de la bonne nouvelle — Avec un objectif: commencer des études bibliques
    Ministère du Royaume 1983 | septembre
    • Présentation de la bonne nouvelle — Avec un objectif: commencer des études bibliques

      1 Jésus ordonna à ses disciples d’être des prédicateurs (Mat. 10:7). Un prédicateur est quelqu’un qui parle en public, généralement sur des sujets d’ordre religieux. Jésus montra clairement que ses disciples devaient être plus que cela. Il leur fallait devenir des enseignants, des personnes capables d’expliquer le pourquoi des choses et de former ceux qui les écouteraient (Mat. 28:19, 20). Par la prédication on fait connaître le message du Royaume, mais pour faire des disciples il est nécessaire d’enseigner les personnes c’est-à-dire de conduire avec elles des études bibliques. Paul rappela cette nécessité à ses frères quand il leur déclara qu’‘ils auraient dû être, depuis le temps, des enseignants’. (Héb. 5:12.) À l’époque critique où nous vivons, nous recevons une formation pour devenir des enseignants. Avez-​vous progressé dans ce domaine? Les études bibliques constituent notre principale méthode pour enseigner la Bible. Participez-​vous à cette activité? Si ce n’est pas le cas, pourriez-​vous faire des efforts pour en commencer une, ce qui vous permettrait à vous aussi d’enseigner les autres?

      2 Notre succès dans cette activité va dépendre largement de notre attitude d’esprit. Certains proclamateurs disent que leur territoire ne donne rien et qu’il y a peu de chances de trouver des personnes qui veulent bien étudier la Bible. Sans s’en rendre compte, ils pensent peut-être que celles de leur territoire ne méritent pas qu’on les aide. Pourtant, des gens ont accepté la vérité alors qu’ils y étaient auparavant violemment opposés. — Gal. 1:13, 23.

      3 Nous devrions tous trouver de la joie dans ce que nous faisons, notamment dans cette activité qui consiste à faire des disciples. Qu’est-​ce qui nous réjouit le plus? Pas simplement un rapport impressionnant. Le contentement véritable vient de ce qu’on peut faire pour son prochain. Ainsi, Paul parla de ceux à qui il avait pu apporter son aide comme de ‘sa joie’. (I Thess. 2:19, 20.) Nous trouverons cette joie en cherchant avec diligence les personnes qui veulent connaître Jéhovah. Lorsque nous les aurons trouvées, nous veillerons à utiliser au mieux nos capacités pour leur présenter le message de la façon la plus compréhensible et la plus attrayante possible. Si elles réagissent favorablement, nous essaierons alors de leur faire comprendre certaines vérités bibliques qui pourraient toucher leur cœur. Nous pourrons montrer notre désir sincère de les aider en notant l’intérêt qu’elles ont manifesté et en prenant des dispositions précises pour revenir les voir. Si nous avons un point de vue positif, nous pouvons être certains que nous retirerons une grande joie de notre ministère. — Actes 15:3.

      4 Notre façon d’aborder les personnes va bien souvent déterminer ce que nous pourrons faire. Si nous voulons réellement les aider, nous en trouverons généralement le moyen. Un amour sincère ne se décourage pas facilement (I Cor. 13:7). Si nous avons un état d’esprit positif, nous montrerons que nous sommes sincères, convaincus de ce que nous disons, et que nous voulons leur apporter quelque chose de bon. Si nous leur proposons d’étudier en notre compagnie et que nous leur montrions que notre proposition est sérieuse, il se peut qu’elles réagissent favorablement.

      5 Jésus lui-​même avait cet état d’esprit positif. Il était mû par un amour sincère pour son prochain (Mat. 9:36). Il voulait aussi certainement bien faire son travail (Jean 4:34). Il était convaincu que la vérité pouvait apporter des changements dans la vie des gens (Jean 8:32). Il acceptait de sacrifier son propre confort pour venir en aide à ses contemporains (Marc 6:31-34). Tout le service qu’il accomplit pour son Père montrait, comme il l’avait annoncé, le bonheur qu’il y a à donner (Actes 20:35). Il est donc certainement très approprié que nous demandions à Jéhovah de nous aider à imiter l’exemple de son Fils. — I Jean 5:14.

      6 Jéhovah prend toujours de merveilleuses dispositions pour notre ministère. Un exemple nous en est fourni par le livre Vous pouvez vivre éternellement sur une terre qui deviendra un paradis, spécialement conçu pour aider aussi bien la personne qui étudie que le proclamateur qui conduit l’étude. Son aspect attrayant fait qu’il est facile à placer. Les matières qu’il renferme répondent à de nombreuses questions que se posent des gens du monde entier. Son message est simple et précis; il touche le cœur. Les illustrations en couleurs font revivre les événements bibliques et laissent une impression durable dans l’esprit des personnes. Comment Jéhovah aurait-​il pu mieux répondre à la requête que nous lui avons adressée de nous aider à devenir des enseignants plus qualifiés? Bien sûr, c’est lui qui nous procure l’accroissement et c’est lui que nous devons louer pour tout ce qu’il accomplit. Nous pouvons cependant recevoir la récompense qu’il réserve à ses collaborateurs en ayant un point de vue positif sur notre activité, en tirant profit de toutes les dispositions qu’il a prises ainsi que de nos propres capacités. — I Cor. 3:5-9.

  • Étude de livre
    Ministère du Royaume 1983 | septembre
    • Étude de livre

      Programme d’étude du livre “Vous pouvez vivre éternellement sur une terre qui deviendra un paradis”

      3 octobre: pages 25, §  1, à 33, § 22

      10 octobre: pages 34, §  1, à 46, § 31

      17 octobre: pages 47, §  1, à 56, § 28

      24 octobre: pages 57, §  1, à 68, § 28

      31 octobre: pages 69, §  1, à 75, § 18

  • Réponses à vos questions
    Ministère du Royaume 1983 | septembre
    • Réponses à vos questions

      ● Que doit-​on inscrire sur son rapport lorsqu’on conduit une étude biblique à des enfants mineurs?

      Éduquer des enfants dans les voies de Jéhovah est une lourde responsabilité qui demande aux parents chrétiens beaucoup de temps et d’efforts (Deut. 6:6, 7; Éph. 6:4). Que l’intégralité du temps consacré à cette activité soit comptabilisée ou non dans un rapport de service n’enlève rien au sérieux de cette tâche.

      Le rapport de service de la congrégation représente principalement l’activité accomplie dans le ministère du champ, dans la prédication publique de la bonne nouvelle et dans l’œuvre d’enseignement des personnes qui ne sont pas des Témoins de Jéhovah voués et baptisés (Mat. 24:14; 28:19, 20). Cependant, si un chrétien conduit régulièrement une étude biblique avec sa famille et que des enfants mineurs non baptisés y participent, ce père ou cette mère ne devrait pas compter plus d’une heure ni plus d’une visite la semaine où cette étude a lieu; il ne devrait également inscrire sur son rapport qu’une seule étude biblique pour ce mois-​là. Il en sera ainsi, même si l’étude est conduite plusieurs fois par semaine ou si elle dure plus d’une heure. Les études ou le temps supplémentaire consacré à des enfants individuellement ne doivent pas être inclus dans le rapport de service. On devrait plutôt les considérer comme l’expression du désir sincère des parents d’élever leurs enfants dans la voie de la piété. — Prov. 22:6.

      Que peut-​on faire si, pour une raison ou pour une autre, les parents ont besoin d’aide pour faire pénétrer la vérité dans le cœur de leurs enfants? Ils peuvent alors faire appel à d’autres proclamateurs. Dans un tel cas, il serait bien de parler de cette question avec le surveillant-président ou avec le surveillant au service. Dans certaines circonstances, par exemple si les parents sont nouveaux dans la vérité, on peut donc demander à d’autres proclamateurs de conduire l’étude à un ou à plusieurs enfants. Si ceux-ci ne sont pas baptisés, le proclamateur qui conduit l’étude peut alors compter tout son temps, une étude et toutes les nouvelles visites. — Voir l’article “Faisons le bien envers les jeunes gens” paru dans Le service du Royaume d’octobre 1980.

  • Le Mémorial — un chiffre d’assistance jamais atteint!
    Ministère du Royaume 1983 | septembre
    • Le Mémorial — un chiffre d’assistance jamais atteint!

      Le mardi 29 mars après le coucher du soleil 154 103 personnes se sont réunies en France pour commémorer la mort de Jésus Christ, soit 6 630 de plus qu’en 1982.

      Il y a eu 186 participants au pain et au vin.

      Ce rapport montre qu’un grand travail reste encore à accomplir dans l’œuvre de la moisson.

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