BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • w85 1/6 p. 32
  • Une journée doublement joyeuse

Aucune vidéo n'est disponible pour cette sélection.

Il y a eu un problème lors du chargement de la vidéo.

  • Une journée doublement joyeuse
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1985
  • Document similaire
  • Davantage de missionnaires pour la moisson de la terre
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1991
  • La remise des diplômes de la 83e classe de Galaad: une vraie fête
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1987
  • La 82e classe de Galaad nous fait partager sa joie
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1987
  • Missionnaires, “restez fidèles”!
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1983
Plus…
La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1985
w85 1/6 p. 32

Une journée doublement joyeuse

LE 3 MARS 1985 a été doublement joyeux, surtout pour les 42 élèves de la 78e classe de Galaad, l’École biblique de la Société Watchtower. Non seulement il s’agissait du jour où ils devaient recevoir leur diplôme, ce qui constituait déjà pour eux un sujet d’allégresse, mais encore c’était la première fois qu’une telle cérémonie se déroulait dans la nouvelle Salle d’assemblées de Brooklyn, qui avait été inaugurée la veille.

À dix heures, cette salle de 2 400 places était comble. Il y avait là les élèves de l’École de Galaad, leurs parents, leurs amis et, pour la première fois depuis de nombreuses années en pareille circonstance, toute la famille du Béthel de Brooklyn. Une grande excitation régnait dans l’assistance. De tous côtés fusaient des remarques élogieuses sur le travail de qualité que les frères avaient fourni pour aménager la salle. Visiblement, chacun voulait donner libre cours à la joie et à la gratitude qui débordaient de son cœur.

À dix heures précises, Theodore Jaracz, le président de la réunion, a invité les assistants à prendre place. “C’est merveilleux d’être ici, vous ne trouvez pas?” s’est-​il exclamé. Cette remarque toute simple a suffi à déclencher un véritable tonnerre d’applaudissements. Manifestement, il avait su toucher la corde sensible.

De toute évidence, le bonheur occupait une grande place dans l’esprit des orateurs qui se sont exprimés ce jour-​là. Par exemple, George Gangas, membre du Collège central, a traité du thème “Comment trouver le bonheur dans l’œuvre missionnaire”. Ainsi qu’il l’a expliqué, Jéhovah utiliserait les futurs missionnaires comme il s’était jadis servi des anges: ‘pour délivrer des hommes de la prison du Diable.’ Songez au bonheur qui en résultera! Ensuite, Daniel Sydlik a conseillé aux élèves d’“emmener une amie intime” avec eux quand ils s’en iraient rejoindre leur affectation. Il voulait parler de la Bible. En effet, comme il l’a souligné, les missionnaires pourraient compter sur elle chaque fois qu’ils en auraient besoin. De fait, elle est si puissante qu’il lui suffit parfois d’une phrase, voire d’un mot, pour aider quelqu’un. Aussi frère Sydlik a-​t-​il exhorté ses auditeurs à la lire et à l’écouter quotidiennement, et à encourager les autres à faire de même.

Poursuivant sur le thème du bonheur, Robert Wallen, qui fait partie du Comité du Béthel, a exhorté les élèves à continuer de dire à Jéhovah: “Me voici! Envoie-​moi!” De son côté, Joel Adams, membre du service chargé de la surveillance des congrégations, a adressé ces mots à la classe: “Pour connaître le bonheur dans toute sa plénitude, il nous faut être entièrement dévoué à la volonté de Dieu. Ces deux notions sont indissociables.”

Les élèves ont également reçu quelques conseils d’adieu de la part de leurs deux instructeurs. Tout d’abord, Ulysses Glass les a avertis que “la vie d’un missionnaire n’est pas toujours rose”. En évoquant le drame prophétique d’Élie et d’Élisée, il les a exhortés à imiter le pendant moderne d’Élisée et à mener leur tâche à bonne fin. Quant à Jack Redford, il a surpris tout le monde en disant: “L’année dernière, j’ai rencontré un homme qui n’avait pas commis d’erreur depuis 4 000 ans.” Il faisait allusion à une momie égyptienne qu’il avait vue dans un musée. Ce qu’il voulait dire, bien sûr, c’est que parmi les humains les morts sont les seuls à ne jamais se tromper. En ce qui nous concerne, lorsque nous devons faire face à nos erreurs, réagissons-​nous à la manière de Saül, qui a essayé à tout prix de se justifier? Ou bien imitons-​nous l’exemple de David, qui a reconnu volontiers ses péchés? Voilà des questions qui méritent réflexion.

Le dernier orateur de la matinée n’était autre que F. Franz, le président de l’École de Galaad. Présentant la fondation de cette école comme “un magnifique acte de foi”, il a rappelé qu’elle a fourni le fer de lance de la proclamation mondiale. À présent, les 42 élèves de la 78e classe se voyaient à leur tour offrir le privilège de se rendre dans 14 pays pour prendre part à cette grande œuvre.

Enfin, les élèves ont reçu leurs diplômes. À l’issue de la cérémonie, l’un d’eux, Gordon Grant, s’est avancé pour faire la lecture d’une lettre par laquelle toute la classe avait tenu à exprimer sa gratitude. “Quand nous sommes arrivés ici, disait-​il, nous étions tous des nécessiteux, encore que nous ne nous en rendions pas compte. Aujourd’hui, à peine cinq mois plus tard, nous repartons riches et bien nourris.” Tous les élèves étaient résolus à faire un bon usage de leur formation et de leurs nouvelles richesses là où ils seraient envoyés.

Le programme de l’après-midi a commencé par une étude abrégée de La Tour de Garde, étude dirigée par Calvin Chyke, membre du Comité de l’imprimerie, avec la participation des élèves. Après quoi ces derniers ont présenté un spectacle très animé, constitué de faits vécus et de sketches musicaux destinés à mettre en évidence ce qu’ils avaient appris par l’observation et la fréquentation des autres en général et de la famille du Béthel en particulier. Pour finir, ils ont joué un drame biblique poignant tiré de la vie mouvementée de Joseph et de ses frères. Bien des spectateurs ont eu du mal à retenir leurs larmes.

Lorsque le président a conclu la réunion, tous les assistants étaient bien d’accord pour dire qu’il avait été merveilleux d’être là. Cette journée doublement joyeuse avait vraiment été remplie d’une foule de bonnes choses spirituelles.

    Publications françaises (1950-2025)
    Se déconnecter
    Se connecter
    • Français
    • Partager
    • Préférences
    • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
    • Conditions d’utilisation
    • Règles de confidentialité
    • Paramètres de confidentialité
    • JW.ORG
    • Se connecter
    Partager