Références pour le Cahier Vie et ministère
© 2024 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
17-23 MARS
JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU PROVERBES 5
Fuyons toute conduite sexuelle immorale
w00 15/7 29 § 1
Rester pur dans un monde immoral : c’est possible !
La femme dévoyée est qualifiée d’« étrangère », de prostituée. Elle a, pour enjôler sa proie, des paroles aussi sucrées qu’un rayon de miel et plus douces que l’huile d’olive. N’est-ce pas souvent ainsi que l’on fait des avances ? Anne-Marie, charmante secrétaire de 27 ans, raconte : « Ce collègue fait très attention à moi et me complimente dès qu’il en a l’occasion. C’est valorisant d’être remarquée. Mais j’y vois clair : son intérêt pour moi est strictement sexuel. Je ne me laisserai pas embobiner par ses avances. » Les flatteries d’un don Juan ou d’une charmeuse ont en général un certain attrait, sauf si on les perce à jour. C’est pour cela que nous devons exercer notre capacité de réflexion.
w00 15/7 29 § 5
Rester pur dans un monde immoral : c’est possible !
Tenons-nous aussi loin que possible de l’influence des immoraux. À quoi bon nous frotter à leurs façons de vivre en écoutant de la musique avilissante, en regardant des spectacles corrupteurs, voire pornographiques ? (Proverbes 6:27 ; 1 Corinthiens 15:33 ; Éphésiens 5:3-5). Et puis quelle erreur d’attirer leur attention soit en flirtant, soit en arborant des tenues ou des coiffures provocantes ! (1 Timothée 4:8 ; 1 Pierre 3:3, 4).
24-30 MARS
JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU PROVERBES 6
Que pouvons-nous apprendre de la fourmi ?
it-1 927-928
Fourmi
‘Une sagesse d’instinct.’ La fourmi ne doit pas sa ‘sagesse’ à un raisonnement intelligent, mais à l’instinct dont le Créateur l’a dotée. La Bible dit de la fourmi qu’elle « prépare sa nourriture durant l’été ; elle a amassé ses vivres pendant la moisson » (Pr 6:8). Une des variétés de fourmi les plus communes de Palestine est la fourmi moissonneuse ou agricole (Messor semirufus) ; elle fait de grandes provisions de grain au printemps et en été pour y puiser lorsqu’il devient difficile de trouver de la nourriture, notamment en hiver. Cette fourmi réside souvent près des aires de battage, où les semences et le grain abondent. Si la pluie humidifie les réserves de semences, ensuite la fourmi moissonneuse sort les grains au soleil pour les faire sécher. On sait même qu’elle enlève le germe pour que la semence ne se développe pas lorsqu’elle est stockée. Les colonies de fourmis moissonneuses sont reconnaissables à des pistes bien battues et aux bales de semences qu’elles laissent à l’entrée.
Des traits dignes d’être imités. Ainsi, une brève étude de la fourmi donne de la force à l’exhortation suivante : « Va vers la fourmi, paresseux ; considère ses voies et deviens sage » (Pr 6:6). Ces insectes sont remarquables, non seulement en raison de leur prévoyance instinctive, mais aussi de leur persévérance et de leur détermination : souvent les fourmis portent ou traînent avec ténacité des objets qui pèsent deux fois leur poids, si ce n’est davantage ; elles font tout leur possible pour s’acquitter de la tâche qui leur incombe et n’abandonnent pas, même lorsqu’elles tombent, glissent ou roulent dans quelque précipice abrupt. Éminemment coopératives, elles tiennent leur nid très propre et se soucient de leurs compagnes de travail, aidant parfois des congénères blessées ou épuisées à rentrer à la fourmilière.
w00 15/9 26 § 3-4
Gardez une bonne réputation
Ne devrions-nous pas être aussi travailleurs que les fourmis ? Il est bon pour nous, que nous soyons surveillés ou non, de travailler dur en cherchant à nous améliorer. En effet, que ce soit à l’école, sur notre lieu de travail ou dans nos activités spirituelles, nous devrions faire de notre mieux. De même que la fourmi tire profit de son labeur assidu, de même, selon ce que Dieu veut, nous devrions ‘voir le bien pour tout notre dur travail’ (Ecclésiaste 3:13, 22 ; 5:18). La récompense d’un dur travail est la satisfaction et une conscience nette (Ecclésiaste 5:12).
Ensuite, par deux questions oratoires, Salomon s’emploie à secouer l’indolence du fainéant : « Jusqu’à quand, paresseux, resteras-tu couché ? Quand te lèveras-tu de ton sommeil ? » Puis, le caricaturant, il ajoute : « Encore un peu de sommeil, encore un peu d’assoupissement, encore un peu croiser les mains en se couchant, et ta pauvreté viendra à coup sûr comme un rôdeur, et ton indigence comme un homme armé » (Proverbes 6:9-11). Tandis que le paresseux se tourne les pouces, la pauvreté fond sur lui avec la rapidité d’un bandit, la précarité l’attaque comme un homme armé. Les champs du nonchalant sont vite envahis de mauvaises herbes et d’orties (Proverbes 24:30, 31). Son entreprise subit des pertes en moins de rien. Combien de temps un employeur peut-il tolérer l’oisif ? L’élève trop paresseux pour étudier peut-il espérer réussir sa scolarité ?
31 MARS – 6 AVRIL
JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU PROVERBES 7
Fuyons les situations à risque
w00 15/11 30 § 4-6
« Garde mes commandements, et reste en vie »
La femme a les lèvres doucereuses. Prenant un air effronté, elle débite son petit discours avec assurance, chaque phrase étant soigneusement calculée pour séduire. En affirmant qu’elle a fait des sacrifices de communion le jour même et qu’elle s’est acquittée de ses vœux, elle s’auréole de justice, insinuant qu’elle ne manque pas de spiritualité. Comme les sacrifices de communion au temple de Jérusalem consistaient en viande, en farine, en huile et en vin (Lévitique 19:5, 6 ; 22:21 ; Nombres 15:8-10), et que l’offrant pouvait en avoir une partie pour lui et sa famille, le sous-entendu est clair : le jeune homme trouvera chez elle à boire et à manger en quantité, il peut s’attendre à faire bonne chère ! Puis la femme ajoute qu’elle est sortie de chez elle exprès pour le chercher. Comme c’est touchant ! pour qui gobe son histoire, évidemment... « Il est vrai qu’elle était sortie pour chercher quelqu’un, dit un bibliste, mais était-elle vraiment à la recherche de cet homme en particulier ? Seul un nigaud — comme lui — pourrait la croire. »
Ayant joué de ses charmes par la vue (sa toilette), l’ouïe (ses paroles flatteuses), le toucher (ses enlacements) et le goût (ses lèvres), la séductrice sollicite maintenant l’odorat. « J’ai garni mon divan, dit-elle, de couvertures, de choses bigarrées, de lin d’Égypte. J’ai aspergé mon lit de myrrhe, d’aloès et de cinnamome » (Proverbes 7:16, 17). Ainsi, elle a préparé son lit fort joliment avec du lin coloré d’Égypte et l’a parfumé de fragrances de choix, myrrhe, aloès et cinnamome.
« Viens, abreuvons-nous d’amour jusqu’au matin, poursuit-elle ; délectons-nous de marques d’amour. » Bien plus qu’une invitation à un agréable dîner en tête-à-tête, c’est une promesse de relations sexuelles. Excitante et troublante proposition ! Enfin, pour finir de convaincre le jeune homme, l’estocade : « Car le mari n’est pas dans sa maison, il s’en est allé par un chemin très long. Il a pris dans sa main un sac d’argent. Au jour de la pleine lune, il viendra dans sa maison » (Proverbes 7:18-20). Ils seront parfaitement tranquilles, lui assure-t-elle, puisque son mari est au loin, en voyage d’affaires, et qu’il n’est pas près de rentrer. Comme elle s’y entend pour entortiller un ingénu pareil ! « Elle l’a égaré par l’abondance de sa force de persuasion. Elle le séduit par ses lèvres doucereuses » (Proverbes 7:21). Il faut être de l’envergure de Joseph pour résister à une invite aussi ensorcelante (Genèse 39:9, 12). Que vaut notre jeune homme ?
7-13 AVRIL
JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU PROVERBES 8
Écoutons la sagesse personnifiée
cf 130 § 7
« J’aime le Père »
7 Au verset 22, la sagesse déclare : « Jéhovah m’a produite comme le commencement de son action, la plus ancienne de ses œuvres d’autrefois. » Il ne peut pas être question ici simplement de la sagesse, car cette qualité n’a pas été « produite ». Comment, en effet, pourrait-elle avoir eu un commencement, puisque Jéhovah a toujours existé et qu’il a toujours été sage ? (Psaume 90:2). Le Fils de Dieu, en revanche, est le « premier-né de toute création ». Il a été produit, créé ; il est la plus ancienne de toutes les œuvres de Jéhovah (Colossiens 1:15). Conformément à ce que dit ce passage des Proverbes, il est venu à l’existence avant la terre et les cieux. Il était alors la Parole, le Porte-parole de Dieu, et donc l’expression parfaite de la sagesse divine (Jean 1:1).
w09 15/4 31 § 14-15
Reconnaissons Jésus comme le Grand David et le Grand Salomon
14 Un seul homme pouvait surpasser Salomon en sagesse. Il s’agissait de Jésus Christ. En effet, quand il a dit : « Voyez, ici il y a quelque chose de plus que Salomon », c’est de lui qu’il parlait (Mat. 12:42). Jésus avait des « paroles de vie éternelle » (Jean 6:68). Dans son Sermon sur la montagne, il a repris des principes qui figurent dans des proverbes de Salomon. Ce roi avait expliqué comment les adorateurs de Jéhovah peuvent trouver le bonheur (Prov. 3:13 ; 8:32, 33 ; 14:21 ; 16:20). Jésus, lui, a fait ressortir que le bonheur véritable est lié au culte de Jéhovah et à la réalisation des promesses divines. Il a déclaré : « Heureux ceux qui sont conscients de leur pauvreté spirituelle, puisque le royaume des cieux leur appartient » (Mat. 5:3). Celui qui met en pratique les principes que Jésus a énoncés dans ses enseignements se sent attiré vers Jéhovah, la « source de la vie » (Ps. 36:9 ; Prov. 22:11 ; Mat. 5:8). Christ incarne la « sagesse de Dieu » (1 Cor. 1:24, 30). Jésus Christ, le Roi messianique, possède l’« esprit de sagesse » (Is. 11:2).
15 Nous qui sommes les sujets du Grand Salomon, comment pouvons-nous acquérir la sagesse divine et en tirer profit ? C’est dans la Bible, et en particulier dans les enseignements de Jésus, que nous découvrons la sagesse de Jéhovah. Il nous faut donc faire l’effort de l’étudier soigneusement, c’est-à-dire de méditer sur ce que nous lisons (Prov. 2:1-5). Demandons sans relâche à Dieu de nous accorder la sagesse. Comme il nous le promet, si nous le prions sincèrement pour obtenir son aide, il ne nous la refusera pas (Jacq. 1:5). Grâce à l’esprit saint, nous trouverons dans la Parole de Dieu des « trésors » de sagesse qui nous permettront de relever les défis de l’existence et de prendre de sages décisions (Luc 11:13). Salomon était également appelé « le rassembleur ». La Bible précise qu’il a « enseigné la connaissance au peuple, continuellement » (Eccl. 12:9, 10). Jésus, le Chef de la congrégation chrétienne, rassemble lui aussi son peuple (Jean 10:16 ; Col. 1:18 ; cf. Héb. 10:25, note). Il est donc important que nous assistions aux réunions de la congrégation, au cours desquelles nous sommes ‘enseignés continuellement’.
14-20 AVRIL
JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU PROVERBES 9
Soyons sages, et non moqueurs
w01 15/5 30 § 1-2
« Par la sagesse nos jours deviendront nombreux »
Quand on le reprend, le sage a la réaction inverse de celle d’un moqueur. Salomon déclare : « Reprends un sage, et il t’aimera. Donne à un sage, et il deviendra encore plus sage » (Proverbes 9:8b, 9a). Le sage est conscient que « toute discipline [...] ne semble pas, pour le présent, être une joie, mais une peine ; plus tard cependant elle rapporte à ceux qu’elle a formés un fruit de paix, c’est-à-dire la justice » (Hébreux 12:11). Même si le conseil semble dur, pourquoi riposter ou être sur la défensive, alors qu’en l’acceptant nous deviendrons plus sages ?
« Communique la connaissance à un juste, et il gagnera en savoir », poursuit le sage roi (Proverbes 9:9b). On n’est jamais trop sage ou trop âgé pour continuer d’apprendre. Comme il est réjouissant de voir que même ceux qui sont à l’automne de leur vie acceptent la vérité et se vouent à Jéhovah ! Efforçons-nous aussi de conserver le désir d’apprendre et de maintenir notre esprit alerte.
w01 15/5 30 § 5
« Par la sagesse nos jours deviendront nombreux »
Nous avons personnellement la responsabilité de déployer des efforts pour acquérir la sagesse. Salomon souligne cette idée lorsqu’il déclare : « Si tu es devenu sage, tu es devenu sage pour toi-même ; et si tu t’es moqué, tu en porteras les conséquences, toi seul » (Proverbes 9:12). Le sage est sage à son profit et le moqueur est lui seul responsable de ses souffrances. Nous récoltons ce que nous semons. Puissions-nous donc « prêter à la sagesse une oreille attentive » ! (Proverbes 2:2).
21-27 AVRIL
JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU PROVERBES 10
Qu’est-ce qui rend la vie vraiment riche ?
w01 15/7 25 § 1-3
« Les bénédictions sont pour le juste »
Le juste est béni autrement encore. « Celui qui travaille d’une main nonchalante se trouvera sans ressources, mais la main de l’homme diligent enrichira. Le fils qui se montre perspicace amasse pendant l’été ; le fils qui agit honteusement dort profondément pendant la moisson » (Proverbes 10:4, 5).
Cette réflexion du roi vise en particulier des ouvriers en période de moisson. Pendant la moisson, en effet, l’heure n’est pas à sommeiller, mais plutôt à faire diligence, à s’activer de longues heures, bref, à ne pas perdre de temps.
Parlant, non de céréales, mais d’humains, Jésus a dit à ses disciples : « La moisson est grande, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le Maître de la moisson [Jéhovah Dieu] d’envoyer des ouvriers dans sa moisson » (Matthieu 9:35-38). En 2000, plus de 14 millions de personnes ont assisté au Mémorial de la mort de Jésus, soit plus de deux fois le nombre des Témoins de Jéhovah. Indéniablement, ‘les champs sont blancs pour la moisson’ ! (Jean 4:35.) Les vrais adorateurs demandent au Maître davantage d’ouvriers tout en fournissant eux-mêmes de vigoureux efforts pour faire des disciples, en accord avec leurs prières (Matthieu 28:19, 20). Jéhovah les bénit amplement ! Pendant l’année de service 2000, plus de 280 000 nouveaux disciples ont été baptisés, qui eux aussi s’emploient à devenir des enseignants de la Parole de Dieu. En cette période de moisson, puisons donc joie et satisfaction dans une participation pleine et entière à cette œuvre qui consiste à faire des disciples !
w01 15/9 24 § 3-4
Marchons sur le « sentier de la droiture »
Salomon parle de l’importance de la justice. Il écrit : « Les choses de valeur d’un riche sont sa ville forte. La ruine des petits, c’est leur pauvreté. L’activité du juste conduit à la vie ; le produit du méchant conduit au péché » (Proverbes 10:15, 16).
Les richesses peuvent servir de protection contre certains aléas de la vie, de même qu’une ville fortifiée protège ses habitants dans une certaine mesure. Et la pauvreté peut mener à la ruine lors d’événements inattendus (Ecclésiaste 7:12). Cependant, le sage roi faisait peut-être allusion à un danger concernant tant la richesse que la pauvreté. Un riche aura parfois tendance à mettre son entière confiance dans sa richesse, en s’imaginant que ses choses de valeur sont « comme une muraille de protection » (Proverbes 18:11). Et un pauvre pensera à tort que sa pauvreté lui ôte toute perspective d’avenir. Du coup, aucun des deux ne se fera un beau nom auprès de Dieu.
it-1 294
Bénédiction
Jéhovah bénit des humains. « La bénédiction de Jéhovah — voilà ce qui enrichit, et il n’ajoute aucune douleur avec elle » (Pr 10:22). Jéhovah bénit ceux qu’il agrée en les protégeant, en les faisant prospérer, en les guidant, en leur accordant la réussite, en pourvoyant à leurs besoins et en leur ménageant une issue heureuse.
28 AVRIL – 4 MAI
JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU PROVERBES 11
Des propos à bannir !
w02 15/5 27 § 2-3
L’intégrité guide les hommes droits
Les citadins qui mènent une vie droite favorisent la paix et le bien-être et bâtissent les autres membres de la communauté. De cette façon, la ville s’élève, elle prospère. Ceux qui profèrent des calomnies, des paroles blessantes ou mensongères sont une source d’agitation, de contrariétés, de désunion et de troubles. Cela est d’autant plus vrai si ces individus détiennent une position influente. La ville dans laquelle ils résident souffre de désordres, de corruption, et de dégradation morale, voire économique.
Le principe énoncé en Proverbes 11:11 s’applique tout autant aux serviteurs de Jéhovah qui se rassemblent en congrégations, comparables à des villes. Une congrégation dans laquelle des personnes spirituelles — des hommes droits guidés par leur intégrité — exercent leur influence est une communauté de personnes heureuses, actives et altruistes qui rendent honneur à Dieu. Jéhovah bénit alors la congrégation, qui prospère sur le plan spirituel. De temps à autre, quelques mécontents critiquent et commentent amèrement la façon dont les choses se font ; ils ressemblent à une « racine vénéneuse » qui se répand et empoisonne ceux qui n’étaient pas au départ contaminés (Hébreux 12:15). Ils aspirent souvent à obtenir davantage d’autorité et de prestige. Ils véhiculent des rumeurs selon lesquelles l’injustice, les préjugés raciaux, ou d’autres formes de discrimination existent dans la congrégation ou sont le fait d’anciens. Leur bouche, sans conteste, risque de causer la division dans la congrégation. Ne devrions-nous pas faire la sourde oreille à leurs propos et nous efforcer d’agir en personnes spirituelles qui contribuent à la paix et à l’unité de la congrégation ?